Aurore Stevenson. Tout simplement. (Terminé)

I am so cute

Jour indéterminé, salle de bain des Stevenson.

Aurore sortit de la baignoire en sifflotant, saisit une serviette posée sur la commode à portée de main, et l’enroula autour de sa taille. Puis, comme à son habitude, elle se posta devant le grand miroir pour se regarder. Ce qu’elle vit en premier fut ses yeux bleus perçants qu’elle aimait particulièrement, car ils avaient valu bien des compliments – et elle adorait les compliments, comme toute femme qui se respecte, bien qu’elle n’avait encore que quinze ans. Ses longs cheveux roux tombaient en cascade jusqu’au milieu du dos.

C’était une vraie rousse, et elle aimait à faire remarquer cette particularité, car elle savait que les vraies rousses étaient finalement assez rares, même aux Etats-Unis. Elle aimait parfois se faire des coiffures un peu fantaisistes, même si cela restait le plus souvent simple et rapide à faire] – Aurore n’appréciait pas trop les coupes de cheveux compliquées qui n’allaient qu’à un seul type de personne ; elle ne s’autorisait qu’à, de temps en temps, teindre la moitié de sa chevelure en rose ou en violet, mais cela restait rare. La plupart du temps, elle se contentait de coiffer ses cheveux en palmier, en une longue tresse ou en laissant une longue frange sur le devant et en donnant un style ‘’faussement décoiffé’’ au reste . Parfois, elle coupait ses cheveux à la hauteur de la nuque ou les laissaient lâchés, car tout lui allait capillairement.

Aurore attarda ensuite son regard sur le reste de son visage. Elle avait un nez un peu petit, aux courbes un peu saillantes, mais elle n’avait rien à dire dessus. Ses oreilles étaient légèrement en pointe, un peu décollées aussi, et ça l’embêtait un peu, trouvant que cela pouvait parfois lui donner un air légèrement stupide – heureusement, la plupart du temps, personne n’y faisait vraiment attention. La bouche d’Aurore était toujours souriante, ses lèvres pulpeuses qu’elle savait agréables à embrasser étaient toujours maquillées avec soin, en rouge carmin ou en rose nacré selon son humeur du moment. La jeune fille s’observe sous tous les angles. Elle a de bonnes proportions. De taille moyenne, plutôt svelte, elle a par contre tendance à se trouver petite – même avec des talons hauts, elle dépasse tout juste le mètre soixante-dix. Mais Aurore ne s’en soucie pas tant que ça car, après tout, on dit que tout ce qui est petit est mignon, si seulement c’était vrai pour tout. La rouquine pèse cinquante-trois kilos pour un mètre soixante-cinq, et on ne peut pas vraiment dire qu’elle soit imposante. Elle a de belles fesses cependant, ainsi qu’une poitrine qu’elle apprécie particulièrement, bien qu’elle regrette qu’elle ne soit pas plus volumineuse. Mais ce n’est pas le plus important, car elle a d’autres atouts, comme la jeune fille aime à le rappeler (et à se le rappeler) avec des sous-entendus plus ou moins sexuels.

Aurore termine de s’admirer, et saisit ses ‘’accessoires’’ posés sur le bord du lavabo – son blush, son fond de teint, son rouge à lèvres, son eye-liner, rien ne manque. Ce jour-là, elle se maquilla comme à son habitude : rouge à lèvres rose pâle, blush très léger de la même couleur, juste un trait d’eye-liner (pour éviter de ressembler à un raton-laveur). Puis elle se rendit dans sa chambre pour s’habiller. Aurore s’habilla comme elle en avait l’habitude : un petit haut sans manches de couleur pastel, le plus souvent rose, bleu, ou vert, d’une jupe courte noire, de collants dans la même teinte de couleur, et de ses talons hauts rouge vif. C’était son style chic-décontracté qui lui allait bien, même si elle en avait d’autres. Elle pouvait par exemple remplacer son petit haut par un autre au décolleté plongeant, sa jupe courte pour une plus longue ou pour un jean gris, bleu ou rose. Dans ce cas, elle se chaussait avec des simples Converse ou des chaussures de tennis blanches. Elle avait des dizaines de paires de chaussures, mocassins, talons hauts, bottines, comme à peu près toutes les adolescentes de son âge. Aurore avait même des vêtements d’un genre moins ‘’socialement acceptable’’, qu’elle gardait dans un coin de sa chambre et dont nous nous garderons d’en parler car ce ne serait pas vraiment une bonne idée et de bon goût. Disons simplement qu’elle aime bien aussi le cuir et le latex.

