Wynwood University
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 Et on lui pèlera le jonc ! || Dudu & Likir

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MessageSujet: Re: Et on lui pèlera le jonc ! || Dudu & Likir    Et on lui pèlera le jonc ! || Dudu & Likir  EmptyJeu 23 Mai 2013 - 15:52









Gloire à celui...
✣ qui baisera la poularde !








et on lui pèlera le jonc !



Emeric était du genre prévoyant : quand je lui demandai ce qu’on pêchait, l’allemand me tendit un dossier imprimé, avec photos, nom et prénom, âge… tout ce qu’il y avait à savoir sur notre proie du jour. Je souris, tout en voyant sa photo. Pas mal. Je préférais les blondes, mais ce n’était de toute façon que pour un bête défi entre potes. Je ne comptais pas faire ma vie avec. Et si ça blessait cette pauvre fille… tant pis. Je ne suis pas du genre à me soucier des autres, de toute façon. Si j’avais été une fille, on m’aurait sans doute qualifié de « garce insensible ». Pour l’heure, j’étais un mec, et un gros connard en prime.

« Dix-huit ans, senior year, célibataire, passionnée de danse moderne.
- Dix-huit ans, j’apprécie le geste » fis-je remarquer.

J’avais en effet quelques scrupules à m’attaquer à des filles pas encore majeures. En tout cas, en Belgique. Ici, la majorité ne s’obtenait qu’à 21 ans, ce qui m’aurait obligé à chasser à l’université. Choix réduit, donc.

« Et pour cause : elle est bonne » poursuivit-il, un sourire carnassier aux lèvres. « Dans tous les sens du terme. ‘Parait qu’elle baise vraiment pas mal et que c’est une vraie petite salope au pieux. De source sûre. J’me la serais bien faite plus tôt si… ».

Je relevai les yeux pour le regardai, un air interrogateur peint sur mon visage. Si quoi ? Néanmoins, je n’eus pas le temps de poser la question qu’il enchainait déjà sur autre chose.

« Puis pas du tout de ces petites saintes-nitouches peignes-cul qui se la jouent fausse pudeur. J’mise allez ? Un bon huit ? Et bien sûr, c’est moi qui le vérifierai. Mais j’suis bon joueur, je lui donnerai votre numéro. Enfin. Pas certain qu’elle veuille de vous après le septième ciel ».

J’éclatai d’un rire franc, et tendis les feuilles à Emrah pour qu’il jette lui aussi un œil à la photo de la demoiselle.

« Pas de doute, tu sais les choisir ! » claironnai-je, amusé.

Je m’amusais bien avec eux. Pas de prise de tête, c’était le principal. J’avais horreur de me prendre le chou à parler sentiments. Je m’étais déjà assez fait avoir comme ça, pour l’heure je n’avais plus qu’une envie : en profiter et virer toute trace d’amour de mon vocabulaire. C’était apparemment la même chose pour mes petits cochons. A nous trois, on formait un sacré trio de branleurs.

Le turc s’empressa de répliquer à Emer’, dans sa fierté : « Ne sois pas si empressé, mec. Les nanas aiment le charme de l'orient, tu vois. Pour certaines, c'est exotique de se faire baiser par un turc. Surtout un turc qui sent pas la charcuterie, monsieur l'Allemand ».

« Et un belge, c’est exotique tu crois ? » enchainai-je en riant de ses idées à la con.

Emrah me lança un regard et me chambra à mon tour : « Bon, et toi c'est encore pire, tu parles anglais comme une vache espagnole, tu es jardinier et roux ».

« Ouais mais moi j’ai une grosse bite » répliquai-je en haussant plusieurs fois les sourcils, et en terminant par un clin d’œil à son attention.

Notre petit turc se planta devant nous, et déclara d’un air suffisant qu’on ferait mieux de le payer tout de suite, Emer’ et moi. Je me redressai et lançai un coup d’œil à ma montre Swatch en plastoque, qui faisait un tic tac incroyablement énervant lorsque le silence régnait dans une pièce.

« Que dalle ! Si elle est aussi salope que l’a dit Emeric, elle ne pourra pas résister à l’appel d’un bon marteau, crois-moi » répondis-je, tout en désignant mon entre-jambe d’un geste peu élégant.

J’avais pris soin de mettre un pantalon beige, en toile légère, qui laissait clairement deviner que j’en avais dans le pantalon. D’habitude, j’évitais ce genre de tenue… mais là, tout était bon pour gagner. Surtout qu’il y avait 200 $ en jeu, et je ne crachais clairement pas dessus.

« On se met en place ? » proposai-je ensuite, vu l’heure. « Que le meilleur – moi – gagne ! ».



