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 | | Sujet: || Alex || Que l'on me donne le bon Dieu sans concessions ! Dim 19 Mai 2013 - 15:44 | |
|  Alexandre "Alex" Franck Claude
Joseph SAINT-JAMES
ft. Rupert Grint
○ Age : 22 ans.
○ Date et lieu de naissance : 17 juin 1990, Rocourt, Belgique.
○ Classe : Corpus enseignant.
○ Confrérie : // → Jardinier.
○ Riche ou bourse d'étude ? Classe moyenne, mais actuellement sur la paille.
« Si tu me demandes ce que j’aime chez moi, je vais te dire « tout ». Parce que je suis le genre de personne qui sourit à son propre reflet dans le miroir. Si tu me demandes ce que je n’aime pas, par contre, la liste sera bizarrement plus longue. Je n’aime pas mes orteils. Ils sont bizarres. Il y a un giga espace entre papa orteil et les enfants. De toute façon, un pied, c’est moche. Et personne ne regarde mes orteils, donc ça va. Surtout que si, physiquement, j’avais pas ça… je ressemblerais pas du tout à mon père. Du coup, d’un côté, mes orteils me rassurent. Je me dis que c’est la preuve que mon père est bien mon père. J’aime pas ma peau, elle est transparente. On voit mes veines à travers, et quand je me lave les mains, je dois pas trop les regarder sinon je me sens pas bien. L’eau chaude, c’est comme si ça activait la fonction transparence. Le point positif, c’est que l’infirmière, elle sait toujours où elle doit piquer, et elle est sûre de pas se louper. L’été, je bronze pas, ma peau est trop fine. Je rougis. Alors je mets de la crème solaire indice 50+, et je reste blanc comme la cuvette des WC. Heureusement que j’ai des taches de rousseur pour rattraper le coup, sinon j’aurais vraiment l’air d’un cadavre. J’aime pas mes cils. Ils sont trop clairs. Mais bon, je suis content d’en avoir quand même, j’aurais l’air con sinon. Puis ils font pas de l’ombre à mes yeux verts, comme ça. C’est pas plus mal. J’aime pas mes lèvres, elles sont trop fines. Mais si j’avais eu une grosse bouche, j’aurais sans doute eu l’air d’un black albinos. Du coup, je l’accepte comme elle est, et je souris souvent parce que ça creuse une fossette dans ma joue, et parce que je suis comme ça : souriant. J’aime pas non plus mes cheveux roux. On s’est beaucoup moqué de moi, à cause d’eux. Ils sont très fins, j’arrive pas à les coiffer facilement. En plus, ils sont implantés super haut sur ma tête, ça me fait un grand front. Mais comme j’ai une mèche, ça se voit pas. De toute façon, mes cheveux, ils font partie de moi. Si j’étais pas roux, je ne serais plus exactement moi-même. Du coup, ça serait moins bien. Ouais, en fait : tout ce que je n’aime pas, je l’aime quand même. C’est moi. Et après… t’as tout ce que j’aime. J’aime mon nez, il est droit, comme celui des statues grecques. Et il est juste à la bonne taille. J’aime bien mon air de petit ange, aussi. On me prend rarement au sérieux, quand je dis des saloperies. Les gens croient que je plaisante, ça m’arrange bien. J’aime bien mes épaules, mon dos, mes fesses. Toute la partie « pile », en fait. Je suis super large de carrure, comme gars. Les filles adorent. Et comme je suis grand, j’ai l’air d’une armoire à glace. Même si j’ai l’air gentil, ‘faut pas me chercher, parce que je ne le suis pas toujours. J’aime bien mes dents, aussi. Elles sont blanches, bien alignées. Peut-être que c’est aussi pour ça que je souris souvent, je sais pas. J’ai deux tatouages. Ils sont bien cachés. Et avant, j’avais un piercing à l’oreille, mais je l’ai retiré, ça va faire un an, je crois. Je dois continuer ? Non parce que là, tout le monde a compris à quoi je ressemble, non ? » « Je vais vous épargner l’évolution de mon caractère… pour vous parler de moi à l’heure actuelle. Je suis une personne super positive. J’arrive à tout relativiser, pour ne pas sombrer dans la déprime. Parfois, j’exagère et je me convaincs moi-même que la situation n’est pas si grave. Ce qui fait également de moi un mec insouciant. Je ne me tracasse de rien, j’ai la zen attitude. C’est une qualité comme ça peut être un défaut, je dois bien l’avouer. Avec le recul, je me dis que si je m’étais un peu plus inquiété de savoir ce qu’il allait advenir de