Aurore fit quelques pas dans sa chambre tout en se regardant dans le miroir, afin de voir que ce qu’elle voulait montrer était bien mis en valeur. Côté lingerie, elle restait sage la plupart du temps. Elle portait la plupart du temps des dessous en dentelle rose, violette ou noire (mais jamais blanc pour éviter de faire grand-mère), ou bien en coton de la même couleur. Lorsqu’elle sortait le grand jeu, pour la St Valentin par exemple ou bien d’autres occasions, elle mettait plutôt du rouge. Ou rien du tout, même, selon la situation. Elle pouvait aussi parfois se prêter à quelques fantaisies vestimentaires, tantôt érotiques, tantôt surprenantes… mais toujours avec style et élégance.

Ideas in my head

Je me décide enfin à écrire un journal, ce qui est quand même inédit pour moi puisque jusqu'àlors je considérais ça comme une connerie réservée aux pucelles complexées ou aux prépubères de neuf ans, mais il faut croire que nan car je ne suis plus ni l'une ni l'autre depuis longtemps. Je sais pas trop par où commencer. Faut dire aussi que je n'ai pas vraiment l'habitude de parler à un bout de papier stupide en croyant qu'il va me répondre.

Peut-être devrais-je d'abord parler de moi, de qui je suis, de comment je suis. Ca pourrait en plus m'aider à exprimer tout ce que je ne peux pas par d'autres moyens, alors pourquoi pas ? Personne ne lira jamais ceci... je l'espère. On me dit souvent que je suis très naïve. Trop naïve. Honnêtement, je pense vraiment qu'ils ont raison - j'ai toujours du mal à distinguer le bien du mal, la vérité du mensonge, l'ironie de la franchise. Et cela m'a apporté pas mal de problèmes dont je ne parlerai pas, par peur que quelqu'un d'indésirable ne me lise. Parce qu'en plus d'être naïve, je suis légèrement paranoïaque. Cela peut sembler paradoxal, mais je suis un paradoxe à moi toute seule. J'essaye de m'améliorer, mais ce n'est pas si facile... et ce ne sont pas mes seuls défauts.

Non, s'il y a vraiment quelque chose à propos de laquelle je devrais m'améliorer, c'est avec mon rapport avec l'argent. C'est plus fort que moi, mais je ne peux pas supporter de donner, de prêter les quelques économies que j'ai - c'en est presque maladif. Je suis si près de mes sous que parfois je me demande si je pourrai pas me faire enterrer avec - pour qu'il ne puisse profiter à personne d'autre que moi, même si je ne pourrai pas en faire usage. C'est stupide, mais c'est de famille. Mon père est pingre et radin comme un vieux riche bourgeois, ma mère ne m'a jamais donné que dalle en argent de poche ni à mon anniversaire ou quoi, alors depuis toujours j'ai considéré la thune comme une chose rare et précieuse qu'on ne pourra pas m'enlever. Impossible de me soutirer un seul dollar, et c'est pour ça qu'on me traite parfois de radine - je ne peux pas dire le contraire, mais c'est plus fort que moi. Bon, je n'ai pas que des défauts tout de même, sinon je serais dans la merde. Il y a un défaut qu'on ne peut pas me retirer : malgré ce qui peut parfois transparaître dans ce que je dit ou je ne sais pas quoi, je suis toujours de bonne humeur. Je souris tout le temps, comme le remarquent mes amis ou les mecs avec qui je sors et qui croient que je ne suis comme ça qu'avec eux et s'accomplissent dans une sorte d'idéal viril auquel je n'ai jamais rien compris (je ne suis pas un mec, en même temps).