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MessageSujet: Re: Et on lui pèlera le jonc ! || Dudu & Likir    Et on lui pèlera le jonc ! || Dudu & Likir  EmptyJeu 23 Mai 2013 - 1:38





Alex, Emer' & Emrah
“ Et on lui pèlera le jonc ! ”


Quelle semaine de merde.

J'en avais bavé, pour ainsi dire. Moana m'était tombée dessus le lundi, et le vendredi. J'avais à peine eu le temps de soigner mes bleus et mon coquard que déjà elle me gratifiait de nouvelles marques ; à croire que ça la faisait jouir, de me prendre pour son punching ball. Pire encore, elle devait penser que ces marques qu'elle laissaient sur mon corps faisaient office de signature personnelle ; en bref, je me faisais régulièrement tabasser par une fille ; j'étais entré dans ce cercle vicieux de la violence, sans la moindre possibilité d'en sortir. Et pourquoi ? Parce que je ne levais pas les mains sur les femmes, c'était hors de question. Je répondais. Et elle frappais. Peut-être étais-ce une nouvelle épreuve qu'Allah m'apportait. Je l'acceptais, même si deux épreuves d'un coup, cela faisait beaucoup pour quelqu'un comme moi. Combien de difficultés devrais-je traverser avant de connaitre la paix ? D'abord... Elle, ma Perfection. Celle à cause de qui une partie de ma carrière avait été salie, bafouée. Celle à cause de qui j'avais dû subir l'humiliation des camisoles et des couloirs blancs, de l'immonde odeur de produits désinfectants et de folie. Ensuite, Moana. Cette fille qui m'avait frappé, au premier jour seulement de mon arrivée à Wynwood. Je n'avais fait que la regarder. Immonde gouine. Putain, si seulement ils étaient tous morts dans les camps, ces gens-là... Et... Et puis il y avait l'Autre. L'immonde juive au corps de déesse, au regard d'Amazone. Cette putain de juive qui ne quittait jamais mon esprit, jamais. Cette putain de juive que je me surprenais à suivre du regard, lorsque je la croisais, malgré les insultes pleuvant entre nous deux. Oh, oui, je la haïssais, mais Dieu l'avait créé tentatrice, ultime prison de l'esprit pour me garder cloîtré, enfermé, prisonnier de ses grands yeux de biche, ses grands yeux noirs, ces gouffres dans lesquels je me voyais tomber. Shoshana Ysra'El était l'oeuvre de Dieu, une immondice qu'il avait mise sur ma route pour me voir flancher, mauvais musulman que j'étais, peut-être à Ses yeux. Mais j'avais juré de surmonter cette épreuve. De n'avoir de répit que lorsque cette succube serait entre les mains des mauvais Djins. Il n'y avait pas d'autre alternative.

Ma main se referma sur le plan du lycée, et sur ma sacoche de cuir. Je franchis la porte de ma chambre avec calme, priant intérieurement pour que le maquillage soit réussi. J'avais débarqué dans la chambre de la copine de Zack, une petite muette de chez les bimbos, douce et gentille, qui n'avait pas fait le moindre commentaire, qu'il soit écrit ou oral, au sujet de l'oeil au beurre noir que j'avais sur la figure. Quelle chance j'avais eu d'avoir fait sa connaissance en boite. J'avais rapidement su que le maquillage, c'était son rayon, et j'avais donc fait appel à elle pour m'aider à dissimuler les marques sur mon visage. Très aimable, elle m'avait fait entrer et avait recouvert mon oeil d'un fond de teint très discret, en me montrant en bonne professeure comment faire. Elle m'avait ensuite donné le pot avec un sourire, et j'étais parti, non sans la remercier chaleureusement. Il faudrait que je lui en achète un autre, plus tard. Pour le moment, ce fond de teint ferait mon camouflage. Pas question que Tic et Tac sachent que je me faisais défoncer par une faible femme.

Titi et Grominet, c'étaient Emeric et Alexandre. Ces deux là partageaient nombre de mes centres d'intérêts ; les conneries, les femmes, la fête. Nous nous étions rapidement retrouvés, chacun à notre manière. Et rapidement, nous sommes devenus une petite bande de potes, trois mecs qui faisaient les quatre cent coups dans le bahut. Alex nous avait donné rendez-vous dans sa conciergerie, pour un petit pari à la sauce Homme ; draguer une gonzesse, et se la taper. Celui qui y parviendrait recevrai une récompense de ma part ou de celle d'Emer, et un service de celle d'Alex. J'étais convaincu que j'allais gagner ; et lorsque je retrouvais les garçons, Emeric était déjà en train de fanfaronner, exhibant la photo d'une gonzesse roulée comme une bimbo, se délectant déjà de cette première place qu'il gagnerait, d'après lui, les doigts dans le nez. J'admirais le fil de pêche d'Alex, fil que je tendrais avec lui le moment venu. Ce connard d'Emeric avait encore gagné aux dés. La prochaine fois on prendrait les miens. Et ils étaient pipés en ma faveur, bien entendu. Enfin bref, je me tournais vers Emeric, un sourire narquois à la bouche.