moi, je n’en serais pas là à l’heure actuelle. Surtout que ma paresse n’aide en rien, quand il s’agit de se remuer le cul. A part ça, je suis sociable. J’aime être entouré, je supporte difficilement la solitude. Même lorsque je reste sur l’ordinateur, il me faut parler à des gens via des réseaux sociaux, sinon je finis par tourner en rond, comme un fauve dans sa cage. On me dit souriant, agréable à fréquenter… c’est vrai. Je ne suis gêné de rien, je peux aborder tous les sujets sans me sentir mal à l’aise. Je n’irais pas jusqu’à dire que j’ai un avis sur tout, parce que ce n’est pas le cas – je manque cruellement de culture générale. Et tous les sujets, cela comprend également ma vie personnelle. J’extériorise beaucoup, j’en ai besoin pour me sentir bien. Finie, l’époque où je gardais tout pour moi. A présent, je suis quelqu’un qui a besoin de se confier. Je suis dragueur, un peu trop. Du coup, je ne suis pas très fidèle lorsque je suis en couple. J’aime jouer, je ne le cache pas. Et comme je n’aime pas les conflits, je mens très facilement pour que l’on me fiche la paix. Je dirais que je suis égoïste. C’est un trait de caractère que l’on ne remarque pas spécialement, de prime abord… et pourtant, je suis le genre de type à tout tourner à son avantage. Les situations les plus négatives me vont, si j’y trouve mon compte. Je ne me force plus à faire ce que les autres attendent de moi. Quand je n’ai pas envie de faire quelque chose, je ne le fais pas. Je ne suis pas rancunier, même lorsque certaines personnes me sortent par les trous de nez : je pense aux bons moments, et je me dis que c’est dommage de tout gâcher pour ça. Je suis un tyran, aussi. Dans un couple, c’est moi qui dirige. La question ne se pose même pas, je ne saurais pas me faire dominer. Socialement parlant, je fais partie des leaders. Ah, et la modestie m’étouffe aussi. Puis, je n’ai pas de mémoire. Vraiment pas, à tel point qu’on me charrie souvent à propos de ça. J’arrive même à oublier l’existence d’un éventuel frère d’une amie. C’est déroutant. Je ne sais pas quoi rajouter de plus. Ce n’est pas si évident de parler de soi ! » « Je suis né un 17 juin, de l’année 1990, en Belgique. Je ne sais pas s’il faisait beau, j’imagine que oui. Tout ce que je sais, c’est que je ne voulais pas sortir de mon trou. Ma mère me l’a assez répété. Les médecins ont dû aller me chercher avec une grosse pince pour me faire sortir, après 8h de travail. J’ai poussé mon premier cri dans la matinée, et quand ma mère m’a eu dans les bras, il parait qu’elle a éclaté de rire en me voyant, parce que je ressemblais à mon grand-père. A cette époque, il portait un toupet, et j’avais une grosse mèche de cheveux noirs et pleins de placenta collée sur la tête. Un peu comme lui. Oui, noirs ! Mon père était aux anges. Quelques mois plus tard, je suis devenu roux. Et je le suis resté. J’imagine que lui, ça l’a dégoûté. Mais c’est pas le genre de truc qu’on dit à son fils. Mon petit frère est né quand j’avais 18 mois, précisément. Inutile de vous dire que je n’ai pas eu le temps de me faire à ma solitude. C’était un bébé braillard, contrairement à moi qui étais très calme. Je n’ai pas vraiment de souvenirs de cette époque, mais l’histoire préférée de mon frère, à mon sujet, est sans doute la suivante : quand il est né, j’étais tellement jaloux que j’ai arrêté d’aller aux toilettes. Du coup, on m’a emmené à l’hôpital, les médecins m’ont donné un médicament… et à peine arrivés dans la chambre, avec ma mère, que je retapissais tous les murs. De caca. Nous, on en rigole maintenant, mais imaginez ma mère, elle n’a pas vraiment du prendre son pied, ce jour-là. Bref, on a grandi. On s’entendait vachement bien, mon frère et moi. Quand il se faisait engueuler par ma maman, je lui disais « Viens Naunau, c’est une méchante ». C’était la bonne époque. Mon enfance a été du genre vachement heureuse. A l’école, j’avais plein d’amis, j’ai même été élu « meilleur camarade de la classe », surpassant mon ennemi juré dans les suffrages. Enfin, ennemi juré… quand je dis ça, c’est surtout que c’était à celui qui aurait les meilleures notes en classe, quoi.
