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 [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina]

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MessageSujet: Re: [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina]   [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina] EmptyMer 4 Sep 2013 - 16:37

Ma petite femme à l'accent russe me donnait des chaleurs abominables avec son sourire merveilleux, ses formes on ne peut plus somptueuses... D'abord surprise, amusée, énervée, conquise... Elle changeait d'humeur en quelques secondes et me procurait une sensation de bien-être et de danger à la fois (le genre Indinana Jones). Cette soirée avait commencé avec un tas de bouquins de révisions, une dissimulation tactique et militaire qui s'était terminée en queue de poisson (si je puis dire) dans la chambre d'une mystérieuse russe en chaleur. Mon Dieu, suis-je béni ? Elle avait tout pour plaire, avec son accent rrrrrromantique et sédoucteurrrr, son corps de rêve et son caractère de feu (jeter un bouquin par la fenêtre comme ça, avec un regard et une motivation pareille, ma que calor !!). Le genre de femme qui pourrait presque devenir ma copine. Mais restons sérieux, voyons, se fixer c'est pour les bleus et les gars qui ne trouveront jamais mieux.

Elle sait y faire la coquine, avec des lèvres, sa bouche aux formes et au toucher sensuel, torride que dis-je ?! Je me retiens de gémir d'impatience et de tout lui arracher sur le champ. Je sens que mon corps s'enflamme dans un tourbillon de désir, que mes doigts s'animent sans même que je les contrôle, que mon (bas)ventre trépigne d'impatience... Hoho, Charly horny ! (pour ceux qui ne connaissent pas, je salue votre ignorance et vous invite à regarder mon Oncle Charlie) J'espère pouvoir tenir le plus longtemps possible, parce que faire l'amour avec une bête de sexe c'est top, mais quand tu te lâches au bout de 5 minutes, bonjour la loose.  Et qu'elle aille en plus en parler à ses copines : double loose. Ce n'est pas une question d'être débutant ou non, c'est juste que 3 semaines d'abstinence c'est assez long quand on a 17 ans et qu'on déborde d'hormones et de.... Bref, pas besoin de vous faire un dessin, je pense que vous avez compris où je veux en venir.


- Toi... Tu l'auras cherché. Tu me veux ? Tu vas m'avoir. Toute la nuit.

Je m'attendais bien à ce qu'elle me réponde quelque chose de terriblement chaud et tendre, mais si j'avais su ce qu'elle répondrait, je n'aurais rien dit et je me serais contenté de l'embrasser :


- Mon méchant-loup se réveille ? me dit-elle avec son accent sensuel.

Je sens d'un coup que c'est parti, mon bouchon à champagne sexuel (c'est virtuel hein, c'est assez imagé) a sauté et que je ne pourrai pas me maîtriser même si elle changeait d'avis au dernier moment... Pas besoin de parler malgache pour comprendre qu'elle en avait bien envie ! Elle avait simplement repoussé les limites, et la chaleur dans la chambre devenait insoutenable, comme si on me brûlait les organes au fer blanc. Elle devait être comme moi, puisque sa peau était brûlante, bien qu'elle soit en train de frissonner dans mes bras. Allongée comme ça, les main sur mon torse, elle avait l'air d'un ange délicieux, de ceux qu'on a envie de pervertir tant l'innocence qu'il dégage est sensuel. Et je peux très bien le faire en m'identifiant comme le démon... Elle regarde mon tatouage avec un intérêt qui ne me déplaît pas. J'adore ces symboles sur mon corps, et ce qu'ils représentent est tellement fort comme sentiment que je ne peux m'empêcher de ressentir une bouffée d'émotion, de plaisir quand elles les caresse du bout de ses longs doigts habiles. En sentant mes lèvres effleurer les siennes, je la vois s'avancer pour m'embrasser, mais elle allait trop vite, j'avais envie de la faire tourner en bourrique, comme elle le faisait avec mes hormones.

Je la sentais bouillir de l'intérieur, l'envie de s'unir devenait de plus en plus forte, incontrôlable. Elle semblait devenir folle de ne pas me dominer, et c'est sans surprise que je sentis une de ses mains caressant mon torse, puis mes côtes, mon ventre avant de se poser sur mon pantalon. Oh ma coquine, tu touches un point sensible. Mon regard rejoignit le sien pour croiser son petit sourire malicieux... Oh, souris ma jolie, sans quelques minutes tu ne souriras pas comme ça... Ses mains grimpent dans mon dos, et je sens un frisson dans le bas de mon dos que je cambre en soupirant de plaisir. Elle s'accrochent, embrasse mon torse dont les muscles se contractent délicieusement. Mes doigts caressent sa peau si douce et je me sens pousser des ailes quand elle me mordille le cou et les oreilles (surtout les oreilles quoi...Miam). Je sers ses hanches entre mes doigts et colle mes hanches contre les siennes en les bougeant légèrement vers l'avant par à-coups inconscients. Elle réussit à capter mon visage entre ses mains et me regarde avec cette malice qui me retourne les intestins et me transperce le coeur. J'entreouvre les lèvres, fasciné par cette attraction fusionnelle et presque instantanée qui nous a réunit dans ce lit. Elle s'empare de mes lèvres comme Arthur de son épée magique (ah, non, c'est sensé être moi qui joue avec l'épée ! Bref...) et de tous mes sens...

Je réponds à son baiser avec force, m'allongeant sur son corps avec la souplesse d'une panthère qui se tapit dans les buissons (oh, bonjour jeu de mot coquin affreusement stupide). Nos deux corps forment un ensemble cohésif d'une chaleur insoutenable. Son corps ondule contre le mien, elle se glisse, se débine et s'accroche en même temps. Je prends sa tête entre mes mains, ses cheveux coulant entre mes doigts, et je caresse sa nuque en l'embrassant à pleine bouche. Sans plus attendre, j'ôte ce bout de tissu gênant sensé être un t-shirt entravant ma route vers ses seins délicieux. Ses courbes se dessinent sous mes yeux, mélange de creux et de montagnes russes d'un plaisir caché (oh mon Dieu, quels jeux de mots pourris je peux écrire... faut que j'arrête d'écrire au boulot, ça me troue le cerveau). Son soutien-gorge les protège encore, mais je peux voir les rondeurs de ses seins douloureusement addictifs. Je les caresse du regard et du bout des doigts, avant de laisser mes lèvres descendre le long de son cou, entre ses seins et continuer leur route vers le ventre de la belle russe. Les hanches de la douce jeune femme sont fines, ciselées et leurs contours s'embrasent. Je les mordille délicatement avant de descendre encore, passant mes lèvres sur ses cuisses rondes et musclées. En entrant dans la confrérie, j'étais devenu presque xénophobe à force de me faire maltraiter. Mais là, je changeais complètement d'avis. RK is fucking heaven !


- Comme tu es belle... Ca en est presque indécent... J'ai tellement envie de toi que c'est juste impossible de résister... Et dire que je ne sais même pas ton nom !

J'hésite un instant en la regardant sous moi et enlève lentement son bas (short, pantalon ou pantacourt, je me souviens plus et à vrai dire je m'en fous un peu hahaha) en me mordant les lèvres. Sa lingerie est simple, coquette, blanche avec de la dentelle noire qui me donne des envies des plus animales (j'invente hein, je sais pas ce qu'elle porte moi...). Je me contrôle et me glisse contre elle en envoyant bouler tout le reste. Le ciel pourra s'effronder sur ma tête ce soir, je n'en aurais rien à faire. Je suis en train de passer un moment de folie furieuse. J'ai carrément la Ba-ba-ba-ba-banana, ba-ba-ba-ba-bananaaaa ouh banananaaaa... (petit trip, vous penserez à moi en chantant la chanson des Minions devant son pc). Je caresse ses jambes, ses cuisses, je la regarde comme si elle allait disparaître. Cette nuit sera la première pour moi ici, une nuit inoubliable dans les bras d'une déesse.