Je suis super optimiste, je me sens épanouie, et on me dit parfois que c'en est agaçant, ou bien on me demande comment je fais pour avoir l'air de toujours m'en foutre de tout. Et surtout, j'ai certain talent pour faire la fête, faire repartir une soirée qui commençait à moisir, transformer n'importe quel endroit glauque en un lieu festif où l'alcool coule à flots - une autre de mes spécialités, d'ailleurs. Bref, je suis la personne idéale si on veut s'éclater toute la nuit, en boîte ou dans une fête plus privée. Ca me vaut beaucoup d'amis tout ça, et je le leur rend bien. Parce que, qu'on se le dise, je laisse jamais tomber mes potes. J'aime les réconforter quand ils ont besoin d'une épaule, traîner avec eux en boîte, organiser des espèces de feux de camp sur la plage ... c'est pour ça que je suis très possessive, parfois très jalouse aussi. On me dit parfois que je manque de tolérance, car il m'arrive de ne plus parler à un pote pendant trois jours juste parce qu'il a traîné une fois au bar avec un autre mec ou une autre meuf qu'il a rencontré par hasard dans le métro ou je ne sais pas quoi. Je prends ça comme une trahison insupportable. Peut-être parce que j'ai du mal à m'attacher. M'attacher vraiment je veux dire, afin de forger une amitié solide ou un amour sincère, et pas simplement m'attacher un soir à un copain de beuverie ou à un coup d'un soir (ce dont je suis spécialiste et dont je ne me plains absolument pas). Un psychanalyste à la con dirait que ça vient sûrement de mon enfance ; il n'aurait pas vraiment tort.

J'ai toujours eu du mal à nouer un vrai dialogue avec mes parents, et avec mon grand frère. Cela touche plutôt ma famille proche, puisque je n'ai aucun problème d'entente ni de communication avec mes cousins et mes cousins, qui ne sont pourtant pas particulièrement proches de moi, et pas uniquement parce qu'ils vivent dans le Michigan... Bref, je suis loin d'être parfaite et, même si au fond de moi-même je sais que je ne peux rien y faire, j'ai l'intention d'essayer de changer, en bien. Et peut-être d'enfin trouver le grand amour ou un ami éternel.

Story of my life

Aurore se réveilla à côté d’un homme qu’elle ne se souvenait pas d’avoir rencontré et encore moins d’avoir couché avec. Elle fronça les sourcils ; en fait elle ne se souvenait même pas de ce qu’elle avait fait la soirée précédente, ni même quel jour il était. Assise sur le lit après s’être rhabillée à la hâte avec tout ce qu’elle avait pu trouver, elle alluma une cigarette, après avoir pris son paquet posé sur la table de chevet. A côté d’elle, le jeune homme s’était réveillé. Il avait environ son âge, dix-sept ans au plus. ‘’Salut…’’, lui lança-t-il. Elle répondit par un sourire. Il reprit après s’être étiré largement : ‘’Je ne me souviens même plus de qui tu es ni même de ce que je fais ici. Et toi ?’’. Le jeune homme éclata de rire tout en regardant sans détour le décolleté d’Aurore qui s’était assise sur le fauteuil près de la fenêtre en titubant. ‘’Moi non plus, répondit-elle avec un air espiègle, je serai bien emmerdée pour expliquer à mes parents où j’ai passé la nuit.’’ Le jeune homme haussa les sourcils : ‘’Pourquoi ? Tes parents sont sévères là-dessus ?’’.

