J’ai un faible pour leurs points forts et je suis fort sur leurs points faibles ! (TERMINE)

    

Id Card      ÂGE : 20 ans DATE DE NAISSANCE : 2 avril 1994 LIEU DE NAISSANCE : San Francisco CLASSE: L2 sport 2 CONFRERIES AU CHOIX PS, RK   RICHE OU BOURSE D'ETUDE :  Riche AVATAR: Drew Van Acker SCÉNARIO OU PI ? Scénario

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→ Drew Van Acker [color=red]ϟ[/color] Meven D. Belfort

    

    

    Samedi 12 juillet 2014, 7h30 AM

Le portable de Meven vibre sur sa table de nuit à une vingtaine de centimètres de ses oreilles. Fronçant les sourcils et encore endormi, le jeune homme attrape d’une main maladroite et engourdie le téléphone, l’active et le colle à son oreille. Passant sa main sur son visage, il laissa échapper un soupir et se décida enfin à commencer la communication « Allo ? ». La voix du coach Lane résonnait déjà dans sa tête, dans ses oreilles. « Meven le journal… » Au même moment, un cris strident de bébé se fait entendre, à quelques mètres de lui, voir même dans la chambre juste à côté « ..Attendez, j’entends rien » lui demandait indirectement Meven sur un ton nonchalant, puis se dirigea vers la chambre de l’enfant, claquant la porte derrière lui et ferma ensuite celle de sa propre chambre dans laquelle il s’enferma « C’est moi qui l’ait réveillée ? » Le jeune étudiant levait les yeux au ciel, voulant abréger la conversation et toujours dans un soupir répondit « Pas besoin de ça pour la faire pleurer. Elle ne fait que ça à longueur de journée donc une fois de plus ou une fois de moins ça changera rien. Bref, pourquoi m’appeler à une heure aussi matinale ? J’ose espérer que ce n’est pas par ennuie » Meven s’appuya sur le bord du bureau, croisant ses bras, tenant toujours le portable contre son oreille. « Oui, comme t’es tout nouveau et que t’es déjà capitaine, évidemment ça attise la curiosité des gens et des autres étudiants. Ils sont en train de préparer le … » Blasé de tout ce discours pour rien, il le coupa « oui bon, abrégez j’ai pas la journée » le coach ne perdait pas la face pour autant « J’y viens Belfort. Cette aprem t’as une interview avec un élève du lycée pour l’édition de la rentrée et tu ne peux pas refuser sinon tu vires de l’équipe. C’est à 9 heure au starbucks du coin et sois courtois, paie lui son café » Meven eut à peine le temps de réaliser que le coach avait déjà mis fin à la discussion qu’il laissa échapper un « et puis quoi encore… ». Il laissa tomber son iPhone sur son lit et se dirigea vers la salle de bain pour se doucher. Une fois sorti, il retroussa ses manches et retourna dans sa chambre pour y prendre ses clés, son portefeuille et son portable.

