Nom de code Soleil Levant ○ Ozalee

Un physique à nous montrer

Mon très cher Grand-frère,

Te souviens-tu de mes traits ? De la couleur de ma peau ? De celle de mes yeux ? Pour être totalement honnête, tout deviens floue dans ma tête. Tes traits, ta silhouettes, ta voix, tous est devenu vague avec le temps. Je ne peux que me dire, quand regardant dans le miroir une pars de toi se cache.

La ressemblance se cache peut-être dans mes yeux bleu azur. Ou à ma peau couleurs Soleil. A mes yeux en amende, ou bien dans mes longs cheveux bonds. Ma silhouette élancée, ma taille fine, mon petit un mètre septante, mon ventre plat, mes dents blanche, le creux dans le bas de mes rein. Peut être que tu avais les mêmes fossettes que moi quand je ris au éclat. Ou bien simplement ce tremblement dans la voix quand je suis émue. Peut-être est-ce juste une vaine tentative pour ne pas te laisser fuir ma vie, ma mémoire, mes souvenirs. Mais quand je souris je retrouve un peu de toi, quand mes éclats de rire volent au plus haut j’ai l’impression de t'entendre au loin. Mes joues rougissent par le manque de perception, mes yeux se remplissent de larmes à la vue de ta tombes. 

Une personnalité à faire découvrir

Jeune fille pleine de vie en générale, Ozalee a perdu son éclat, sa joie de vivre, sa flamme la nuit de ce triste accident qui a causé la mort de ses parents. Seule survivante et se sentant coupable, elle porte le poids de la culpabilité. Rayon de soleil, Ozalee a cessée de brillé, elle a perdu le feu sacré la nuit où elle a sauté de la falaise pour ses 18 ans. Cette nuit où son grand-frère a donné sa vie pour sauver la sienne. Survivante, le seul moyen qu’elle a trouvé pour ne pas sombrer après le décès de son grand-père, et la tromperie de son seul amour, était la fuite. Loin de lui ressembler, son instinct de survie la poussé à ce protégé et fuir ses responsabilités. N’étant pas capable de montré l’exemple a sa tribu elle préféra la quitté.

Jeune femme souriante quoi qu’il arrive, Ozalee est morte intérieurement. Tellement sensible, empli de faiblesse, trop fragile, si vulnérable. Elle est détruite, rongé par la culpabilité. Blessée, elle se sent incapable d’avancé. Elle n’est pas facile à vivre, femme de caractère, possessive, impulsive, soupe au lait. On l’aime pour sa gentillesse, sa tendresse, sa douceur, sa spontanéité, sa fraîcheur, sa détermination. Elle est volontaire, attachante, généreuse, entière et honnête. Ozalee est du genre impatiente, depuis qu’elle est arrivée à Miami. Elle ne prend plus le temps de vivre, sereine et posée.

A 19 ans, elle encore insouciante, têtue, butée, passionnée, téméraire, des fois un peu fofolle et généralement amusante. Après toutes ces épreuves, elle est devenue légèrement dépressive et à déjà attenté à ces jours. Elle est forte d’apparence, et fragile à la fois. Ozalee, aussi appelée Oz est quelqu’un d’hyper sensible, a fleur de peau. Elle est très empathique, à l’écoute des gens, altruiste et c’est une personne solaire.

Une histoire à nous raconter

♦ Le 23 Août 1997,  La push Compté de Clallam Washington (0an)

Dit bonjour au monde petite sœur …

♦ Le 17 Novembre 2007, La push Compté de Clallam Washington (10 ans)

Tu vis ta première douleur petite sœur. Tu découvres les péripéties de la souffrance et tout ce qu’il sait te dire c’est reste forte. Montre l’exemple il dit, mais il n’a même pas été foutu d’être un véritable père pour toi. Trop occupé à être un père pour les autres. Toi aussi tu as droit d’avoir dix ans princesse, de pleuré à l’idée de ne plus revoir grand-mère. Être forte c’est bien, être toi c’est mieux ne l’oublie jamais.