Une conversation s’engagea naturellement. Après avoir poussé un long soupir, elle répondit : ‘’Non. A vrai dire, ils n’en ont rien à foutre. Tant que j’étais pas en train de me shooter dans un squat du Bronx ou de faire le tapin à Manhattan, ils me diront rien.’’ La rouquine tira sur sa cigarette avant de poursuivre : ‘’En fait, on s’est jamais vraiment entendus, mes parents et moi, sauf lorsque j’étais toute petite. On ne se parle plus trop depuis que je suis entré au lycée, surtout mon père. Ma mère, ça va encore. On a plein de points communs et de passions en commun, mais avec mon père, c’est différent. Je … je ne sais pas vraiment pourquoi, mais lui et moi on a jamais beaucoup à se dire…’’. Le jeune homme écoutait les paroles d’Aurore en acquiesçant bêtement de la tête.

Il ne trouva rien d’autre à dire, d’une voix un peu rauque, qu’il trouvait ça triste. ‘’Mouais, reprit la fille, si on veut … Je suis grande et, plus ou moins, mûre maintenant, alors j’en ai un peu rien à foutre. Ce qui m’embête, par contre, c’est mon frère, Johnny. On est incapables de s’entendre, depuis toujours, et ça me chagrine, car il me ressemble malgré tout ce qui nous sépare, et puis c’est mon frère, bordel !’’. Aurore s’était levée, et rapprochée du jeune homme qui essayait, pas encore tout à fait réveillé, d’enfiler un vêtement qui n’était pas le sien. Il lui tendit finalement sa culotte avec un air apeuré. Aurore saisit le vêtement avec un grand rire, en disant : ‘’On n’a pas perdu de temps, à ce que je vois !''. Elle se regarda un instant – elle n’était vêtu que de son haut rosé taché d’elle-ne-voulait-pas-savoir-quoi et de ses talons hauts dans lesquels elle avait du mal à tenir debout. ‘’En plus, c’est bien mon genre de coucher avec n’importe qui le week-end, se disait-elle comme si elle était seule au monde.’’

Le jeune homme avait retrouvé ses vêtements, et était déjà plus présentable. Aurore allait et venait dans le chambre, en petite tenue, racontant librement des bribes de sa vie tout en fumant : ‘’J’habite pas loin d’ici, dans le Dukes. Avec mes parents dans un pavillon avec jardin pas trop de la plage, tout ça. J’y suis née, et j’ai quasiment jamais quitté New York. Juste une fois ou deux, pour visiter le Japon. Tokyo, le mont Fuji, tout ça … je parle un peu japonais d’ailleurs.’’ Elle finit sa phrase en jetant à son interlocuteur sa chemise froissée qu’elle venait de ramasser au pied de la table d’appoint. Le garçon la saisit au vol, s’en revêtit avec un air timide, distant. Elle lui demanda ce qui n’allait pas ; il répondit en souriant tristement : ‘’Disons que je ne sais pas pourquoi tu me racontes tout ça puisqu’on ne va jamais sûrement se revoir. Et puis … je ne connais même pas ton nom !’’. Aurore s’approcha de lui à grands pas et, avec un sourire espiègle, lui caressant doucement le bras, déclara d’une voix douce près de son oreille : ‘’Aurore. Aurore Stevenson. Mais appelle-moi Aury, comme tout le monde.’’ Tandis qu’elle finissait de s’habiller, le jeune homme lui répondit qu’il s’appelait Tyler Carter. ‘’Ravie de t’avoir rencontré, j’ai passé une nuit divine, répliqua Aurore d’une voix coquine, bon, je dois rentrer chez moi maintenant, au revoir.’’ Alors qu’elle était sur le point de partir, elle se retourna et désigna la chemise de Tyler tout en disant : ‘’Mon numéro est dans la poche intérieure. Rappelle-moi !’’.

Aurore avait pris son temps pour rentrer chez elle. Lorsque sa mère la vit entrer dans le salon, les cheveux défaits, une cigarette à la bouche et décolletée presque jusqu’au nombril, elle lui demanda d’un ton neutre : ‘’Tu étais où ?’’. Aurore répondit en passant une main dans ses cheveux roux : ‘’Avec un mec qui m’a baisée la moitié de la nuit, pourquoi ?’’. Fiona Stevenson eu un petit sourire : ‘’Je ne te demandais pas les détails, mais merci.’’, répondit-elle en caressant le chat assis sur ses genoux. Un silence pesant s’installa, seulement ponctué par les ronronnements du félin. Fiona finit par pointer du doigt le dossier posé sur la table basse, avant de déclarer en regardant sa fille dans les yeux : ‘’Tu vas être contente. Ton admission à Wynwood a été acceptée !’’.