Je sais déjà que demain, quand les bizus couverts de bleus rentreront dans leurs chambres, dégoûtés de leur nuit, je serai nu contre la belle jeune femme, à contempler son corps de fou en la serrant dans mes bras musclés. Je sais aussi que je partirai de la chambre après lui avoir dit au revoir et que, quand l'heure du déjeuner arrivera, je descendrai à la caféteria comme tous les midis et je mangerai mon taboulé sans répondre aux autres quand ils me diront "Mais t'étais où, on s'est fait canarder, on a dormi dehors, t'aurais pu nous aider quoi..." parce que je serai trop occupé à penser à son corps voluptueux sous moi, son sourire et la douceur de ses yeux... Ils me demanderont où j'ai passé la nuit, et je leur répondrai "je me suis caché là où vous n'avez jamais songé à vous cacher : au paradis"... Ils resteraient dans l'ignorance, et moi dans l'illusion, l'illusion d'une nuit parfaite où le grand méchant loup aura mangé le petit cochon gourmand. Mais ce n'était pas une illusion, elle était bien en face de moi, presque nue et définitivement parfaite. Je ne pouvais pas en croire mes yeux. Je la sentais bouillante d'impatience, mais je restais un gentleman :



- Tu es sûre de vouloir continuer, ma belle ? Une fois lancé, on ne m'arrête plus...

(HJ : C'est dans ces cas-là que je regrette les mots à inclure que j'ai mis dans les défi RK...)
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MessageSujet: Re: [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina]   [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina] EmptyLun 2 Sep 2013 - 23:01

Je n’aurais jamais deviné que ma soirée se terminerait ainsi. Enfin elle ne faisait que commencer.

Le magnifique jeune-homme qui était rentré par « effraction » dans ma chambre un peu plus tôt était un chaud bouillant. Et moi…. J’étais chaud-bouillante aussi. Je n’avais pas vraiment eu le temps de réaliser ce qu’il se passait ce soir. Tout s’enchaînait tellement rapidement. Ce que je savais c’est que je le voulais ce soir, cette nuit. Et qui sait, pourquoi pas d’autres ? Enfin pour l’instant je vivais le moment présent à cent à l’heure. Mon cœur battait à une vitesse horrible, mon souffle se faisait court. Il ma plaqua alors au mur en me tenant les bras, puis m’embrassa le coup. Une chaleur torride s’empara de mon corps tandis que ma peau frémissait au contact de ses lèvres. Lèvres qui s’approchaient de mon oreille avant qu’il ne me chuchote :

« Mais tu es imprudente... On est ici seuls, ils ont refermés la porte et je suis plus fort que toi... Qui te dit que je ne suis pas un grand méchant, très méchant loup ?»

Je souris à sa remarque. A ce moment je suis amusée et conquise. J’étais prête à lui sauter dessus, mon baromètre était à son maximum. Mais ce furibond ce détacha de moi tout en me faisant bien baver en me regardant avec ses yeux de tombeurs. Puis il s’assit sur le lit l’air de rien. Je me vexe complètement. Il me cherche ? Il va me trouver. J’entre dans une pseudo-rage et rêve d’envoyer le livre par la fenêtre. Je le fixe. Seule la faible lumière de la lune éclaire la pièce, il est beau « concentré » comme ça. Mais c’est MOI et uniquement MOI qu’il doit regarder pas ce foutu livre. Et là il me regarde, le genre de regard qui veut tout dire. Je décide de prendre la situation en main. Sans passer par quatre chemins je me mets à califourchon sur lui et énonce :

«J’aime l’imprudence. Et qui te dit qu’ici ce n’est pas moi la prédatrice ? »

Je mets mes bras sur ses épaules, puis l’embrasse dans le cou. Je sais qu’il ne résistera pas à ça. Dès les premières secondes il est accro, totalement à moi. D’une main il s’accroche aux draps et de l’autre m’enlace le bas du dos tout en mettant la tête en arrière. Je sens ses muscles se contracter sur mon corps. Je passe alors à la phase deux et joue avec mes lèvres, il met sa tête dans mes cheveux tandis que je continue mon trajet dans son cou. Je sens ses muscles se contracter de plus en plus. Il est au bout de craquer, combien de temps tiendra-t-il encore ?

«Toi... Tu l'auras cherché. Tu me veux ? Tu vas m'avoir. Toute la nuit. » me dit-il en relevant sa tête de mes cheveux.

«Mon méchant-loup se réveille ? » lui-dis-je amusée, en jouant de mon accent.

Il me prend alors par le taille et derrière l’épaule puis m’allonge sur le lit avant d’enlever son t-shirt. J’admire son buste tandis qu’il prend la main et embrasse chacun de mes doigts, puis la pose sur son torse, là ou reposait un tatouage. C’était une espèce de croix avec un ruban qui ondulait dessus avec des inscriptions. Après cette contemplation je le regarde dans les yeux, il se mord la lèvre puis effleure les mienne. Je ne pus que faire un mouvement en avant pour encore plus m’approcher mais il s’en allait déjà vers mon ventre. Il soulève alors mon t-shirt et m’embrasse en remontant jusqu’à mon soutiens gorge. Il marque un temps d’arrêt en arrivant devant mes seins (Billie et Jennie /pan/) et les effleures de ses lèvres. Je bouillonne intérieurement, des vagues de chaleur traversent tout mon corps.

Mais là c’était lui qui dominait et c’était moi qui voulais dominer. Je ne pouvais pas le retourner il était bien trop lourd, alors je décidais de faire avec ce que j’avais. Ma main était toujours sur son torse, je la descendis lentement en prenant bien le temps de toucher son corps bien dessiné tandis que je mettais mon autre main sur son pantalon. Il relève alors la tête et je le regarde en souriant, malicieuse.  Je m’approche alors de son son torse et l’embrasse en m’agrippant à son dos. Je remonte doucement en embrassant tous ses beaux carrés puis arrive à son cou. Je décide de le mordiller un peu, je remonte à son oreille et là encore mordille son lobe.

Avec une de mes mains je tourne son visage et le ramène en face du miens. Nos nez se touchent presque. Je le regarde dans les yeux, toujours avec cette lueur malicieuse mais aussi passionnée. Je tourne alors légèrement la tête et l’embrasse, passionnément, profondément.
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MessageSujet: Re: [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina]   [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina] EmptyVen 30 Aoû 2013 - 17:43

En entrant dans cette chambre, je ne m'attendais pas du tout à ce que ce genre de... mésaventure m'arrive. Vous savez, c'est comme ces rêves dont on croit qu'ils sont réels et qu'ils ne le sont pas. La même chose se produisait, à l'inverse. Je n'arrive pas à croire à ce qui m'arrive. Comme si j'avais été coupé du monde alors qu'une incroyable créature me chauffe à blanc. Je sens son souffle d'accélérer, les battements de coeur qui s'amplifient alors que je la plaque contre ce mur, son bassin qui se colle au mien et qui semble dire "encore"... Je sais que c'est "mal", dans le cas où je ne sais pas ce qui va se passer, si c'est interdit ou pas, mais là encore ce défi me donne des pulsions... difficiles à maîtriser. Sa peau douce frissonne au contact de mes lèvres qui me supplient de rester là où elles sont... Mais ce serait trop simple.