"Ne sois pas si empressé, mec. Les nanas aiment le charme de l'orient, tu vois. Pour certaines, c'est exotique de se faire baiser par un turc. Surtout un turc qui sent pas la charcuterie, monsieur l'Allemand."

Je jetais un coup d'oeil à Alex, et le chambrais à son tour.

"Bon, et toi c'est encore pire, tu parles anglais comme une vache espagnol, tu es jardinier et roux."

Je fis face à mes deux potes, insupportablement suffisant. Mais mon sourire disait clairement que j'avais très envie de me prêter au jeu.

"Vous devriez me payer tout de suite, ça ira plus vite."

Codage fait par .Jenaa


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MessageSujet: Re: Et on lui pèlera le jonc ! || Dudu & Likir    Et on lui pèlera le jonc ! || Dudu & Likir  EmptyMer 22 Mai 2013 - 23:32



et on lui pèlera le jonc !



« Partant ! ».

Il ne lui avait suffit que d’un mot pour jeter aux flammes sa mielleuse et hypocrite fidélité, à l’image du son unique qu’avait articulé la démone avant d’emporter dans son ouragan dévastateur tous les efforts qu’il avait jusqu’alors accompli. Derrière l’apparat de paillettes et d’edelweiss qui saupoudrait de mensonges leurs mains liées, il le savait ; quand ses iris méprisantes ne devinaient plus que l’humiliation dans le salut des ses lèvres étirées, elle ne voyait plus en lui que la chaîne noire qui la rendait maîtresse de l’ignominie. Derrière son visage d’ange, la garce n’était en vérité qu’une espère de petite chienne plus lâche et perfide encore que la peste bubonique. Et lui ? Il allait lui montrer comment s’y prenait la syphilis pour se répandre à un rythme plus virulent que sa mélodie mortuaire. Armé d’audace et d’orgueil étranglé, il l’asphyxierait avec une petitesse graduelle et elle découvrirait sans pudeur le goût amer du malaise. Vainqueur, il lui volerait alors son trône véreux et elle n’aurait d’autre choix que de s’agenouiller devant sa superbe dans une dernière inclination. Du royaume de la pourriture, il était suzerain des gueux, et la vengeance était sa plus fidèle vassale. Ainsi, quand ses pupilles séraphiques s’arrêtaient sur sa silhouette, il lui offrait le sourire passionnel qu’elle attendait dignement. Mais à l’instant même où sa présence s’évanouissait, c’était non sans arrogance qu’il salissait de mépris son nom. Il n’existait pourtant aucun vaccin contre la morsure de l’humiliation et la gangrène continuerait de ronger sa chaire souillée. Et quand elle atteindrait son cœur, il s’en était fait la promesse, il piétinerait jusqu’à sa dernière trace de dignité. Au nom des âmes damnées par la femme adultère, Evangeline Roseberry allait souffrir de sa faiblesse.

- Alors ? Prêts à vous faire baiser par ma majestuosité naturelle ?

Les lèvres étirées en un sourire railleur, les rétines pétillantes d’insolence et les mains nonchalamment enfoncées dans les poches de sa veste de cachemire, Emeric Kürschner s’était paresseusement accoudé au chambranle de la porte ouverte de la conciergerie. Pour tout salut, il avait brandit en la secouant faiblement la photo de leur prochaine victime. Féminine, cette fois. Pour le plus grand plaisir de leurs attributs, ils préféreraient cette fois la chasse à la lorette à la chasse aux emmerdes, et autant dire que pour motiver leur mise-en-scène, Alexandre avait eu une idée lumineuse. Une expression satisfaite accrochée au visage, Emeric jeta un coup d’œil à leur arme de fortune : du fil de pêche. Assurément, la prise serait bonne, en cette fin d’après-midi. Quand le roux se tourna vers lui, lui demandant davantage d’informations au sujet de leur victime, il lui tendit la photographie fraichement imprimée.

- De la Rho Kappa. Caitlyn Bowen, de son p’tit nom. Elle avait rendez-vous avec la conseillère d’orientation à quoi ? Quatorze heure ? Elle ne devrait pas tarder à passer par ici. C’t’une petite brune franchement pas mal, comme tu peux le voir. Dix-huit ans, senior year, célibataire, passionnée de danse moderne. Et pour cause : elle est bonne.

Il haussa un sourcil avec un sourire équivoque.