Et puis, ça s’est gâté. J’étais en troisième primaire quand le grand-frère de ma meilleure amie est mort dans un accident de la route. Ma maman s’est rapprochée de celle de ma meilleure amie, pour la soutenir dans cette épreuve. Je crois qu’elle s’y sentait un peu obligée, à cause de mon amitié avec Aurore. On se connaissait depuis la maternelle, c’est dire. Et on est encore amis à l’heure d’aujourd’hui. Bref, on a commencé à inviter les parents d’Aurore à venir souper à la maison, on est même partis en vacances avec eux, faire du ski. Cela a duré plus ou moins deux ans. Jusqu’à ce que, en 2011, ma grand-mère surprenne mon père et la mère de ma meilleure amie. Ils disaient qu’ils allaient faire du sport, tous les deux. Et en fait… non. Un divorce plus tard, je suis rentré à l’école secondaire. C’est l’équivalent du collège. Mon père est allé habiter chez la mère de ma meilleure amie, et moi… j’étais content. Mes parents ne se disputaient plus, et je voyais Aurore un week-end sur deux. Arnaud, bien qu’un an et demi plus jeune que moi, était beaucoup moins égoïste et centré sur sa petite personne. Il avait donc compris que ma maman souffrait de la situation. Il a commencé à devenir vraiment difficile, à faire des crises pour un petit rien. Au début, c’était contre mon père, mais au fur et à mesure des années, il s’est rebellé contre tout le monde. On ne s’entendait plus du tout.
A l’école, ce n’était pas beaucoup mieux. J’ai été séparé de mon groupe d’amis, en deuxième année. Je me suis retrouvé dans une classe avec plein de mecs super méchants, qui se moquaient sans arrêt de moi. Je faisais semblant d’être malade pour rentrer à la maison. Et mes amis ne comprenaient pas ce qu’il se passait, parce que j’essayais de garder tout pour moi. A cette époque, je suis devenu très renfermé sur moi-même, très réservé, timide à l’excès. C’était une vraie pénitence, lorsque je devais prendre la parole devant tout le monde. Je les voyais rire sous cap, et je rougissais à qui mieux mieux, en priant pour que cela se passe le plus vite possible. Je sais que ce n’est pas si grave, qu’il y a pire dans la vie… mais je n’avais que 13 ans, et ça me semblait être la pire épreuve du monde. Je faisais des migraines à répétition, tellement le stress d’aller à l’école était fort. Enfin, heureusement, cela s’est calmé lorsqu’en quatrième année je me suis à nouveau retrouvé avec Elodie, qui faisait partie de ma bande d’amis.
J’ai commencé à sortir avec des filles lorsque j’avais 16 ans. Rien de bien méchant, j’étais beaucoup trop timide pour oser faire plus que les embrasser du bout des lèvres en leur tenant la main. Avec le recul, c’est à se demander comment je suis devenu celui que je suis aujourd’hui. Ma première bière, je l’ai bue à 17 ans, lors d’un voyage humanitaire au Bénin. A ce moment-là, j’avais complètement décroché, les cours, c’était clairement pas pour moi. Par rapport à moi, en primaire, c’était le jour et la nuit. Ma première copine a été une véritable salope avec moi. Elle s’appelait Maxine et se vengeait de son premier copain à elle. Autant vous dire que j’en ai bavé. A tel point que mon second tatouage est une façon de me souvenir d’éviter les gens comme elle, à l’avenir. J’ai obtenu mon diplôme, de justesse.