En bas, Meven croisa Monica, sa sœur qui jouait les mères poules avec Maeva. Il les dévisagea aussi bien l’une que l’autre et s’installa en face avec un fruit et un jus d’orange pour son petit déjeuner. « T’es bien matinal, pour une fois » lui fit remarquer sa sœur. Meven se retenait, mais sa mauvaise humeur se faisait ressentir à chaque fois que ses yeux se posèrent sur l’enfant. « Déjà si elle arrêtait de réveiller toute la baraque en pleurant pour quedal, peut-être que je serais encore en train de dormir à l’heure qu’il est. » Sa sœur tourna la tête furtivement et lui adressa un regard noir « Pauv’ type. Comment tu peux parler comme ça de ta fille. Tu devrais t’estimer heureux que je m’en occupe pendant que monsieur joue les dons juan. » Le jeune garçon regardait sa fille de 13 mois s’induire le visage de panade à force de recracher tout ce que Monica lui donnait, ce qui le répugnait au plus haut point et s’énerva : « Putain, mais tu vois pas qu’elle en fout partout ? C’est gerbant et pour ton info j’ai jamais demandé à avoir cette gamine et Marina a intérêt à venir la rechercher parce que je compte pas me farcir ses cris tous les matins. A la première occasion j’envoie cette gosse dans un orphelinat à Tombouctou.» Meven se leva, prêt à quitter la maison quand sa sœur reprit la parole en élevant, elle aussi, la voix « Bravooo. Belle mentalité, papa. T’as 20 ans, faudrait peut-être commencer à prendre tes responsabilités » sur le même ton, il répondit « Ca » montrant le bébé du doigt « ce ne sont pas mes responsabilités. J'ai jamais commandé de bébé pour Noël et j’ai jamais reconnu aucun gosse. Pas celui-là, pas un autre. Alors ne me parle surtout pas de papa, de paternité, parce que j’en ai rien à secouer de ce monstre » Le jeune homme n’écoutait même plus la discussion avec sa sœur et sortit de la maison en claquant la porte derrière lui non sans se regarder une dernière fois dans le miroir accroché dans le hall d’entrée.

Il gara sa voiture devant le café où était fixé le rendez-vous. Premier problème, c’est qu’il y avait un monde de dingue et qu’il n’avait aucune idée de ce à quoi ressemblait la personne qui allait l’interviewer. Etait-ce une fille ? Un mec ? Une gamine ? Un prof ? Il ne connaissait encore rien de Wynwood, de son lycée ou au fonctionnement de son université. Il avança, perplexe, et regarda autour de lui quand la main d’une fille se leva, lui faisant signe. Il se dirigea vers elle et s’installa sur la chaise en face. La jeune fille ne le quittait pas des yeux, elle le dévorait totalement du regard s’arrêtant d’abord sur ses cheveux : des cheveux bruns châtains trop souvent en bataille, parfois plus courts, parfois plus longs mais jamais parfaitement bien coiffés lui donnant un genre un peu sauvage que beaucoup de filles apprécient. Des yeux tantôt noisette, tantôt vert légèrement en amande qui ne demandent qu’à se poser sur la silhouette de plusieurs jeunes filles. Dans la continuité des traits de son visage vient un nez fin, une bouche rosée lui permettant ses sourires ravageurs à chaque belle créature croisant son chemin. Un corps athlétique, trop athlétique, baraqué, musclé à souhait sans tomber dans le bodybuilding. Grand d’1m88 il est habillé d’un pantalon gris décontracté, d’un polo noir avec motifs tagués et de sneakers Nike aux pieds. C’est d’ailleurs son genre vestimentaire : toujours la dernière mode ne supportant pas les fringues de mauvaises qualités et totalement insignifiant en marque. La jeune fille le regarde passer une main dans ses cheveux rebelle. Il a la dégaine du faux je-m’en-foutiste qui sait qu’il plait. Il sait qu’il est beau et ça se voit. Il a cette fierté et cette assurance qui se dégage. Meven s’installe face à cette jeune fille et s’assied au fond du siège de façon très aisée. C’est étonnant cette assurance, ils ne se connaissent pas. Elle le trouve observateur et lorsqu’il pose ses yeux noisettes sur elle, elle bloque totalement, elle ne sait pas ce qu’elle doit dire, ni même ce qu’elle peut dire. Elle a tout oublié. Voilà, ça, c’est l’effet qu’il fait aux filles. Elle respire un bon coup et rien que l’odeur du parfum du jeune sportif l’enivre. Elle aime bien cette odeur, mais ne lui dira pas, jamais. Elle essai de rester impassible alors que lui la regarde, la fixe et l’observe. C’est sa façon de faire : relooker les filles de haut en bas avant même de laisser son timbre de voix lancer une discussion.