♦ Le 24 Décembre 2012, La push Compté de Clallam Washington (15 ans)

Tu vis ton première amour ma douce. La tendresse de ton premier baiser sous les étoiles, la plage en neigé, la chaleur des bras de ton aimé. Bly est le bon choix. Tu grandi trop vite, ralenti parce que je ne suis pas encore près à t’entendre me quitté. Te voir vivre l’amour, découvrir les sentiments, je te regarde m’expliqué en détails l’instant où il t’a pris la main pour te dire je t’aime. Je vois ton regard s’illuminé, quand tu me raconte ses lèvres sur les tiennes. Découvrir l’amour avec son meilleur ami, ses le meilleur moyen d’apprendre la confiance, la confidence et surtout le cœur. Le cœur petite sœur, tu n’en manque pas.

♦ Le 01 Juillet 2013, Compté de Clallam Washington (15 ans)

Tu découvres les dérives de l’amour petit cœur. Ne t’inquiète pas, il t’attendra. Tu vis ta première histoire dite interdite, l’amour en dehors des frontière des cultures n’est pas bien vu. Tu te caches, ce qui te fait l’aimer davantage. Ton cœur se perd entre les deux, mais le coup de foudre d’un été est plus fort que l’amour délivrance n’est-ce pas miss. Tu auras connus l’amour passion, l’amour qui détruit, l’amour dangereux au moins une fois dans ta douce vie. Ne te laisse jamais dompté petit cœur, écoute ton cœur quoi qu’il arrive il te guidera toujours.  

♦ 03 Septembre 2013, Comté de Clallam Washington (16 ans)

Tu réalises rayon de soleil. Tu réalises que l’amour passionnée ne dur qu’un temps. L’on ne peut vivre de feux d’artifice à chaque instant, cela deviendrais lassant aussi non. La rentrée reprend, et ton cœur retourne à l’envoyeur. Bly a attendu ça tous l’été, et toi après avoir pleuré tu vois que tu n’as jamais cessé de l’aimer. Aimer deux personnes en même temps c’est faisable princesse, mais ce n’est pas vivable. Choisi le bonheur et non le devoir petite sœur.  

♦ Le 21 Décembre 2014, La push Compté de Clallam Washington (17 ans)

Ce n’est pas de ta faute, ne crois pas ça. Je te connais rayon de soleil, ne laisse pas s’éteindre la flamme qui brûle en toi. Cette infime étincelle qui te rend différente. Ils sont morts oui, un tragique accident. Tu es la seule survivante, mais sache que tu es une survivante petite sœur. Tu es née presque deux mois avant termes, tu as survécu à l’absence, aux silences, à la déception. Ils ne sont pas morts de ta faute, ils sont morts parce que les esprits en avaient décidée ainsi. Te voir allongé sur ce lit d’hôpital, dans le coma inerte, toi ma boule d’énergie, de tendresse, de chaleur. C’est insupportable. Ils auraient tout de même pris la voiture si tu n’avais pas débarquée chez moi. Ce n’est pas toi, toi tu es la lumière dans l’obscurité. Tu es le meilleur de chacun, parce que tu es innocente et tellement pure petit cœur, ne perd jamais ça promet le moi.

♦ Le 23 Août 2015 5h09, La push Compté de Clallam Washington (18 ans)

Je donnerais ma vie pour toi petite sœur … Je t'aime plus que tout au monde.

♦ Le 23 Août 2015 23h57, La push Compté de Clallam Washington (18 ans)

Je suis tombée sur ton livre, tu n’es qu’un imbécile Nayati ! Tu n’avais pas le droit de m’abandonner toi aussi !! Je n’y arriverais pas sans toi, je n’y arriverais pas …

Cher grand-frère,
Je t’écris cette lettre parce que poursuivre ton journal m’est impossible, tu n’avais pas le droit de me sauver. Pas encore. Tu n’aurais jamais dû sauter, je revenais d’une fête bien trop arrosée, j’étais paumée, seule et le poids de la culpabilité devenais un poids trop lourd pour mes petites épaules. Je ne savais pas vraiment ce que je faisais en sautant de cette falaise, la mer était déchainée, les vagues puissantes. Tu n’avais aucun droit de me sauver ! Regarde où ça nous mène, je fais quoi sans toi ? Comment je continue sans mon grand-frère, mon pilier, mon Reppert ? Tu es mort de ma faute, je vis comment a sachant que ma famille est morte pour moi ? Je vis comment sans toi ?