L’année que j’ai passée à l’université, à étudier la psychologie, a vraiment été une année charnière. Scolairement parlant, j’avais de bons résultats – sauf en mathématiques, évidemment. Je me donnais à fond dans les cours, vu la taille des bouquins, j’avais compris que je devais m’y mettre si je voulais réussir. Manque de pot, ce n’était pas un métier pour moi. Je m’en suis rendu compte en cours d’année, et j’ai arrêté. Mais cette année m’a tout de même libéré d’un certain poids. J’ai appris à avoir confiance en moi, j’ai rencontré ma première vraie copine, avec qui je suis resté un peu plus de deux ans… mais surtout, je suis devenu charismatique. Je n’ai pas encore bien compris comment j’ai fait pour passer du noir au blanc comme ça. Mais le petit garçon sociable qui sommeillait en moi depuis mes primaires s’est réveillé, et a repris la place qui était sienne. C’est également à cette époque que je me suis pris de passion pour l’écriture.
S’enchainèrent ensuite trois années en fac de communication. Je ne travaillais pas, le niveau de l’école étant vraiment bas. Je préférais passer mon temps sur des forums. Et je suis devenu un geek. Entre ma première vraie copine et la suivante, il y a eu une passade où j’ai enfilé les meufs comme on enfile des perles sur un collier. Et je suis devenu un sale queutard. Je sortais beaucoup, c’était le bon temps. Je suis ensuite tombé amoureux d’une chinoise. Une fille trop gentille. Mais quand elle est partie pour deux mois aux Etats-Unis, pour son boulot – parce qu’elle était plus âgée que moi – en repoussant ma promesse de l’attendre, elle m’a sympathiquement brisé le cœur. J’ai continué à sauter tout ce qui bougeait, je me suis brûlé les ailes avec le remake de ma première copine, en pire… et je me suis fait une réputation de macho baiseur, en prime. Entre-temps, mon père s’était remarié. Oui, oui, il existe toujours ! Sa nouvelle femme n’ayant pas d’enfant à elle, ils ont fait un bébé. Je me suis donc retrouvé avec une petite sœur de 20 ans ma cadette ! Et autant dire que je l’adore, c’est mon bébé chéri. Bref, ensuite, ma chinoise est revenue des USA, et nous nous sommes mis en couple. J’ai raté ma dernière année de communication, à force de glander, ma mère en a été malade, en rage qu’elle était ! Je l’ai recommencée… et abandonnée en cours de route sans lui en toucher mot. Sombre histoire de dispenses non-signées. Avec ma copine, tout se passait bien. J’étais enfin calmé. Mon frère aussi, on recommençait à construire une relation normale. Mais. Parce qu’il y a toujours un « mais ». Ma mère a découvert, avant que je ne me trouve un boulot, que j’avais arrêté l’école sans lui en parler. Elle est entrée dans une colère noire, a rassemblé toutes mes affaires et m’a jeté à la porte de chez moi. Dans un premier temps, j’ai squatté chez ma copine… mais la cohabitation était vraiment difficile. Pas question d’aller chez mon père, il n’y avait pas de place pour moi, avec la petite. Et un beau matin, je me suis réveillé serein. Au lieu de mon connecter à l’ordinateur comme je le faisais d’habitude, j’ai fait mes valises. Je me suis rendu à l’aéroport de la Capitale, et j’ai pris le premier vol en partance pour Miami. Miami… la ville de mon forum.
On a tous déjà rêvé de tout quitter. Mais entre le penser et le faire vraiment, il y a une sacrée marge. Moi, je venais de la franchir. J’atterris à Miami, donc. La première chose que je fis fut de chercher un boulot, et régler les papiers administratifs. Alors ça, c’est une sacrée plaie, je vous assure ! Je repérai une annonce, comme quoi un lycée prestigieux de la région cherchait un jardinier à plein temps. Je me présentai, et l’on m’embaucha. C’est comme cela qu’à 22 ans, j’arrivai à Wynwood High School, sans aucune expérience du jardinage derrière moi. Mais heureusement, j’ai Google… et je mens comme je respire. »
○ Code : Ok by hopy
○ Secret envoyé ? ✔ | ✘ (à remplir par un administrateur)
○ Comment avez-vous connu le forum ? Via un top-site, il y a de cela presque 3 ans !
○ Souhaitez-vous un parrain/marraine ? Haha, non.
○ Une remarque ? Je saiiis que je n'ai pas encore les points avec Rubi, mais ça ne va pas tarder donc j'ai déjà créé le compte ♥ QC de Pollo, donc.
Dernière édition par Alexandre Saint-James le Mar 21 Mai 2013 - 21:11, édité 3 fois |
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. Bref, te voilà validée, j'ai rien à dire donc je te souhaite la re-bienvenue et un bon jeu! <3 »