    

Meven posait ses yeux sur la fille en face de lui. Elle était mignonne à première vue, mais il avait cette fâcheuse habitude de chercher les détails et surtout les défauts. Elle était blonde, mais elle nouait ses cheveux et visiblement, c’était le genre de fille à nouer ses cheveux un peu tous les jours, tout le temps. Ce qui voudrait dire aussi qu’elle ne prend pas le temps pour elle, qu’elle veut faire tout à la va vite. Ou peut-être qu’elle ne s’assume pas et pense que prendre 10 minutes en plus pour ses cheveux ne sert à rien. Elle rougit à force que ses yeux se balade sur son physique, sur son corps. Lequel des deux doit commencer la conversation, au juste ? En tout cas, c’est pas le genre de fille avec qui il aimerait passer du temps, elle est bien trop timide voir même coincée. C’est une vraie perte de temps. Dans un soupir, Meven se décida à rompre ce silence qui devenait de plus en plus lourd : « Bon, on ne va pas se regarder comme ça toute la journée. Pose tes questions qu’on en finisse, ça me ferait chier de m’être levé pour m’assoir devant une meuf totalement insignifiante qui en plus de ça, a perdu l’usage de la parole. Le coach m’a dit que tu voulais m’interviewer. J’attends » Toujours dans la même aisance, Meven gardait ses yeux rivé sur la pauvre fille en face de lui, tentant de contenir son impulsivité. « Euh.. Oui.. pardon. Alors tu t’appelles Meven, c’est ça ? Tu viens d’où ? » Le jeune sportif se redressa sur sa chaise et commanda deux limonades, puis répondit à la question « Ouaip, c’est ça. Je viens de San Francisco. J’ai vécu là toute ma vie et maintenant : vive Miami, parait-il » Il regardait la jeune fille prendre des notes en se disant qu’à cette allure, dans deux heures ils en seraient encore là, puis attendit a suite « Pourquoi être venu à Miami ? C’était pas bien San Francisco ? » Un léger rire moqueur s’échappa de la gorge du garçon « Si, justement. Mais je suis venu parce que déjà, mon cousin est ici, puis parce qu’on a eu l’opportunité de bouger, donc on a bougé à Miami. Rien de très intéressant en soi. » Encore une fois, le jeune homme posa ses yeux sur le cahier où le crayon de la demoiselle glissait et y laissait les traces de cette interview. Elle termina d’écrire sa phrase puis repris « Ok et tu peux me parler de tes parents, ton enfance, tout ça ? » Il fixa une joie brune qui venait d’entrer dans le café et comme à son habitude, la regardait de haut en bas. A défaut d’avoir une belle créature en face de lui, il pouvait toujours regarder ailleurs, mais fut directement interrompu par la question : « Mes parents. Ils sont divorcés depuis quelques années maintenant. Ma mère est médecin, mon père est ingénieur. Je n’ai aucune idée de la façon dont ils se sont rencontrés. Je crois que c’est par le biais de la sœur de ma mère, mais j’en suis pas sûr et honnêtement, je m’en tape totalement. Je suis le premier enfant de la famille et après moi ont suivi mes deux sœurs. Je m’entends mieux avec la plus petite, Monica elle a trop tendance à faire la morale aux gens, c’est lourd. J’ai été dans une école normale et même si c’est pas ce que je préfère, j’arrivais à avoir la moyenne. J’ai toujours préféré le sport aux études, mais je sais que le sport sans études ne me garantit pas un avenir, donc je fais les deux. J’ai grandi avec mes potes, avec Simon avec qui je m’entends parfaitement bien. En fait je crois qu’on se ressemble un peu sur certains points et à 14 ans j’ai commencé le foot US et je ne l’ai plus lâché. Je ne sais pas si je veux en faire professionnellement parlant, mais je sais que ça me plait et que je veux continuer encore et encore. Ca me défoule, c’est ce qu’il me faut. Au niveau des filles, ça a toujours été un vrai calvaire. Enfin ça dépend de quel côté on se place. Moi je m’éclate bien, elles moins. J’ai continué la vie entre le sport, les potes, les filles et finalement on a eu l’occasion de partir pour Miami. Ma mère est restée à San Francisco avec ma petite sœur et moi je suis venu ici avec Monica et Maeva » Alors que Meven expliquait son histoire, la jeune fille prenait des notes, mais suite au dernier prénom cité, elle se stoppa net et fronça légèrement les sourcils « Maeva ? » Regardant toujours la jolie brune maintenant assise une table plus loin dans l’idée d’aller l’accoster après, le sportif tourna son visage vers la blonde banale en face de lui « Oui, c’est ma fille » lui expliquait-il avec un air blasé. « Ah. C’est quoi son histoire à ce petit ange ? » Dans un soupir il reprit « Je sais même pas. J’ai rencontré sa mère il y a un peu plus de deux ans, on est resté un an ensemble et lorsqu’on s’est séparé j’ai plus eu de nouvelle et c’était pas plus mal au final. Il y a trois mois quand je suis rentré d’un entrainement elle avait apporté cette gamine en disant qu’elle ne savait plus s’en occuper et moi, j’ai jamais essayé. J’ai jamais rien demandé, elle avait qu’à avorter aussi. Aujourd’hui ça fait trois mois que ma sœur s’en occupe et si elle pouvait la laisser mourir de faim, ça m’arrangerait » Suite à cette réflexion, l’inconnue le regardait, choquée de ce qu’elle venait d’entendre et tentait d’en savoir plus « Tu n’aimes pas ta fille ? » Meven fuyait un peu le regard, puis repris « C’est pas que je ne l’aime pas elle, je ne la connais pas. J’ai 20 ans, j’ai une vie, des potes et une philosophie qui fait que je n’ai pas envie de me faire chier à élever des mômes. J’ai rien demandé et je trouve ça facile de faire la grande fille et garder l’enfant puis 10 mois après aller la foutre chez le père même pas au courant et qui s’en tape comme du nouvel an chinois. Je suis pas un mec fait pour élever des enfants, j’arrive à peine à faire de ma vie un exemple à suivre. » La jeune fille esquissa un sourire forcé « et plus tard t’aimerais faire quoi ? » Il laissa échapper un rire « Ca se voit non ? Dans le sport évidemment »