Tu n’aurais jamais dû donner ta vie pour la mienne, je n’en valais pas la peine.

♦ Le 20 Décembre 2015, La push Compté de Clallam Washington (18 ans)

Cher grand-frère,
J’ai besoin de toi plus que jamais, je ne suis pas assez forte pour encaisser tous les coups d’un coup. Le nouveau médecin de la tribu a décelé un myélome cher grand-père, et tu le connais il veut ne veux aucun traitement médical. Je ne suis pas capable de le voir mourir sans rien faire. Vous m’avez tous abandonné et maintenant je fais comment ? Tu aurais dû être à ma place.

Je t’ai pas tout dis, j’ai délaissé Bly pour m’occuper de grand-père. Et il m’a trompé. Je sais, je suis aussi fautive que lui, mais n’empêche ses un gros con ! Mais je lui aie pardonnée, il a encaissé beaucoup lui aussi, tout particulièrement mes changement.
Tu manques, je ne sais plus quoi faire !    

♦ 21 Juin 2016, La push Compté de Clallam Washington (18 ans)

Cher grand-frère,
Je ne suis plus que l’ombre de moi-même, grand-père m’a quitté lui aussi pour vous retrouver. Je me retrouve seule, merci beaucoup ! Je ne suis pas comme toi, je ne veux pas montrer l’exemple ! C’est ma famille qui est décimée, pas la leur, même si la tribu est une famille. Je me retrouve seule, et je suis fatiguée de faire comme si tout allais bien, parce que rien ne va bien. Tout part en couille ! Merde, j’arrive plus a respiré, plus à sourire.

Après la cérémonie rituel, j’ai voulu allez retrouver Bly. Je voulais juste ne pas être seule. Et je suis tombée sur lui et cette fille, la blague, je n’ai même pas eu le courage de lui faire une scène. Je suis partie sans un mot, sans un geste, il ne sait même pas que je l’ai vu.

J’ai fuis grand-frère, je suis rentrée en courant à la maison, j’ai pris toutes mes affaires et je suis partie sans me retourné. Je sais que je devais prendre la relève, être un exemple. J’ai pris la voiture et j’ai roulé, roulé sans m’arrêté. Après trois jours, je suis arrivée à l’aéroport. J’ai jeté mon téléphone à la poubelle et je suis montée dans l’avion. J’ai fuis Nayati. Ça ne me ressemble tellement pas, mais je ne me reconnais tellement pas depuis …     

♦ 03 Septembre 2016, Miami  (19 ans)

Cher grand-frère,
Nouveau départ, j’ai peur, mais j’ai plus le choix … Je devais partir, tu m'avais souvent parlé de cet instinct de survie. Celui qui pousse à faire n'importa quoi, j'ai fui ... Je devais me protégée. Et j'ai déposé mes valises à Miami, soleil et sable fin au réveil !

- Pensez à moi même -

Chose à part grand-frère, te souviens-tu de mes années d'études ?! Je me souviens des tonnes de livres que j'avalais le soir pour ne pas dormir en t'attendant ou en attendant les parents. Je me rappelle que je n'avais jamais vraiment de devoir, vu que pour la plus part je les fessait en classe entre deux prise de note. Il paraît que j'était une excellente élève, je me souviens seulement avoir fini première de classe au lycée...

Je crois que pour le reste j'ai mis un point d'honneur à enfermé ses années noir dans un tiroir. C'est cm1 que j'ai sauter une classe si mes souvenirs son bon non ? ... Ouais, je me souviens maintenant. Ses jamais simple disais papa d'avoir un cerveau parmi les gens qui n'en n'ont pas. Difficile d'être exceptionnel disait maman, et toi tu me disait simplement que le travail paye.