- Mais tu es imprudente... On est ici seuls, ils ont refermés la porte et je suis plus fort que toi... Qui te dit que je ne suis pas un grand méchant, très méchant loup ?

Elle sourit à ma remarque, visiblement tentée elle aussi. Mais elle ne répond pas, trop surprise par mon éloignement brutal. L'ambiance est électrique, la tension sexuelle à son apogée, et ce n'est pas moi qui allait calmer le jeu, vu l'état lamentable de mes relations sexuelles depuis deux semaines. Pour quelqu'un de normal, soit. Mais on parle de moi là, et le sexe est tout simplement... nécessaire quoi. Sa peau semble frissonner de froid, refletée par la lune au triste visage, mais l'air est frais et elle est habillée. Elle semble aussi tendue que moi. Sur le point de craquer ? Je m'asseois sur le lit en sachant parfaitement qu'elle va se vexer, mais il faut savoir jouer pour gagner, non ?

Et elle sait jouer. A mon regard, elle s'avance vers moi en prédatrice, et ciel, qu'est-ce que j'aime ça ! Elle se met à califourchon sur moi, et je ne peux refréner mes hanches qui s'avancent vers elle, un regard brûlant et le sourire aux lèvres. Qu'elle est... bonne. Sérieusement. Ca ne se dit pas pour une femme, mais c'est vrai. Ses petits bras fluets entourent mes épaules musclées et je bande ces muscles pour qu'elle sente leur puissance. Elle me dit avec un air sensuel :


- J’aime l’imprudence. Et qui te dit qu’ici ce n’est pas moi la prédatrice ?

Elle s'empare de mon cou, et je sens la chaleur entrer dans mon corps. Mon sang bout dans mes veines, et pas que là en fait. Elle me fait vibrer, c'est profond et si tentant, à portée de main... Je m'accroche aux draps d'une main, et de l'autre j'entoure le bas de son dos, penchant la tête en arrière et bougeant inconsciemment les hanches. C'est trop bon, juste... trop excitant. Elle réussit à pousser le vice jusqu'à jouer avec ses lèvres sur mon cou palpitant. Mon coeur s'affole, je résiste un instant et met ma tête dans ses cheveux... Son odeur m'enivre, je sens que je vais craquer, mais c'est trop tôt... Il faut que je... Oh et puis merde.

- Toi... Tu l'auras cherché. Tu me veux ? Tu vas m'avoir. Toute la nuit.

Sans hésiter un instant de plus, je la prends derrière les épaules et la taille et la renverse sur le lit avant d'enlever mon t-shirt. Je prends sa main et embrasse chacun de ses doigts en la regardant dans les yeux, avant de la poser sur mon torse, sur mon tatouage. Après m'être mordu la lèvre je me penche vers elle, effleure ses lèvres des miennes avant de descendre vers son ventre. Je soulève son t-shirt, et tout en la regardant, j'embrasse son ventre en remontant lentement vers son soutien-gorge. Juste avant d'arriver au niveau de ses seins, je m'arrête, sourit et effleure ses seins de mes lèvres. Tu veux jouer ? On va jouer...
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MessageSujet: Re: [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina]   [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina] EmptyVen 30 Aoû 2013 - 0:11

Nous sommes sous la couette, mon irrésistible dessert est tout contre moi. Il m’était interdit de bouger et pourtant je mourrais d’envie de le croquer tout entier, de lui sauter dessus. Il me serrait et je sentais ses muscles contractés tout contre moi, son corps devait être tout à fait magnifique, tout comme son visage. Sa peau est douce mais son odeur est délicieusement épicée, mélange poivré et automnal peut-être avec une touche de carotte mais délicieusement enivrant. Cependant il fait une chaleur à mourir sous cette couette, l’ai est étouffant et j’espère malgré l’envie de rester près de mon petit cochon que les deux Initiés vont partir rapidement. J’avais l’impression d’être totalement déshydratée tellement la chaleur était forte et une fois les deux Loups partis j’éjectais mon doux petit dessert de mon lit.

Les deux débiles de méchants-loups étaient partit. HEUREUSEMENT ! Manquerais plus qu’ils me trouvent sous la couette avec ce foutu « Zacc ». Je verrais bien un châtiment de la plus mauvaise sorte nous arriver et puis les rumeurs iraient bon train. Mais bon ils étaient partis, tant mieux. Ils trouvent une porte fermée à clé et ils se disent même pas qu’il y a quelqu’un à l’intérieur, ils ont rien dans la cervelle les gens d’ici. Un peu énervée par la bêtise du jeune-homme je lui chuchote en le montrant du doigt, mon accent plus présent que jamais : (genre mafieuse-russe-en-colère-fait-gaffe-à-ton-cul)

« Toi, plus jamais un coup pareil, crétin !»

Je réfléchie à une possible vengeance et si je le vendais aux loups ? Non en réalité je n’avais pas le moins du monde envie de me débarrasser de mon petit cochon. Surtout avec la mine de chien battu qu’il tirait. C’était trop marrant de le voir ainsi, on aurait presque dit qu’il me craignait. Je ne pus m’empêcher de rire. La chaleur et toujours pesante dans la pièce je décide donc de prendre un cahier et m'évente en m'exclamant.

« Putain on a eu chaud. C’est pas passé loin ! »

J’aurais bien chanté l’hymne national si je le connaissais en bénissant ce foutu pays de pondre des crétins pareils. Enfin si ça se trouve ils ne venaient même pas des Etats-Unis. Je me reconcentrais sur Zacchary. Il soupirait et acquiesçait d’un signe de tête. Tout innocemment (mais oui on y croit) en l’éventant je lui demandais :

« Tu trouves pas qu’il fait chaud ici ? »

Je ne comprends pas bien ce qu’il se passe alors, il me prend le livre le jette sur le lit avant de me regarder dans les yeux. Mon regard plonge dans le sien, mon cœur s’accélère instantanément, il me prend alors par la taille de ses grandes mains et me colle contre lui. J’aime cette proximité mais avant que je ne puisse penser ou réagir il me retourne et me plaque contre le mur en me tenant les mains.  Oh mon petit cochon se réveille ?

« Chaud ? Tu demandes ça à moi ? Ça fait un moment que j'ai chaud, là...»

Je souris à sa remarque, je ne m’étais rendue compte de rien. Pourtant ce n’était pas du tout mon genre de ne rien remarquer. J’avais été peut être trop absorbée par les deux Initiés. Mon surprenant et alléchant petit dessert pose alors ses douces lèvres sur mon épaule et remonte jusque derrière mon oreille tout en passant par mon cou. A chaque friction de ses lèvres une décharge d’électricité me parcoure. Une seule envie me passait par la tête c’était de lui sauter dessus. Il me murmure alors à l’oreille :

« Mais tu es imprudente... On est ici seuls, ils ont refermés la porte et je suis plus fort que toi... Qui te dit que je ne suis pas un grand méchant, très méchant loup ? »

Sa remarque me fait sourire, elle rejoint parfaitement mes pensées. C’est vrai qu’il était plus fort que moi, beaucoup plus fort, et j’aimais ça. Avant que je ne puisse répondre, ce que j’eus très envie de faire avec un bon ton sarcastique, il se détacha de moi et me regarda dans les yeux. J’étais au bord de la crise cardiaque. L’ambiance était tout sauf fraîche, plutôt torride même dirait-on. La fenêtre était toujours ouverte mais on ne ressentait pas du tout la fraicheur du dehors. La lune cependant éclairait la pièce tel un chandelier. Mon Dieu qu’il était beau. Il me regarda alors de haut en bas en se mordant la lèvre, j’étais je ne sais où mais plus sur terre. Je disais demi-Dieu tout à l’heure mais ça pourrait bien être un Dieu tout court. Ébahie je reste tout contre le mur tandis qu’il s’assoit sur le lit et feuillette le livre. Non mais je rêve ? Il est sérieux là ? J’avais qu’une envie c’était d’envoyer le livre par la fenêtre pour qu’il me regarde. Ce mec me rendait folle. Il me jeta alors un regard, le regard qui veut tout dire. Tout en le regardant j’avançais vers lui et arrivée à sa hauteur, montais à califourchon sur lui et mettant mes bras sur ses épaules je lui dis :

«J’aime l’imprudence. Et qui te dit qu’ici ce n’est pas moi la prédatrice ? »

Je l’embrassais alors dans le cou comme il l’avait fait précédemment et jouait avec mes lèvres. Mon but ? Le rendre accro. Ce mec je le veux, il m’appartient.


Dernière édition par Katherina Berlinski le Dim 6 Juil 2014 - 18:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina]   [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina] EmptyJeu 29 Aoû 2013 - 23:00

Les deux bouffons entrent dans la chambre mais heureusement pour nous, ils n'allument pas la lumière. Sous la couette, l'ambiance est chaude, l'air étouffant. Je sens son souffle dans mon cou, et je pris pour que mon... "intérêt" reste à sa place. Maudit soit le sexe masculin et ses désavantages musclés. Ma tête dans ses cheveux, je peux sentir une odeur légère, florale et douce qui me rappelle mon enfance et les multiples essais floraux de ma mère. Une odeur de muguet, de rose et de bergamote envahit mes narines, et je me délecte avec délicatesse de cette senteur exquise dont je ne saurais exprimer la chaleur. Je suis près de son corps sublime, et je ne cesse de m'imaginer ce qui pourrait se passer sans ces deux... de mes deux !! Elle est si douce, sa peau satinée, contre mon bras qui la serre, et sa respiration est si douce, inquiète qu'elle me donne envie de la serrer très fort pour la rassurer...

A peine les deux abrutis d'Initiés sortis, je me prends un gros coup de pied dans les fesses et tombe par terre. Bien joué, je me suis fais mal à l'épaule, ma petite... Je me relève et la regarde sans comprendre, frottant mon coude endolori. Soudain, mon petit rêve érotique tout seul s'écroule. Elle a l'air furax. Faut dire que j'ai pas été malin sur le coup. Elle chuchote avec colère, et franchement, ça en fait presque peur.


- Toi, plus jamais un coup pareil, crétin !

Je m'écrase et baisse les yeux, complètement mort de honte. Elle va me jeter dans la gueule des lions, ma Playmate. Elle va vraiment le faire. Par la fenêtre ou par la porte, je devrais peut-être choisir hein... Alors que je dois faire pitié comme un veau à l'abattoir, elle éclate de rire. Non, sérieux, y'a quoi de drôle ? J'ai l'air si misérable ? Elle prend un cahier et s'évente en s'exclamant :


- Putain on a chaud. C’est pas passé loin !


Je soupire et aquiesce avec un sourire. Décidément, elle allait me faire faire une crise cardiaque. Bombe atomique cherche homme à torturer sexuellement et mentalement. De préférence, grand, châtain avec des tatouages. N'empêche, beau-papa, je te kiffe quand t'as des idées du genre : va en Amérique et deviens joueur pro, et profite. Ah ben là, je profite un max, oh oui. Elle commence à m'éventer en respirant de plus en plus bruyamment. You drive me crazy, girl. So f*cking crazy. Et là, la phrase qui tue :


- Tu trouves pas qu’il fait chaud ici ?

L'occasion est trop belle, et on ne résiste pas au gâteau, surtout quand on est au régime depuis longtemps. Elle est là, à m'éventer avec un livre dont je me fous complètement. Je prends le livre et le pose, avant de la regarder droit dans les yeux et de m'approcher d'elle. Je la prends par la taille, la colle contre mon bassin, avant de la tourner et de la plaquer contre le mur en tenant ses mains.


- Chaud ? Tu demandes ça à moi ? Ca fait un moment que j'ai chaud, là...

Je pose mes lèvres sur son épaule et remonte doucement vers son cou, jusque derrière son oreille, avant de sentir son odeur irrésistible qui me donne des envies... sensuelles ? Puis j'approche ces mêmes lèvres de son oreille et murmure :


- Mais tu es imprudente... On est ici seuls, ils ont refermés la porte et je suis plus fort que toi... Qui te dit que je ne suis pas un grand méchant, très méchant loup ?

Je lâche ses mains, recule en la fixant droit dans les yeux avant de la regarder de haut en bas en me mordant la lèvre. C'est mort, je suis excité. J'essaie de changer mon centre d'attention et me pose contre le lit, ledit livre en main. Je commence à le feuilleter, avant de jeter un oeil à la belle, celui qui veut dire " Tu veux ou tu veux pas...?". Game on !
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MessageSujet: Re: [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina]   [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina] EmptyJeu 29 Aoû 2013 - 22:19

J’avais attendu que quelques minutes sur mon lit, tranquillement installée, avant que l’espèce de demi-dieu arrive dans ma chambre. Son apparition soudaine et on ne peut plus remarquable, style film hollywoodien, m’avait légèrement chamboulée. Mon cœur battait à tout rompre, déjà par la peur que j’avais eu de mettre fait chopée par un Initié, la course d’il y avait quelques minutes dont apparemment je ne m’étais pas remise et de plus par le fait d’être enfermée dans la chambre avec un dessert incroyablement tentant à portée de main. Vous savez comme les magasins où en vitrine sont exposés pleins de dessert extrêmement alléchants et que vous êtes obligés de vous retenir pour ne pas lécher la vitrine. Enfin là nous étions tous les deux dans la vitrine, dur supplice de se retenir me direz-vous.

Ce magnifique jeune-homme avait eu l’intelligence de fermer la porte à clé mais ne pensais pas que j’étais dedans visiblement, vu sa réaction au moment où j’avais allumé la lumière. Je crois que nous nous somme étudiés tous les deux comme deux petits voisins cochons au bord de la mise à mort pendant une longue seconde. Mais ensuite il avait pris la parole de sa voix tout à fait enivrante, grave, qui agit comme le ronronnement d’un chat, doux et charmant tout en étant viril et fluide.

«Salut... Désolé de te déranger, on essaie d'échapper aux Intégrés... A moins que... Tu ne sois l'une des leurs ?»

Toujours pas remise de la scène je m’y un petit bout de temps avant de lui répondre. En fait j’étais un peu comme vidée, je le fixai en l’examinant. De haut en bas, un peu comme un scanner détectant le moindre détail de son corps. Je passais par ses cheveux, châtains foncés, descendait sur ses yeux bleu intenses, profonds, sur son nez puis sa bouche avec des lèvres irrésistibles… Je continuais l’analyse par ses larges épaules, ses bras musclé dont l’un ou un grand tatouage le parcourait. Puis tout un coup en me rendant compte de ce que j’étais en train de faire, je me ressaisissais. Je serais ma couverture autours de moi avant de lui répondre enfin.

« On ? Tu es avec d’autres personnes ? Non je ne suis pas des leurs, sinon tu ne serais plus vivant à l’heure qu’il est. »

Je lui avais souris et il me rendit à son tour un sourire. Gentil petit cochon va ! Je crois qu’il y a un dicton qui dit que « tout est bon dans le cochon », je me ferais un plaisir de vérifier tout ça avec lui. Je me mis à rigoler intérieurement à cette remarque plutôt perverse puis me reconcentra lorsqu’il me répondit.

« Nous sommes quelques potes. Cinq exactement. On nous a cloîtrés dans la même chambrée parce que les Intégrés voulaient installer un billard dans la deuxième. Un caprice qui a fonctionné. Au final, Collin, Doug, Daniel, Kurt et moi sommes coloc' de chambrée. On a réussi à s'en sortir pour l'instant, du moins à peu près. Serait-ce donc toi, la fameuse fille qui squatte parfois la zone... pardon, la bibliothèque, et qui nous pique les provisions ? Daniel m'a parlé d'une blonde "aussi sexy que la Playmate de Mars 2010" qu'il a vu s'enfuir en courant... Je suppose que c'est toi »

Oh j’avais à faire à un cochon pas très futé alors. Bon en même temps il n’avait pas trop eu le choix s’ils étaient cloitrés à 5 dans une chambre mais bon. Moi j’étais bien avec un Méchant Loup et je n’avais pas eu de problème jusque-là. Et comme ça je n’étais pas si invisible alors puisque le cher « Daniel » avait « parlé d'une blonde "aussi sexy que la Playmate de Mars 2010" ». J’aimais cette jolie comparaison même si je ne savais pas à quoi cette fille ressemblait mais bon enfin je devais prendre ça pour un compliment non ? Bon petit cochon, tu montes des échelons. (Rime oh yeah. /pan/) Nos respiration se sont calmées et il me fait un sourire de tombeur à en en baver. Je lui réponds alors, provoquante, avec un sourire malicieux.

«Ah c’est donc vous les débiles qui semez des traces un peu partout ? Merci pour les provisions au fait. Oh et baissez le son de vos Talkie-Walkie c’est très repérable. Ah oui surtout, quand tu repartiras tu leur diras de ne plus s’approcher de ma bibliothèque, j’hésiterais pas à mordre. »


Je n’avais pas trouvé le mot anglais qui correspondait à ce que je voulais dire alors j’avais dit mordre. Ce n’est pas si mal si ? Enfin j’espérais qui prendrait ma menace au sérieux parce que je ne sais pas qui de ces camarades tenait la bibliothèque mais c’était un sacré boulet. Soudain très peu après que j’eus répondu on entendit un cri provenant de dehors. On regarde par la fenêtre et le jeune-homme éclate de rire. Un garçon est attaché au poteau du drapeau des Rho Kappa, complètement nu. Les Initiés le bombardent de pomme-de-terre pourries. De ma place je vois très bien le spectacle mais le débile de petit cochon qui est avec moi ouvre la fenêtre et regarde dehors. Je meurs d’envie de lui crier de se retirer de là mais il est déjà trop tard. Son putain d’abrutis de compagnon gueule à s’en casser la voix.

«ZACCHARY ! DESCENDS, VIENS M'AIDER !»

Je n’y crois pas je rêve. Mais ce n’est pas possible mais quel bouffon.Si je croise ce con je lui arrache la tête. Je vous l’avais dit, tous les mêmes. Vaut mieux être seule. Je meurs d’envie de jeter « Zacchary » par la fenêtre afin d’être tranquille mais il est déjà trop tard. Lui aussi peste et j'entend une injure sortir de sa bouche.  Dehors les Initiés ont tourné la tête, tous deux nous sommes baissés instantanément et il me regarde. J’éteins la lumière et quelques secondes après l’horreur arriva, on toqua à la porte.

«Je suis sûr que c'était là. Il regardait par là en gueulant comme une mauviette. Ouvre la porte !»

«Si c'est pas là, on risque de se faire engueuler sévèrement !»

«Allez, fais pas ton emmerdeur, ouvre !»

«Bon, d'accord. Mais je suis pas certain qu'il est là. »

J’entends le verrou se tourner. Putain ses enfoirés peuvent ouvrir les portes même celles fermées à clé ! J’y crois pas c’est quoi ce truc de dingue. Le demi-dieu sauta dans mon lit et se cola à moi tout en me disant de me taire. Grrrr quel cochon débile celui-là. Je suis persuadée que dans la pénombre ils ne pourront pas nous voir, l’un s’avance, mon cœur commence à battre fort.


« Viens, ça craint je te dis... »


Dans ma tête je supplie l’autre méchant loup d’accepté la requête. Des bruits de pas se font entendre, la porte se referme. Je souffle un grand coup et éjecte l’autre bouffon de mon lit. Il s’écrase par terre et j’espère que les Initiés n’ont rien entendu. Je me tourne vers lui à moitié énervée, le cœur battant la chamade et totalement sous le stress.

«Toi, plus jamais un coup pareil, crétin ! »

Puis je le regarde et ne peut me retenir de rire. Je crois qu’il n’a pas très apprécié que je l’éjecte du mon lit de la sorte mais tant pis vilain petit cochon. Je prends alors un cahier de sur ma table de chevet et m’évente tout en m’exclamant en rigolant :

« Putain on a eu chaud. C’est pas passé loin ! »

J’avais terriblement chaud, j’avais l’impression d’être dans un sauna, surement à cause de l’adrénaline que m’avait provoqué ce petit épisode. Je le regarde et l’évente avec mon cahier tout en lui demandant :

« Tu trouves pas qu’il fait chaud ici ? »


Dernière édition par Katherina Berlinski le Jeu 29 Aoû 2013 - 23:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina]   [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina] EmptyJeu 29 Aoû 2013 - 17:23

Mon coeur bat la chamade. Pour diverses raisons, CERTES. Tout d'abord, l'interro de maths que je vais louper demain parce que j'ai trop peur de sortir de cette chambre pour pouvoir réviser. En second, nous avons la course effrenée que je viens de faire dans les couloirs pour échapper aux Intégrés, et en dernier, et pas des moindres, je me retrouve dans SA chambre. En tant que (bizu) militaire, et c'est notre devoir d'être prêt à parer toute situation dangereuse à issue dramatique. Seulement, y'a issue dramatique et issue démoniaque. Je me trouve devant une bombe (sexuelle) que j'avais furieusement envie de désamorcer. Seulement, la précipitation est mère de toutes les emmerdes, il faut donc y aller avec TACT. Je sais pas qui c'est celui là, mais il est jamais là quand on a besoin de lui. Bref, je suis juste un peu en panique, devant une nana magnifique, et je sens que mon... "intérêt" grandit vite.

Un peu embarrassé par la situation, je baisse les yeux en imaginant la suite de la scène. Elle va hurler, l'assaut des Intégrés va défoncer la porte pendant que je m'amuserai à essayer de passer par la fenêtre pour m'enfuir, sachant qu'il risque d'en avoir en bas. Je lève de nouveau les yeux. Elle me regarde avec des yeux ronds comme... vous savez, les poissons rouges ? Ouais, un peu comme ça en fait. Exactement en fait. Enfin, sauf que là, elle me regarde de haut en bas avec un air... presque vicieux. En tant qu'homme, je ferais mieux de me taire, je le fais constamment. Maintenant, je sais ce que ça fait de se sentir partiellement nu face à une personne qui vous regarde de haut en bas. Désolée les filles, la prochaine fois je le ferai discrètement ! Enroulée dans sa couverture, elle a l'air de dormir, mais plus je la vois plus je remarque son souffle court à sa poitrine (merveilleuse) qui se soulève au rythme de sa respiration. Soit elle a un amant très bien caché dans le placard, soit elle vient de courir. Point positif et commun. Ce moment dura un instant, et nous nous regardions avec insistance jusqu'à ce qu'elle se décide à me répondre :


- On ? Tu es avec d’autres personnes ? Non je ne suis pas des leurs, sinon tu ne serais plus vivant à l’heure qu’il est.

Sa voix suave, pour ne pas dire érotique, est fluide et caressante, aux intonations rythmées et traînantes à la fois. La voix d'une étrangère. D'un côté, je peux la fermer, je suis étranger ici aussi. A la différence près que c'est ma langue maternelle. Sa respiration se calme, et la mienne aussi. Nous sommes à l'abri. Je lui souris et elle me rend mon sourire. Après quelques instants, je lui réponds avec calme :


- Nous sommes quelques potes. Cinq exactement. On nous a cloîtrés dans la même chambrée parce que les Intégrés voulaient installer un billard dans la deuxième. Un caprice qui a fonctionné. Au final, Collin, Doug, Daniel, Kurt et moi sommes coloc' de chambrée. On a réussi à s'en sortir pour l'instant, du moins à peu près. Serait-ce donc toi, la fameuse fille qui squatte parfois la zone... pardon, la bibliothèque, et qui nous pique les provisions ? Daniel m'a parlé d'une blonde "aussi sexy que la Playmate de Mars 2010" qu'il a vu s'enfuir en courant... Je suppose que c'est toi ?


Je la regarde avec un sourire déstabilisant et attend sa réponse. Soudain, alors que je ne m'y attendais pas, j'entends un cri venant de dehors. Je regarde par la fenêtre et éclate de rire. Daniel est attaché au poteau du drapeau des Rho Kappa, complètement nu. Les gars de la confrérie le bombardent de pomme-de-terre pourries. Du jamais vu jusqu'à présent. J'ouvre la fenêtre et regarde le spectacle, jusqu'à ce que cet abruti se mette à hurler :


- ZACCHARY ! DESCENDS, VIENS M'AIDER !

- Merde.

Celui-là, avec sa grande gueule... Je sais déjà qu'il va me supplier de le nettoyer à coup de bicarbonate en rentrant (la seule chose qui enlève l'odeur des trucs pourris), et je vais l'envoyer paître vu le coup qu'il vient de me faire ! Je me baisse instantanément, sachant que les Intégrés ont tourné la tête pour voir où le supplié criait à l'aide. Nous étions repéré. Je regarde la belle inconnue et attend un instant. Et là, ce que je soupçonnais arriva. TOC TOC TOC. Une rumeur derrière la porte. Et les Intégrés qui parlent :


- Je suis sûr que c'était là. Il regardait par là en gueulant comme une mauviette. Ouvre la porte !
- Si c'est pas là, on risque de se faire engueuler sévèrement !
- Allez, fais pas ton emmerdeur, ouvre !
- Bon, d'accord. Mais je suis pas certain qu'il est là.

J'entends le verrou de la porte grincer. Ni une ni deux, je saute sous la couette de l'inconnue et m'allonge près d'elle en lui intimant de se taire et de rester calme. Les Intégrés entrent sans bruit et commencent à regarder dans la chambre. Ils s'avancent en silence vers le lit et j'entends un des deux chuchoter :


- Viens, ça craint je te dis...

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MessageSujet: Re: [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina]   [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina] EmptyJeu 29 Aoû 2013 - 1:52

La journée avait été bonne et remplie de bonnes choses. Enfin jusqu’à maintenant.

La plupart des Rho Kappas, enfin les Inititiés diaboliquement diaboliques en cette période de bizutages étaient partis je ne sais où. Surement encore à échafauder des plans diabolique dans je ne sais quel endroit tenu secret. J’étais donc terriblement seule aujourd’hui. J’aurais pu sortir me direz-vous, aller dans un troquet ou aller me pavaner à la plage ou je ne sais quoi d’autre (même si on est en septembre il fait encore terriblement chaud. Poualala Miami je vous jure que ce n’est pas la Russie c’est sûr). Mais non j’avais exploré les fins fonds de notre bâtiment de confrérie à la recherche d’une bonne cachette pour le retour des grands-méchants loups à la recherche de bon petits cochons apeurés.

Jusque-là j’avais été un petit cochon chanceux, je n’avais pas encore été prise. Cela m’étonnait beaucoup étant donné que je ne passe pas inaperçue, enfin normalement. Peut-être que je les éblouissais ? Oh non vérité trop parfaite à mon goût, devait surement y avoir des cochons plus gouteux dans la confrérie. Dure réalité, je n’étais pas la « Number One » ici, enfin pour sauver ma peau et ma dignité je pourrais même être dernière. Et oui j’ai le sens du sacrifice. Mais que ce passe-t-il ? Je deviens folle. Vite, vite sauvez-moi.

Maintenant on était début septembre. J’avais une chambre, que je partageais avec un garçon, vive l’intimité ! Enfin pas grave c’était toujours mieux que de vivre dans la grande demeure de Mlle Kenzy et ce faire surveiller toute les 3 minutes. Je suis arrivée dans un période de guerre toute fois et je devais donc affronter la terreur qui régnait en ce moment dans notre confrérie. Morte ou vive je ne me ferais pas avoir par ces tarés. Ce jeu m’amusait quand même je l’avoue, j’y prenais goût de plus en plus. Bon je reviens à mes moutons, enfin cochons, voyons ma technique ultra géniale du moment pour passer inaperçue. (Oui je m’aime /pan/)

La technique est toute simple, vivre en ermite, essayer de croiser le moins de monde possible quitte à rester planquer sous le lit toute la journée à écouter des chansons, manger toute sorte de gourmandise.(Mlle Kenzy me tuerait si elle voyait ça). Enfin je pouvais faire ça tant qu’il n’y avait pas mon camarade de chambre. Quoique, je pourrais essayer de le corrompre non ? Mais bon ne prenons pas de risques, sécurité avant tout. Hormis ma chambre de dernier recours, l’endroit que je préférais pour me cacher était la bibliothèque. Non pas que j’aime particulièrement lire, mais elle était grande et il était très facile de se cacher derrière les grandes étagères remplies de livres. En plus de ça les sportifs n’aimaient pour la plupart, pas spécialement cette endroit. Un bon parti. Malheureusement certains groupes de sots avaient aussi pris d’assaut cette bonne cachette et elle devenait de moins en moins sécurisée. Parfois je retrouvais des signes de bagarres, ou de camps. Barres chocolatées, lampe torche, talkie-walkie même, étaient abandonnés par ci et par-là. Je ramassais toujours tout et cachait les munitions dans les étagères, mes points de repères et de ravitaillements. Malheureusement je n’avais pas trouvé d’arme et j’étais à la merci de tout Initié qui me prendrait en chasse. Mais j’avais de longues jambes et était douée en course, je pourrais alors m’enfuir rapidement en espérant que mon poursuivant ne soit pas lui non plus dans le genre rapide. (Prions ensemble)

Durant mes cessions d’espionnages, je rencontrais beaucoup de petits groupes, certains avec le visage marqué à l’indélébile, d’autres semblaient avoir mal vécu leurs nuit. Douleur à cause des pistolets à billes ? Quelle idée de se cacher en groupe ? Sous la torture les faibles révélaient très vite cachettes, impardonnable et terrible acte de trahison. En ayant vu certains vendre la mèche facilement je me bénissais d’avoir choisi d’être seule en mission. Je n’étais pas habituée à faire les choses seules, j’avais toujours été bien entourée pendant mon adolescence en Russie et si j’avais été là-bas j’aurais surement pris des larbins en manque de reconnaissance pour distraire les chasseurs. Mais ici j’étais seule et je ne pouvais faire confiance à personne à part moi, moi et moi seule. « On est jamais mieux servi que par soit même » disait-on ? Dicton pourri vivement que j’ai des amis vraiment proche tiens. Je ne pourrais jamais vivre seule ici.

Je disais donc que j’étais partie à la recherche d’autres endroits dans la confrérie. En suivant quelques bruits de talkie-walkie mal réglés j’arrivais à trouver des cachettes, mais déjà prises. Je suivais alors mon épopée, dans les couloirs quand j’arrivais devant les toilettes. C’était une merveilleuse idée. Qui irait chercher dans les toilettes ? Et puis même si ils venaient vérifier ; ils n’allaient pas regarder en dessous de la porte pour voir si quelqu’un faisait ses besoins si ? J’espérais que non car ce serait un de mes nouveaux points de cachette. Je repartais alors sur la route, toujours à la recherche d’un bon point de cachette en espérant qu’aucun nouveau ne me prenne pour une Initiée et ne m’attaque.  

Je m’apprêtais à tourner dans un nouveau couloir quand j’entendis du bruit derrière moi. Je me plaquai au mur comme dans les films d’action du genre je-suis-un-flic-super-méga-beau-gosse-de-la-mort-et-je-gère-la-situation. La réalité était tout l’inverse mon cœur s’accéléra instantanément. Je regardais autours de moi mais ne vis rien. Et tout à coup j’entendis des gens courir dans tous les sens. Je me mis à courir à mon tour en espérant ne pas tomber sur un grand méchant-loup. Je courais désespérément vers le lieu le plus proche, les toilettes justes au bout du couloir. J’ouvris la porte en grand mais mauvaise surprise pour moi il y avait des Initiées dans les toilettes. Je les regardais en mode cochon-qui-va-se-faire-égorgé avec de grand yeux puis ressortit en claquant la porte. Je courrais le plus vite que je le pouvais vers un autre couloir. J’entendais qu’on me courrait après. Le cœur battant je sautai juste dans un couloir anfractueux au dernier moment, il n’était pas éclairé mais je décidais de ne pas baisser ma garde. J’avançais toujours en courant mais un peu moins vite. La lumière se ralluma d’un coup tout en m’éblouissant. Je repris alors ma course effrénée jusqu’à arriver dans un endroit qui m’était familier. C’était le couloir des chambres ! Directement je me rendis dans la mienne, j'ouvrais la porte, la fermait en essayant de faire le moins de bruit possible et me cachait sous le lit. J’entendis des bruits de pas. J’arrêtais à chaque fois ma respiration. Après de longues minutes à fixer le post-it de la porte d’entrer je me détendais enfin. Les bruits avaient cessés et tout semblait calme.

Je restais ainsi installée, puis au bout d’un moment je m’allongeai sur mon lit, innocemment. On ne viendrait pas embêter une jeune fille qui dort si ? Si, les méchants loups ne se gêneraient surement pas. Mais bon tant pis, j’étais décidée à rester là. Sans que je m’y attende la porte s’ouvrit d’un grand coup, un garçon imposant sauta dans ma chambre comme une fleur, enfin plutôt comme un taureau enragé ou je ne sais trop quoi d’énorme qui ficherait la trouille à n’importe qui de vivant sur cette terre. Il ferma la porte à clé. Mon Dieu c’était qui ? Et si c’était un Initié qui m’avait poursuivi et qui voulait me faire passer à toute sorte de torture ? Je ne savais que faire, j’étais limite en train de paniquer. Enfin comme un cochon pris au piège. Bon il fallait que je l’affronte. J’attendis une bonne seconde mais rien ne se passa. Le jeune-homme dans la pièce respirait fort, comme s’il avait couru. Je décidais donc d’allumer la lumière. Toujours pas remise de ma stupéfaction, je regardais le jeune homme avec de gros yeux. C’était un magnifique jeune-homme, immensément grand et musclé. Surement un footballeur. Il avait des cheveux châtains foncés et d’incroyables yeux bleus, intenses, profonds. Sa mâchoire était prononcé bien virile et il avait une petite barbe de trois jours. Il avait un long tatouage sur le bras et je me surpris à me demander s’il en cachait ailleurs. Le jeune-homme m’avait vraiment surprise et je ne savais que dire, d’autant plus que sa beauté était à tomber par terre. Il devait être mannequin, c’était obligé, ou alors s’il ne faisait pas ça faudrait qu’il le fasse. Je restais comme ça à le contempler yeux ébahis.

«Salut... Désolé de te déranger, on essaie d'échapper aux Intégrés... A moins que... Tu ne sois l'une des leurs ?» me demanda-t-il.

Sa voix, divine mélodie, elle était grave et bien viril et concordait très bien avec le reste du jeune-homme. Alors comme ça c’était lui aussi un petit cochon apeuré ? Et bien comme ça nous voilà deux, mais lui au moins avait eu l’intelligence de fermer la porte à clé.

«On ? Tu es avec d’autres personnes ? Non je ne suis pas des leurs, sinon tu ne serais plus vivant à l’heure qu’il est. » lui dis-je en souriant.
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MessageSujet: [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina]   [X] Opération Kath-mando [Pv Katherina] EmptyMer 28 Aoû 2013 - 23:02

Date inconnue, zone indétectable sur le radar GPS, quelque part dans la confrérie Rho Kappa. Les éclaireurs rapportent des troupes "Intégrés" (nom des frères dont le bizutage est fini) dans le bâtiment. L'heure est à la guerre, et personne n'est à l'abri. Plusieurs groupes de bizus se sont cachés dans différents coins de la confrérie afin d'échapper à leurs ennemis, armés de pistolets à eau ainsi que de lampes torches. De temps à autre, cachés dans les couloirs, sous les lits ou ailleurs, les bizus entendent des cris... Ceux des leurs tombés au combat, qui doivent sûrement purger leur peine en courant nu autour du bâtiment ou récurant les douches à la brosse à dents. Dans le noir complet, ils frissonnent en pensant à l'humiliation des punitions et pensent à leurs cours du lendemain. Le silence est rompu par quelques élèves qui se rencardent par talkie walkie et se distraient en attendant l'heure du coucher des Intégrés :

- Pssshht... Collin ? Biiiip... Collin, tu me reçois ?
- Put*in mec, tais toi... psssht, y'a un initié qui vient de passer, j'ai failli me faire choper !
- Ah... Mais ils sont pas au...pssht ?
- Au quoi ? Mais je te capte mal là !
- J'ai dis, ils sont pas au... biiiip... Club ?
- Les premiers vont pas tarder... si tu parles du PS !
- Non mais... biiiip... c'est soûlant de se cacher tous les soirs. J'ai emmené le bouquin de maths pour réviser...
- Moi celui de philo... T'as un truc à grignoter ?
- Des barres chocolat... T'as rien pris je parie ? T'oublie toujours !
- J'y peux rien, les barres choco elles sont aux cuisines et je veux pas me faire avoir... Hier ils m'ont dessiné sur la tête avec de l'encre indélébile... J'ai encore des moustaches !
- Bon, t'es où là ? Je vais voir si je peux venir ?
- Euh... Zone 26. Tu es en quel zone toi ? J'ai vraiment trop la dalle, vieux.
- Zone 43. Je suis à l'autre bout, mais je vais essayer de venir. Vaut mieux pas rester le ventre vide si tu dois courir. Ils ont des pistolets à billes d'après ce que j'ai entendu.
- Ouais, mes fesses s'en souviennent merci. Je sécurise... pssshht... Daniel ? T'es en 52 ?
- Psshht... Ouais, toujours, comment tu le sais ?
- T'es trop prévisible mec. Mais beaucoup trop...
- Et tu parles en dormant. Etonnant qu'on t'ai pas chopé pour l'instant !
- Ouais, bon, c'est bon. Besoin d'une couverture ?
- De la zone 26 à 43, vu que t'es au centre, tu peux nous prévenir si un intégré arrive ?
- Ouais, pas de problème, je mets mes lunettes de détection nocturne, j'y vois rien ici...
- Bon, FEU !

Pour ceux qui n'ont pas compris la séquence précédente : le bâtiment a été découpé en différentes zones par les bizus. La zone 26 correspond à l'escalier nord, derrière une grande plante verte et un rideau. Très pratique car l'escalier résonne et le couloir qui suit sur la gauche est visible depuis le rideau, ce qui permet de prévoir l'arrivée d'ennemis. La zone 43 est une zone située au sud du bâtiment au niveau des douches. Endroit stratégique, puisqu'il existe un placard en hauteur dans lequel on peut se cacher sans se faire repérer. Cependant, si le bizu se fait repérer, il ne peut plus bouger car le seul recours possible : les douches. Et la zone 52, qui se trouve au centre, est la bibliothèque. Seul un mec un minimum débrouillard peut se dissimuler là-bas tant il fait sombre. D'où les lunettes de détection nocturne.

Le but de cette mission étant de traverser l'intégralité du bâtiment, 1er étage, sans se faire repérer était un défi hors du commun pour nos bizus. C'est donc avec courage (et après de multiples vérifications dans les règles de l'art) que notre cher Zac s'élança dans le couloir avec pour seule et unique arme un pistolet à eau (on ne compte pas la lampe de poche, le livre de maths et les barres chocolatées comme des armes, à moins d'aveugler son ennemi, l'assommer et l'étouffer avec une barre choco !)... Après quelques secondes de course, il s'engouffra dans une chambre déserte et reprit la conversation :

- J'en suis à la zone 18 ! Daniel, t'es prêt pour m'accueillir ? T'es au point de passage, j'aimerais éviter les soucis par chez-toi, si possible !
- Zone 18... C'est où ça, la zone 18 ? Près de l'ascenseur ? Mais c'est pas au rez-de-chaussée ?
- Daniel... Tu lis seulement les plans qu'on te donne ? Ou t'étais absent à la distribution de cerveaux avant la naissance ?! Zone 18, 18 pour interdit aux mineurs vu que cette chambre est bourrée de porno ! Tu devrais la connaître celle-là, on rêve tous d'y entrer... D'ailleurs c'est bien la première fois qu'elle est vide...
- Bah profites-en, prends-nous des films ! Oh, et j'ai vu un magazine...
- Daniel, concentre-toi, j'ai besoin de rejoindre Collin, on trouvera un moyen d'y entrer, dans cette chambre, t'inquiète...
- All clear de mon côté... Prends tout de même un Playboy... non ?


Tout en soupirant bruyamment, Zac s'empare d'un magazine et entend son compagnon pousser un soupir béat en pensant au magazine. En vérifiant que tout était ok, il se pencha et courut dans le couloir en direction de la bibliothèque. Une fois à l'intérieur, il resta contre la porte et fit un signe à Daniel, qui s'approcha :


- Alors, ce porno ? Donne-le moi ! Et une barre choco aussi...
- Tiens, tiens, prends... Chut, y'en a qui montent ! (Deux filles montent à l'étage)
- Oh, ben je pense que je vais aller dormir et toi ?
- Je vais aller lire à la bibliothèque, j'ai trouvé un super bouquin ! (Les deux acolytes se regardent, les yeux écarquillés et courent silencieusement dans la bibliothèque en cherchant un abri)
- T'es sûre ? On a le contrôle de physique demain non ? Tu ferais mieux de te coucher... Surtout après cette journée...
- Oh, tu as raison. Je vais rester dans ma chambre. Dors bien ma belle !
- Tout pareil... Je suis épuisée... Bonne nuit ma chérie ! (Bruits de bises)

Une fois les deux filles dans leurs chambres respectives, les deux compères soupirèrent. C'était moins une. Sans un bruit, Zac fit un signe à Daniel, qui sécurisa la zone avant de le laisser sortir. De nouveau, notre jeune et vaillant soldat courut vers sa destinée : les douches. Arrivé dans la zone, il se planqua derrière les douches et fit biper le talkie de Collin. Ce dernier, sans sortir de sa cachette, sortit sa main du placard et prit les barres avant de dire :

- Merci. Je garde ça pour plus tard. Ils vont rentrer et prendre leur douche, mieux vaut filer en douce pendant qu'on le peut !
- Okay, mais en silence, hein... T'as tendance à courir comme une brute, on entend que toi !

Collin grogna que c'était son ossature lourde, mais tout le monde savait qu'il avait pris quelques kilos. C'était un sujet de plaisanterie entre eux. Les deux bizus repartirent vers la bibliothèque pour trouver un nouveau plan de bataille. Il était plus sûr d'établir des stratégies en groupe afin de se couvrir les uns les autres. Comme des frères. Cette confrérie avait vraiment créé un lien indissociable, et ils savaient s'en servir à de bonnes fins. Soudain, alors qu'ils marchaient en silence, leur ami Daniel déboula dans le couloir en courant et en criant, les bras en l'air, les lunettes infra-rouge sur les yeux :


-J'suis repéré, j'suis repéré, planquez-vouuuuus !!

Il passa devant eux en courant, et ils entendirent des bruits de course à l'angle du couloir. Il fallait vite se cacher, et dans ces cas-là, chacun pour soi. Collin s'enfuit sans demander son reste, et il ne restait plus beaucoup d'opportunités à Zac. Il plongea la tête la première dans une chambre qu'il ferma à double tour. Heureusement, elle était ouverte et il n'y avait personne, d'après la lumière éteinte. Il soupira une seconde, et la lumière s'alluma. Une belle blonde était dans un des deux lits et regardait Zac avec un air surpris. Elle avait des yeux d'un bleu somptueux, des lèvres qui vous suppliaient de les embrasser et d'y glisser la... langue. Une beauté à couper le souffle (= PAN PAN PAN...Bref). Elle avait des traits fins, caractéristiques d'une européenne. Europe de l'Est ? Russie ? En tout cas elle pouvait se contenter d'être mannequin pour vivre sa vie, elle était superbe. Bien plus que la plupart des Australiennes que Zac avait eues dans son lit. Zac resta là un instant, les bras et la langue pendants, avant de chuchoter d'un ton gêné puis suspicieux :


- Salut... Désolé de te déranger, on essaie d'échapper aux Intégrés... A moins que... Tu ne sois l'une des leurs ?


Dernière édition par Zacchary Durden le Mer 4 Sep 2013 - 17:04, édité 1 fois
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