- Dans tous les sens du terme. ‘Parait qu’elle baise vraiment pas mal et que c’est une vraie petite salope au pieux. De source sûre. J’me la serais bien faite plus tôt si…

Sa mâchoire se crispa avec amertume.
Sale catin, putasse des bas quartiers. Si rien du tout. Elle pouvait bien se faire sauter par Abramovic (pour peu que celui-ci savait comment se servir de sa sexualité) que ça ne lui aurait fait ni chaud ni froid.

- Puis pas du tout de ces petites saintes-nitouches peignes-cul qui se la jouent fausse pudeur. J’mise allez ? Un bon huit ?

Le garçon leva les yeux au ciel.

- Et bien sûr, c’est moi qui le vérifierai. Mais j’suis bon joueur, je lui donnerai votre numéro. Enfin. Pas certain qu’elle veuille de vous après le septième ciel.
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MessageSujet: Et on lui pèlera le jonc ! || Dudu & Likir    Et on lui pèlera le jonc ! || Dudu & Likir  EmptyMer 22 Mai 2013 - 2:33









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et on lui pèlera le jonc !



Au début, je dois bien avouer que cela n’avait pas été super évident de débarquer dans un pays où personne ne parlait français. Dans le genre problématique, ça me rappelait la fois où je m’étais coltiné la garde de deux chiournes flamands, alors que je pète pas un mot de cette langue dégueulasse. Et en prime, ça n’avait servi à rien, que de me faire passer une semaine détestable, à jouer au Mémo K3 avec une binoclarde de 5 ans. Super leuk, kof kof ! En attendant, je me retrouvais quand même coincé ici à Miami, où chaque sortie sans crème solaire était un peu comme passer un poulet sous le grill d’un four.

Maintenant, cela faisait presque 3 semaines que j’étais là. Je prenais des cours d’anglais intensifs avec un prof d’université sous-payé, je relisais tous les soirs « L’anglais pour les nuls », et je me faisais aider pour la pratique par des jolies lycéennes. Dommage, presque aucune d’entre elles n’était majeure ! J’en étais presque à me demander si c’était vraiment le genre de truc qui allait m’arrêter. En revanche, côté mecs, c’était beaucoup plus drôle, dans le sens où les types plus jeunes avaient exactement la même mentalité que moi. J’avais notamment fait la connaissance de deux gars vraiment marrants, dans leur genre. Des petits cons en puissance, un peu comme moi. On avait rapidement accrochés, tous les trois. Et aucun d’eux n’était ricain, c’était peut-être ça, l’astuce ? Emeric, l’allemand, et Emrah, le turc. Les Em². C’étaient mes cochons. Ironie du sort, Emrah bouffait pas de porc. Pourtant, tout est bon, dans le cochon, il ne sait pas ce qu’il loupe.

Aujourd’hui, on avait prévu de se retrouver début d’après-midi dans la petite salle qui servait de conciergerie. Ce qui était bien, avec ce boulot de jardinier, c’est que j’arrangeais mon temps comme je l’entendais, tant que les alentours de l’école étaient bien entretenus. C’était pas compliqué, et pas mal payé non plus, pour ce que c’était. Je bossais le matin, il faisait moins chaud. Et comme ça, il me restait tout l’après-midi pour vaquer à mes occupations. L’occupation du jour, donc, était la suivante : drague piégée. Les gars et moi, nous avions choisi une cible. Une belle minette, en espérant qu’elle ait les genoux solides. Oui, parce qu’en fait… on comptait la faire tomber. Quoi ?! J’en vois qui s’excitent, là. Mais rien de méchant : un fil transparent tendu dans un couloir, et trois preux chevaliers qui accourraient à son secours. Le but : se la faire. Si Emeric et Emrah perdaient, ils donnaient 100$ au gagnant. Et moi, comme je roulais pas sur l’or, je lui devais un service. On en avait pas précisé la nature, mais c’était du détail : je comptais bien gagner !

Après avoir pris une douche et m’être changé, je gagnai la conciergerie – aussi appelée « poste de secours ». J’ouvris la porte et sortis le fil de pèche de ma poche. Fil de pèche… c’était le cas de le dire ! Rapidement, les gars arrivèrent, parés à faire feu. Là aussi… non, je vais pas la faire, celle-là, elle est trop facile. Je les saluai, avec mon bel accent de belge qui parle anglais comme une merde. Après les politesses d’usage, je me tournai vers Emeric. C’est lui qui avait la « fiche d’identité » de la fille, qui était apparemment une Rho Kappa.

« Alors, on pèche quoi aujourd’hui ? » lui dis-je, en jouant avec le fil transparent qu’Emrah et moi devions tendre de chaque côté du couloir.

Nous avions joué aux dés qui ferait quoi, et évidemment Emeric avait gagné le droit de l’aborder quelques minutes avant nous. Je le soupçonnais d’avoir pipé ses dés, d’ailleurs. Ce mec avait trop de chance, c’était pas normal !



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