    

« Tu as déjà entendu parlé de cet exercice que donnent les psy ? Te décrire d’abord physiquement et après ton caractère. En général, ils donnent ça pour les personnes manquant de confiance en eux. Je ne pense pas que ce soit ton cas, mais le journal voudrait te connaitre. Tu crois que tu peux te décrire ? » Meven soupira une fois de plus « C’est pas bientôt fini ? Ca devient lourd et je ne suis pas sensé passer ma vie avec des moches, t’es un peu en train de casser tous les coups que je pourrais avoir ici, parce qu’ils pourraient penser que t’es ma copine, ma future ou je ne sais quoi d’autre. C’est relou en plus ton truc et je m’en tape de ton journal » La jeune fille était surement en train de passer la pire matinée depuis le début des vacances, mais le sportif perdait clairement patience. « Promis, c’est la dernière chose que je te demande, tu pourras y aller, après » Il jeta un dernier coup d’œil à la jolie brune qu’il matait depuis presque un quart d’heure maintenant, et tenta de se concentrer une dernière fois avant d’être libérer « Ok. Déjà, je suis lunatique. Je peux très bien être de bonne humeur au matin et exécrable en fin de journée. Bien que souvent c’est l’inverse parce que je ne suis pas du tout matinal. Le sommeil, c’est sacré donc en gros, t’as mal choisi ton moment. Peut-être que si t’avais opté pour un rendez-vous cette aprem, j’aurais été plus sympa avec toi. Quoi que toi, tu serais toujours aussi moche, donc au final, j’en suis même pas sûr. » Il réfléchit un instant et reprit « J’ai une tendance je-m’en-foutiste, sauf quand ça me concerne ou quand ça concerne vraiment une personne dont je suis proche, et encore, je suis assez individualiste et orgueilleux. Mon caractère a plusieurs facettes: si j’ai ma dose de sport, alors je peux rester assez calme, voir silencieux et observer, parce que je suis aussi super observateur. J’ai directement remarqué que t’étais le genre de fille qui s’en tape de son physique, ou qui a tout simplement aucune confiance en elle, tout le contraire de moi. Mais je ne suis pas là pour jouer les psy. Ca, c’est aussi un de mes défauts. Je ne supporte pas jouer les bureaux des cœurs ou les psy de seconde zone. Si t’as des emmerdes, tu les règles et tu fais pas chier ton monde, ou du moins, tu me fais pas chier. Je suis optimiste, tout le temps. Donc écouter les jérémiades d’un ou une déprimée de la vie, je supporte pas. » Elle le regardait, probablement déçue du personnage qu’elle avait en face d’elle « T’es pas très conciliant, en fait » D’un hochement de tête, il confirma « Voilà, pas conciliant du tout même. Après j’ai pas que des défauts, je suis déterminé, sportifs, j’ai l’esprit de compétition et je suis assez festif. J’aime profiter de la vie sans me demander ce qu’on pensera de moi, j’aime m’amuser avec les filles, j’aime les nouvelles expériences, rencontrer des gens. Les filles sont pour moi une vraie passion » Elle continua d’écrire sur son bloc note « Et donc tu n’as pas l’esprit de famille non plus » en faisant non de la tête, il joignit la parole à l’acte « Non. Enfin ça dépend. Je ne suis pas un monstre non plus, mais les bébés, les réunions de famille, les mariages, tout ça je m’en passe » « J’ai une dernière question : combien de temps passes-tu au sport, et à part le foot US, t’aimes faire quoi ? » Il passa une main dans ses cheveux et répondit « Le foot US je le fais à mes entrainements. Je ne fais pas d’heure supplémentaire sinon je passe ma vie à ça et c’est pas mon but, d’autant plus que je suis en licence de sport. » Elle fronça les sourcils et reprit « Donc le sport est une sorte de passion ? » Soupirant, il espérait vraiment que ça se termine, mais répondit à la question « Non. Le sport c’est mon futur métier, mais ça ne fait pas de moi un passionné. J’aime bien, mais je préfère m’amuser, sortir, rencontrer des gens. C’est un peu comme toi, ton futur métier, c’est quoi ? Journaliste ? T’aimes ça, mais c’est pas ta passion, c’est juste ce qui te fera vivre. Je fais du foot US depuis que je suis gamin, c’est quelque chose que j’aime beaucoup, c’est une vraie passion mais ça ne résume pas le sport. En gros, le sport n’est pas une passion, juste ce qui me fera vivre, mais le foot US l’est bien » Meven se leva dans le but de quitter le Starbucks. Elle avait dit que c’était la dernière question, il comptait bien continuer sa petite vie, peinard, quand elle l’intercepta à nouveau « Et tu peux juste me résumer ta relation avec les filles ? » Il l’a regarda de haut et puis répondit « Je ne m’attache pas aux filles, jamais. J’ai fait cette erreur une fois et j’ai quoi ? Une gamine sur les bras. Si elles veulent croire que je suis accroc, tant mieux pour elle, mais elles se casseront vite les dents. Mais pas de malaise, je reste un parfait gentleman, toi t’es juste l’exception. » Il fit un mouvement pour partir quand elle cria après « Hééé attends ! Est-ce que j’ai le droit de dire que t’es un électron libre, dans mon interview ? Parce que c’est un peu le ressenti que j’ai eu » Il confirma d’un signe de tête et quittait l’endroit sans même se retourner.

    

    

    

Prénom/Pseudo : SC Ninou     Âge : écrire.     Où as-tu connu le forum ? : écrire.     Une remarque particulière? : Love you <3