La jeune fille resta un instant immobile, persuadée qu’elle avait mal entendue. Sa mère la regardait avec un grand sourire… elle lui ressemblait vraiment beaucoup, malgré toutes les différences qu’elles pouvaient avoir par ailleurs. Finalement, Aurore se précipita sur le fichier qu’elle parcourut de long en large, alors que sa mère déblatérait sur elle en insistant bien sur les mots les plus lourds de sens à ses yeux : ‘’Il a fallu régler les irrégularités de ton dossier, bien sûr, et ça a pris du temps. C’est déjà bien qu’ils aient voulu de toi après tout ce que tu as fait. Il a fallu négocier avec les flics, tout ça. Heureusement, grâce à mes relations et à celles de ton père, le juge a su fermer les yeux.’’ Aurore s’écria aussitôt : ‘’Tu sais bien que je n’ai jamais voulu faire ce que j’ai fait ! On m’a obligée, sous peine de… certaines conséquences.’’ Sa mère se leva en poussant un soupir exaspéré : ‘’Arrête avec ça ! Tu as déjà eu de la veine de ne pas finir en taule. Si ça avait été le cas, tu serais vieille fille quand tu sortirais, crois-moi !’’. La jeune fille se tourna vers sa mère, soudainement très en colère, manquant renverser le vase et le cendrier ; d’une voix agacée, elle répliqua : ‘’J’ai fait une connerie, c’est tout ! Et j’ai toujours voulu aller à Wynwood, pas seulement pour m’éloigner de mon ‘’crime’’ ou je ne sais quelle connerie !’’.

Sa mère lui demanda de se taire d’un geste de la main et, lentement, tout en remettant à leur place les objets désordonnés de la table basse, reprit la parole d’une voix à nouveau douce : ‘’Je sais bien. De très bonnes notes en Anglais et en Histoire, d’autres en Sport et Biologie, c’est très bien.’’ Comme sa fille ne répondit pas, la mère poursuivit : ‘’C’est un établissement réputé à ta hauteur, et puis un moyen pour toi de prendre ton indépendance et de te faire comprendre que ton père et moi ne serons pas toujours là pour te sauver la mise.’’. Aurore répondit avec un grognement qui n’engageait à rien. Sa mère reprit aussitôt : ‘’Ton avion pour Miami part demain après-midi. Prépare-toi.’’.

congratulations !

Tu es Validé(e);
« Bon et bien, je ne vois pas de raisons de plus de te faire attendre, sur ce j'ai le plaisir de te valider! Fiche bien présentée, j'aime bien ton style d'écriture, simple et agréable à lire, puis comme je te l'ai déjà dis, personnage intéressant. Je te demanderais des liens sois en sur. Alors, alors déjà Aurore sera en Sophomore A, et placé provisoirement chez les Lambdas, jusqu'à ce que tu aies ouvert deux RPS dans lesquels tu auras répondu au moins une fois (2x2). Une fois fait, tu pourras contacter un membre du staff, pour qu'on puisse ouvrir un conseil et t'attribuer ta confrérie. Et enfin, tu peux venir ici pour choisir des options pour Aurore. Voilà, je crois que j'ai tout dis ^^ Bon jeu :) »

Tu peux dès à présent faire ta fiche de liens et puis aussi celle de tes RPSs. Pour être plus à l'aise avec les diverses choses qui te sont proposées sur le Forum, je t'invite à aller consulter le Guide complet de WHS. Et si tu as le moindre soucis, ta marraine ou ton parrain, ainsi que chacun des membres sur le forum (surtout du Staff) reste à ta disposition ! Bon jeu (: