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 Le Hasard Fait Bien Les Choses !

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MessageSujet: Re: Le Hasard Fait Bien Les Choses !    Le Hasard Fait Bien Les Choses !  EmptyLun 9 Sep 2013 - 11:42

Aiden Ҩ Ambre
« Je ne crois pas au destin ... Je ne crois pas au hasard ... Mais faut avouer que des fois les coïncidences sont parfois surprenante ! »



Je ne suis guère une fille capricieuse. Non, moi je me rapproche plus de la petite fille modèle. Vous voyez ceux qu'on voit dans les films. Mais il ne faut pas me prendre pour une cruche. Mon père ce crois tout permis, comme s'il avait le droit de contrôler ma vie. Mais c'est MA vie ! Pour lui c'est totalement normal, je suis sa propriété. Sa chose, une marionnette parfaite. Mais là j'arrive à saturation.

J'en aie ma claque de ne jamais faire de vague. D'être une inconnue dans ma propre vie. Dans mon propre corps. Aiden, m'a quand même sauvé de ce groupe d'abrutis. Il m'a aidé alors qu'il aurait pu passer son chemin. Et mon père n'a même pas un minimum d'humanité, de gentillesse voir de compassion pour le garçon qui a protégé sa fille. Même pas un remerciement. Bien qu'Aiden ne s'attendait certainement pas ça, mais moi oui. Et vous savez pour quelle raison stupide il n'a aucun égare pour Aiden. Uniquement parce qu'il a un cassier judiciaire.

Ça m'exaspère. Il m'exaspère. Ce soir, pour la première fois, mon père m'a déçu. Royalement déçu. Je ne le pensais pas comme ça. Je croyais que c'était un homme avec des valeurs. En fait il est comme tous ces autres moutons de la haute société. L'apparence, ils n'ont que ça a la bouche. Et moi j'en peux plus des apparences.

Ce soir je vais leur montrer que moi aussi je sais faire des choix. Que je suis maître de ma vie. Qu'il a élevée une fille a la hauteur de ses attentent. Oui, ce soir je vais lui prouver que je ne plus une simple marionnette. Que je suis plus que son jouet favori. Ce soir, c'est le soir où Ambre Eleanor Katalyna Atwell devient une personne indépendante et sûr d'elle pour changer.

Moi je ne veux plus être ce mouton stupide qui se laisse guider. Qui pense comme tous les autres idiots de service. Non, je ne veux plus être un animal de foire pour les médias et les pseudo amis de mon père.

Je claque la porte en sortant du bureau. Oui, je suis particulièrement énervée. Voir hors de moi, j'avoue que ce n'est pas convenable. Mais au diable les conventions. Je me dirige d'un pas ferme vers la cellule où Aiden est enfermé. J'avoue que mon idée est de suite moins bonne, quand je dois en parler à Aiden. Étant donné que je ne sais pas trop comment il va le prendre. C'est un garçon authentique, jouer le jeu ce n'est pas forcément son truc.

Je m'agrippe aux barreaux, sourire aux lèvres. Je ne vous cache pas que je suis tremblante, mais c'est pour la bonne cause. Aiden est une bonne cause. Il s'approche de moi, je plonge mon regard dans le sien. Inspire, expire et désormais que tu as toute son attention, lance toi.

Je me jette à l'eau et lui explique de long en large mon idée. Il mérite d'avoir un nouveau départ. Une nouvelle chance de ne pas commettre les mêmes erreurs. Aiden me touche particulièrement et je ne saurais pas vraiment vous dire pour quelle raison. S'il ferait marcher ces relations. C'est peut dire. Mais avant d'en arriver là, y a un long chemin à faire.

« Oui, il pourra facilement effacer ton cassier. Mais avant d'en arriver là, va falloir que je redouble d'imagination. Effectivement, avant de capituler, mon père va exposer tous ces arguments. Mais je suis déterminée et tu es la meilleure cause pour laquelle je pourrais me rebeller. Après tout si j'en suis là ce soir, c'est un peu grâce à toi ! »

D'accord, je n'aime pas particulièrement le mensonge. Et certes encore moins quand c'est à mon père et mes frères que je mens. Mais c'est ma seule chance de me libérer de l'emprise infernal de mon père. De la pression incessante qu'il met sur mes épaules. Moi aussi j'ai droit à une vie, une vie que j'ai choisie. De plus mes frères comprendront très vite la supercherie, mais je sais qu'ils joueront le jeu. Pour moi.

Aiden trouve mon idée bonne. Ce qui me fait sourire. Toujours accrocher aux barreaux comme une fille amoureuse. Je me surprends bonne actrice. Quoi que mes sentiments plus qu'ambigu envers Aiden m'aident beaucoup. À l'entende de ces mots encouragent, je me retourne et qui vois-je derrière moi. Suspens ... Mon père. Désormais dos à Aiden, une main toujours agrippée aux barreaux. Cherchant un soutien quelconque. Je trouve se soutient dans un simple mot, prononcé part Aiden. Qui l'aurait crus. Avant d'avancer vers mon père et cette montagne de policier leurs yeux braquer sur moi. Aiden me lance une question a laquelle même moi je n'avais pas pensé. Je me retourne de nouveau vers mon chéri d'une nuit. Enfin, c'est étrange dit comme cela.

« Une préférence ? » Dis-je en haussant légèrement les épaules. « Trois, Quatre mois ? »

Une fois sa réponse en tête. Je me retourne de nouveau vers cette foule de monde. Avec à sa tête mon incorrigible paternel. Tous les espoirs d'Aiden reposent sur moi désormais. Ce n'est pas une mince à faire, mais j'en suis capable. Pou Aiden. J'avance d'un pas vers mon père, cherchant du réconfort dans le regard de mes frères. Puis regarde mon père dans les yeux, son regard noir me transperce quasiment.

« Ambre, à quoi joues-tu ? »

« Je ne joue plus papa. J'en aie ma claque d'être ta marionnette. Ce soir, c'est moi qui décide. »

« Voyons Ambre, tu entends ce que tu dis ?! Je te prie d'arrêter ton cinéma tout de suite ! »

« Je vais arrêter. Mais pas avant que tu ai fait sortir Aiden de là. »

« Cela n'arrivera pas Ambre. Tu le sais pertinemment. »

« Tu sais pourquoi il m'a sauvé ce soir ? Pourquoi il a pris autant de risques ? »

« Ambre, ... »

« Non, en fait ce n'était point ne question. Je vais te dire ces raisons qui sont des plus nobles. »

« Noble ! Il se sert de toi, c'est tout ! »

« Non, papa. Il m'aime c'est tout. Cela fait plusieurs mois que nous sommes ensemble. Que ça te plaise ou non. »

« Mais voyons Ambre, regarde-toi. Tu crois vraiment qu'il sort avec toi pour tes beaux yeux. S'il sort avec toi c'est part intérêt. »

« Que veux-tu dire exactement père ? »

« Tu es bien trop naïve ma pauvre petite. Tu es faite pour un autre type d'homme. Je t'aie élevée et je ne te laisserai pas détruire ce que j'ai passé 16ans a créé. Tu es ma fille et tu vas faire ce que je te dis ! »

Je veux répondre à mon père, mais Aiden me prends de court. Je me retourne vers lui surprise. Mon regard est empli de tendresse. Je ne sais pas ce que je dégage, ni même si je suis crédible. Je ne suis même pas certaine de jouer la comédie, bien qu'on n'est pas ensemble.


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MessageSujet: Re: Le Hasard Fait Bien Les Choses !    Le Hasard Fait Bien Les Choses !  EmptyJeu 18 Juil 2013 - 23:57

J'attends quelques instants de plus en cellule. Derrière ces barreaux, une fois de plus, j'ai l'impression d'étouffer, de mourir à petit feu. Une mort lente et douloureuse. Je sais que je vais finir par sortir, d'une manière ou d'une autre. J'ai déjà connu bien pire que ca, et je m'en suis toujours tiré. Les policiers sont loin d'être les plus redoutables. Ils n'ont pas vécu à la rue, contrairement à moi, il n'ont pas eu les enseignements que j'en ai tiré, tout comme les magouilles et les tours de passe-passe en tout genre. Il me serait facile de sortir d'ici, dès qu'un autre homme viendrait me chercher. Le seul bémol est que je ne veux pas m'attirer encore plus de problèmes que j'en ai déjà. Alors j'attends. Encore et toujours. Je ne sais combien de temps je tiendrai encore, mais il le faut.

Ambre vient me tirer de mes pensées. Elle s'approche de moi, avec un sourire. Je suis étonné de la voir encore ici, je la croyais sortie depuis un bon moment déjà. Pourtant, elle était tirée d'affaires, contrairement à moi. Alors pourquoi n'avait-elle pas regagné son doux foyer? Son sourire m'étonne également, après une telle affaire, mais je suis heureux de pouvoir le lire sur son visage. Elle s'agrippe aux barreaux, je m'approche tout près d'elle, juste de l'autre côté, elle m'affirme qu'elle peut me faire sortir de là, tout comme rendre mon dossier impeccable. Mais pour ca, il faut que je l'écoute. Je deviens soudain intéresser, mes sens se remettent en alerte.

« Je t'écoute. »

Lui répondis-je bien curieux de connaître sa méthode miraculeuse. Ambre me parla alors de modifier la réalité. Elle me proposa de me faire passer pour son copain, devant son père qui -je venais de l'apprendre- était là.

« Tu crois que ton père peux faire marcher ses relations s'il croit qu'on est ensemble? »

Je réfléchissais à haute voix, essayant de comprendre le raisonnement de la jeune femme. Oui, ca paraissait logique. Je n'aurais jamais espéré qu'Ambre me propose une telle chose. Elle avait l'air de croire que ca me dérrangerait, que ce serait difficile pour moi, alors que moi, je croyais ca d'elle.

« Oui... Ca me paraît être une bonne idée. »

Tranchai-je, prêt à tenir ce rôle qu'elle me proposait. Ce ne serait pas bien compliqué. Je savais mentir, je n'aimais pas ca avec mes proches, mais je n'en avais rien à faire lorsqu'il s'agissait d'autres personnes, raison de plus si c'était des flics. J'avais déjà trompé des gens à de nombreuses reprises, en prenant une identité qui n'était pas la mienne lors de mon voyage, afin de trouver un toit sous lequel dormir ou obtenir de quoi manger. Me faire passer pour le copain d'Ambre n'aurait franchement rien de compliqué. Ca aurait très bien pu être le cas après tout, si nous étions tombés amoureux. Ca n'avait rien d'abérant. Et puis, Ambre était une femme plus que charmante, je n'aurais pas à me forcer pour jouer cette comédie.

En temps normal, je me serais inquiété pour Ambre, je lui aurais demandé si elle était bien certaine de vouloir faire ca. Mais là, je tenais vraiment à sortir, alors je ne comptais pas la faire changer d'avis. Et puis, c'était elle qui avait proposé, l'idée lui était venue toute seule, alors autant la suivre dans son élan.

« Ok, alors, va leur raconter ce que tu voudras sur nous. Je marche. Je te fais confiance... »

Et je terminai ma phrase par:

« ...chérie. »

Ben quoi, autant se mettre directement dans le bain non? Je n'avais jamais appelé qui que ce soit de la sorte, pas même Marissa lorsque j'étais sorti avec elle. Il s'agissait à présent d'entrer dans un jeu, une scène de théâtre, où j'étais quelqu'un d'autre. Quelqu'un qui appellerait sa copine ainsi par exemple. Il fallait que je sois crédible. Bien sur, je ne comptais pas en faire des tonnes non plus, ca devait paraître naturel avant tout. La jeune femme allait partir exécuter sa mission, je lui lançai juste à temps:

« Et juste au cas où, on est ensemble depuis combien de temps? »

Puis, lorsqu'elle m'eut répondu, j'affichai un sourire rempli d'espoir en la voyant quitter la pièce. Elle pouvait me faire sortir de là, j'en étais maintenant convaincu. Mes espoirs reposaient sur elle.
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MessageSujet: Re: Le Hasard Fait Bien Les Choses !    Le Hasard Fait Bien Les Choses !  EmptyMar 16 Juil 2013 - 15:54

Aiden Ҩ Ambre
« Je ne crois pas au destin ... Je ne crois pas au hasard ... Mais faut avouer que des fois les coïncidences sont parfois surprenante !   »  



Des fois je me dis que j'ai un don tout particulier pour m'attirer des ennuis. Je ne suis pas la petite fille parfaite en toutes circonstances que mon père aimerait avoir. Bien au contraire. J'ai bien trop souvent des fréquentations qui ne collent guère à mon milieu. Des embrouilles mal vues par les gens de ce milieu. Et j'en passe et des meilleurs. Je ne vous parle même pas de ma vie sentimentale qui exaspère min paternel. Il faut se rendre à l'évidence. On voit très bien qu'il n'y a aucun lien de sang là dedans. Je m'efforce tant bien que mal a intégrée une société qui ne me compressons pas. Et ça depuis ma naissance. Je crois que c'est le meilleur signe de reconnaissance que j'ai trouvé. En quelques sortes un merci de m'avoir adopté et pas laisser sur le coter. D'avoir fait de moi ta fille et celle de la soeur de ta femme. Enfin, je me comprends. Mais à l'origine ce monde auquel j'essaye en vain d'intégrer. Et à la fois de fuir. Est bien loin du mien. Je ressemble bien plus à ma mère que ce que je pensais. Je suis du même genre qu'elle. Libre. Effrontée. Et à mauvaises fréquentations. Vous en voulez la preuve. Je suis là.

Assise seul sur cette chaise. A coter de ce bureau bien mal ordonné. Je me pose tout un tas de questions. Comme par exemple: Où je serais aujourd'hui si ma mère ne serait guère morte en me mettant au monde. Serais-ce celle que je suis aujourd'hui? Aurais-je par la force des choses d'autres valeurs?

Dans le fond, je ne suis peut-être pas si différente d'Aiden que ça. Mon père est toujours dans le bureau avec les messieurs des force de l'ordre. Je présume qu'il est entrain de faire tout son cinéma pour que tout ça reste secret. Pour qu'il n'y aie pas de fuite. Et honnêtement j'espère pour eux qu'il y en aura pas. Étant donné que les avocat de mon père son redoutable. Et je parle en connaissance de cause. Je vous assure. Je les ai déjà vus à l'oeuvre. Vu que je suis la victime, je ne devrais pas avoir de casier. Non?! Enfin, ce détail aussi mon père va le régler.

Ce qui sera moins facile a réglé ça sera le cas encore indéterminé d'Aiden. Si mon père constate que Aiden est loin d'avoir un casier vierge. J'hésite sur sa décision. Faudra que j'use de mon indéniable don a manipuler mon père. Non. Enfin, c'est la vérité, mais je ne le fait plus depuis une éternité. Nicholas sort du bureau. Et viens vers moi. Ça ne sent pas bon. Loin de là.

«Sans rire. Petite soeur tu ne sais vraiment pas choisir tes amis. Ou alors tu les choisis selon un critère qui t'est propre.»

«Je préfère le critère qui m'est propre. Ça sonne mieux.»

«Maintenant ça te fait rire. Mais papa n'est vraiment pas content. Ton ami ...»

«Aiden!»

«Aiden, si tu veux. Il a un casier long comme le bras.»

«Je sais. Mais papa doit l'aider.»

«Ambre ...»

«Non. C'est trop facile ça!»

« Non. Ambre ... Mais ... Attend!»

Je me lève de ma chaise. Furieuse. Non, mais vous y croyez vous. Il use de son charisme pour faire peur à c'est stupide policier. Mais il n'utiliserait pas son influence pour aider MON ami. On va voir

«Papa!»

«Ambre. Sort. Tu n'as rien à faire ici.»

«Ne me prends pas pour une idiote. Tu viens pavaner ici, avec ton charisme et ta grande bouche. Tu utilises ton influence pour classer l'affaire. Par peur de fuite. Alors, que la victime dans l'histoire c'est TA fille!»

«Ambre ...»

«Non. Je n'ai pas fini! Mais utiliser tes saloperies de relation qui t'a fallu une vie a créé pour aider LE mec qui à sauvé ta fille. C'est impossible. Pas convenable. Ou je ne sais ce que tu vas me balancer.»

«Ambre. Tu as toujours eu du mal à choisir tes amis.»

«Non. La différence, c'est qu'ils sont amis avec moi. Pour moi et non pour l'influence que j'ai.»

Je sors de la pièce. Toujours aussi furieuse. Si pas plus. Non. Mais franchement. Il me croit aussi stupide. Aiden est de retour dans la cellule. Ça tombe à pique. Je me dirige vers, la cellule en question. Moi, je ne vous dit que mon père va sortir Aiden d'affaire. Parce que dans le fond, il est gentil. C'est uniquement qu'il fait passer les apparences avant tout. Et là les apparences vont lui éclater en pleine figure. Enfin, si Aiden m'aide un peu.

Oui, je sais. C'est mal de manipuler les gens. Mais c'est mon père, c'est n'importe qui. Après avoir claqué la porte, je savais qu'il sortirait et regarderais ce que j'allais faire. Arrivé à la cellule où Aiden est placé. Je lui souris. Dépose mes mains sur le barreau. Franchement, je ne sais guère trop comment je vais demander ça à Aiden. Pour lui ça ne va pas être de la tarte. En même temps, il n'a rien besoin de faire. Juste ne rien dire. Ou en tout cas ne pas me contredire.

«Je sais comment t'aider. Te faire sortir de là. Et même faire que ton cassier soit verrouiller. Mais pour ça j'ai besoin de toi. Enfin, ne me contredis pas. S'il te plaît.»

Bon, d'accord. Faut peur-être que je le mette au parfum avant de jouer cette belle comédie. J'avoue j'ai un peu peur de sa réaction. Même beaucoup.

«Je vais un rien enjolivée la réalité. Enfin, je vais plutôt modifier ... La réalité. Mon père va tomber dans le panneau si je dis ... qu'on est ensemble. Que je suis amoureuse ... de toi. Tu n'as rien à faire. Rien à dire. Uniquement à lui répondre s'il te pose une question. Tu n'es même pas obligé de mentir. Sérieusement, fait moi confiance. Ça sera rapide et indolore. Et ça ne changera rien entre nous. J'espère ...?»  

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MessageSujet: Re: Le Hasard Fait Bien Les Choses !    Le Hasard Fait Bien Les Choses !  EmptyMar 9 Juil 2013 - 23:03

Maintenant que je suis seul dans ma cellule, les choses deviennent plus graves. Je n'ai plus la présence d'Ambre pour me changer les idées, et me rassurer. Car oui, savoir que j'ai commis cette erreur pour sauver cette femme m'aide à me sentir mieux. A présent, je stress. Je n'aime pas les interrogatoires. Je n'aime pas qu'on me demande des choses sur ma vie, qu'on me demande des comptes sur ce que j'ai pu faire. Les questions me dérangent, il n'est pas toujours évident de bien y répondre. Ce qui m'inquiète le plus n'est pas ce qui s'est passé ce soir, mais le fait que je récidive encore une fois. Est-ce que cela faisait la fois de trop? Comment allais-je réussir à m'expliquer alors que je suis tellement coupable sur pleins de choses...

Un policier finis par venir me chercher, de la même manière qu'Ambre sauf que je remarque qu'il n'ose pas me toucher, ni m'approcher de trop près. Quels trouillards ces flics alors ! J'entre dans un bureau que je connais déjà. Il est comme tous les autres bureaux d'interrogatoires des commissariats qu'il m'a été donné de voir. Ce n'est franchement pas original. Tout est fait pour qu'on s'y sente mal; L'obscurité, la petite taille, l'odeur de renfermé... J'ai déjà l'impression de manquer d'air, j'étouffe.  Le flic assis derrière le bureau me fait signe de m'asseoir.

-Monsieur Jensen... Encore vous...

J'affiche une moue quelque peu problématique, ne pouvant pas justifier le fait que je finis toujours par me retrouver ici. Je préfère ne pas parler avant d'y avoir été invité. Je ne veux dire que le stricte minimum, je me contenterais de répondre juste aux questions qu'on me posera, je ne veux pas révéler des choses qui pourraient être retenues contre moi par inadvertance. Je suis tendu, j'ai du mal de rester calme, pourtant jusque là, ca va. Je sais que ce n'est que le début.

-Vous imaginez bien que cette histoire d'agression ne va pas nous aider à vous lâcher de vue. C'est quand même étrange, non, qu'il faut que vous soyez toujours concerné par des accidents de ce genre? Après le braquage sur lequel vous vous trouviez au mauvais endroit au mauvais moment, certains dealers ayant évoqué votre nom -soit disant pour vous piéger – sans parler des nombreuses bagarres dans les rues... Et je n'ose même pas évoquer vos antécédents judiciaires dans d'autres états. C'est quoi le problème avec vous, hein? Qu'est-ce que vous avez à dire pour votre défense cette foi-ci?

Je foudroyai le flic du regard, puis répondit froidement,essayant d'être le plus crédible possible, mais je n'avais jamais su me vendre:

« Vous vous trompez de coupable. Je travaillais dans le coin, et je connais Ambre. Je l'ai vu se faire agresser, et je suis intervenu pour la défendre, rien de plus. »

-Oui, rien de plus, sauf que vous y êtes allé un peu fort, vous ne trouvez pas?

« ... »

J'en restai sans voix. Il s'instaura un blanc long, pesant, éprouvant. Je n'avais aucun commentaire à faire la dessus. Je savais que je n'arrivais pas à contrôler ma violence, mais je ne pouvais pas lui répondre ca. Je n'avais pas d'excuse.

-Vous avez très bien pu vous arranger avec Mademoiselle Atwell pour me livrer cette version des faits, par je ne sais quel chantage...

« Vous l'accusez de mentir? »

Le coupai-je sur un ton de défis. Il ne répondit rien. Nouveau blanc gênant. Je ne savais pas exactement qui était Ambre, mais elle m'avait parlé de sa famille et de son père qui était quelqu'un d'important. Je me rendais aujourd'hui compte d'à quel point ca pouvait être le cas. Le flic préféra changer de sujet pour m'attaquer d'une toute autre manière. Il sortis mon flingue qu'il m'avait confisqué et le posa sur le bureau.

-Et ca, j'imagine que c'est aussi uniquement pour vous protéger?

« C'est ca. Je ne m'en suis pas servis, comme vous pouvez le constater... »

-Ne comptez pas sur moi pour vous la rendre en tout cas. Dans votre position, vous n'avez vraiment pas intérêt à faire un pas de travers. On vous a à l'oeil Monsieur Jensen, ne jouez pas au plus malin avec nous. Vous avez peut-être quelque chose à ajouter?

Je fis comme si je ne l'avais pas entendu. Il attendit bien une dizaine de minutes, puis finis par me dire:

-Très bien, puisque comme d'habitude, vous n'êtes pas très bavard, on va vous garder plus longtemps pour voir si ca vous dénoue un peu la langue. Quelques heures en détention ne vous feront pas de mal...

Je retournai dans la cellule en maudissant ces flics et tout ce qui allait avec. Ambre était sortie, elle, c'était déjà ca. Moi, j'allais rester encore un moment à poireauter ici, ce qui était épuisant mentalement pour quelqu'un comme moi. Peut-être qu'Ambre arriverait à faire jouer ses relations?
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MessageSujet: Re: Le Hasard Fait Bien Les Choses !    Le Hasard Fait Bien Les Choses !  EmptyMer 26 Juin 2013 - 12:45

Aiden Ҩ Ambre
« Je ne crois pas au destin ... Je ne crois pas au hasard ... Mais faut avouer que des fois les coïncidences sont parfois surprenante ! »



Chaque conversation que j'ai avec Aiden m'apprend une nouvelle chose sûre moi-même. Je suis d'accord que ce n'est certainement pas le meilleur des moments pour avouer que j'aime sa compagnie. Mais l'ironie de la situation est sans doute propice aux confessions. Vous savez, c'est la toute première fois que je suis arrêté. Et pour être vraiment franche. Je ne pouvais imaginer meilleure compagnie. Aiden est sans doute la seule personne avec qui être en détention ne me gêne pas.

« Oui. Même si cela signifie de se retrouver en détention provisoire. Je ne pouvais rêver meilleure compagnie que la tienne. Pour ma première fois avec les forces de l'ordre. »

Un policier ouvre notre cellule. La pression monte d'un cran. Je n'ai guère peur. Je reste calme et sereine. Après tout nous avons rien fait de mal.

« C'est au tour de la demoiselle ! »

Bon d'accord. Respire un grand coup. Et ses partis. Vous voulez que je vous dises. L'interrogatoire en lui-même ne m'effraye guère. Les agents de police rustre, peu délicat, directe et rentre dedans. Ne m'intimide pas. Ce qui m'angoisse davantage que toute cette situation. C'est l'arrivées presque imminente de mon paternel. Je dois supposer à raison que mon nom de famille si peu passe partout. A fait le travail pour moi. Comme je n'ai guère dû donner le numéro de la personne à contacter. Et pas de chance pour moi. Mon père va accentuer ce détail. C'est vrai qu'être la fille d'un politicien connu dans le monde. Ce n'est guère amusant quand les ennuis vous bousculent de pleins fouets.

On arrive dans une pièce sombre et peu conviviale je dois bien l'avouer. Un policier me fait signe de m'installer sur la chaise en acier glacer mis à ma disposition. Que l'interrogatoire commence. Je sens déjà le regard noir de mon père. La panique de mes frères. La morale qui va suivre, mon arrestation. Le discourt que mon père va exprimer face au policier. Les conseille peut aviser pour s'excuser. Je vois déjà la scène. J'entends déjà la porte claquer. Mon père agacé. Mes frères affolés. Enfin, vous voyez à peu de choses prêts ce qui va ce passé.

Après dix bonnes minutes à poiroter dans cette pièce. Avec les regards sombres des deux policiers posés sur moi. Je me décide a parlé.

« Vous attendez quoi. Qu'il neige. »

« Impatiente à ce que je vois. »

« Non. Moi j'ai toute la nuit devant moi. On peut rester là à se regarder dans le blanc des yeux pendant des heures si cela vous fait plaisir. Mais je suppose que vous avez prévenu mon père et le connaissent. Il ne va plus tarder. À mon plus grand désespoir. Et une fois qu'il sera là, vous n'aurez plus la chance de savoir ça qui s'est passé. »

« Comment une jeune fille dans votre genre a pu se retrouver dans une telle situation ? »

« Je me suis trouvé au mauvais endroit. Au mauvais moment. J'ai voulu en faire qu'à ma tête et voilà. On m'avait prévenu que une fille dans mon genre, comme vous dites, est une cible facile. En voilà la preuve. Je ne sais pas ce qu'il m'aurait fait si Aiden ne serais pas arrivé pour me défendre. »

« Drôle de coïncidence. Vous ne trouvez pas. »

« Non. Aiden travail au bar jusqu'à coter d'où l'agression ces passé. Donc Non. Ce n'est pas une coïncidence. J'ai eu beaucoup de chance. Je l'avoue, mais Aiden n'a fait que me venir en aide. »

On dirait que l'interrogatoire est terminé. Oui. Voilà le moment tant redouté. Mon père est arrivé. Et franchement il n'a pas l'air très content. Je vais en prendre pour mon matricule. Je le sens. Un autre policier vient appeler les deux déjà présent dans la pièce. Mes trois adorables frères rentrent à leur tour dans la salle d'interrogatoire. Ils me sautent littéralement au coup.

« Ça va, tu n'as rien ? »

« Ça va il y a eu plus de peur que de mal. »

On sort de la salle. Et nous rejoignions mon père. Qui me regarde avec un air attentionné. C'est peut-être signe de bons présages. Dans tous les cas. Je suis sortie d'affaire. Maintenant il ne reste plus qu'à sortir Aiden d'affaire. Et ça c'est une tout autre pair de manche. Quoi que, si mon père fait jouer ces relations. On sera sorti du commissariat dans moins temps qu'il faut pour le dire. Il m'a quand même sauvé. Mon père lui en sera reconnaissent.

Je me retrouve très rapidement seul. A patienté sur une chaise à coter d'un bureau bien désordonné. Mon père et mes frères se sont isolés avec plusieurs personnes dans un bureau. Et voilà Aiden. C'est à son tour de se faire interroger. J'ai une boule au ventre. Pour lui. Comment tout cela va ce termine. La suite au prochain épisode.

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MessageSujet: Re: Le Hasard Fait Bien Les Choses !    Le Hasard Fait Bien Les Choses !  EmptySam 22 Juin 2013 - 22:50

Ambre essaya de me rassurer, m'affirmant que tout allait bien se passer. Elle en avait l'air convaincu. J'aurais aimé être aussi serein qu'elle, mais je n'y arrivais pas. Parce que moi, je me connaissais, enfin du moins, je connaissais mon passé. Je savais qui j'étais, d'où je venais, ce que j'avais fait. Alors oui, j'avais toutes mes raisons de redouter cet interrogatoire avec les flics, mais maintenant que nous en étions là, il était impossible d'y échapper. Nous étions pris au piège.

Bon, relativisons les choses, ce n'était pas la première fois que je me retrouvais dans ce genre de situation, et je m'en étais toujours sortis plus ou moins. En plus, là, je n'étais pas le coupable dans l'histoire. J'avais juste surement tué un mec, mais c'était pour défendre Ambre, rien de plus. Quand aux autres qui étaient bien amochés, et bien... Je ne le regrettais pas, ils l'avaient bien cherché.

Je me passai la main sur mon bras ensanglanté, l'air songeur. Si seulement j'avais pu trouver quelque chose pour m'essuyer, me laver. Le sang avait séché et c'était assez impressionnant à voir. Pourtant, je n'avais pas si mal que ca. Enfin cette blessure prouverait que moi aussi, on m'avait agressé.

La jeune femme me dit alors qu'elle se sentait bien avec moi, elle aimait bien passer du temps avec moi. Comme je trouvais la situation un peu ironique pour dire ca, je répondis:

« Même si cela veut dire se retrouver en détention provisoire? »

Car oui, avec moi, ce genre de situation n'était pas rare. J'avais un don pour m'attirer des ennuies, et j'avoue que parfois, lorsqu'il n'y en avait pas, il m'arrivait de les provoquer. La jeune femme avait réussi à me faire affiché un sourire en coin, malgré ma tension surélevée. J'en avais marre d'attendre, je n'avais aucune patience. Cela devait se voir car je faisais les cents pas, je tournais en rond comme un fauve dans sa cage. Je voulais, j'exigeais ma liberté. J'en avais grand besoin. Maintenant. Je manquais d'air.

Un flic arriva, il ouvrit notre cellule. Enfin. Je fus tenté durant un bref instant de l'assommer pour m'enfuire, mais j'avais déjà fait ca, et il s'était avéré que c'était une très mauvaise idée. Il fallait entrer dans leur jeu, les amadouer pour espérer en finir au plus vite. C'était le seul moyen.

-C'est au tour de la demoiselle !

Déclara le flic. J'haussai un sourcil, étonné, je pensais vraiment que ce serait mon tour après l'agresseur. Apparemment, ils avaient décidé de garder le plus délicat pour la fin... Génial, j'allais devoir poireauté ici encore un bon moment. J'espèrais qu'Ambre s'en tire rapidement et ne commette pas de boulette. Je me tournai vers elle, pour l'encourager alors qu'un flic l'amenait dans le couloir où je la vis disparaitre.

Bientôt, le type que j'avais tabassé arriva, ils ne comptaient apparemment pas le relacher tout de suite, c'était déjà ca. C'était bon signe. Lorsqu'il passa près de moi, j'en profitai pour lui cracher au visage, le regard rempli de haine. Le flic, dans un élan d'intelligence d'inespéré décida de l'enfermer dans une autre cellule, loin de la mienne. Dommage. Mais il avait bien raison s'il ne voulait pas que je termine de lui régler son compte ici.

J'étais maintenant tout seul, et le temps était d'autant plus long. Je soupirais régulièrement, agacé. J'aurais voulu être une petite souris et me glisser dans le bureau du commissaire pour savoir ce qu'il s'y passait, comment Ambre s'en sortait. Dans quelques temps, ce serait à mon tour...
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MessageSujet: Re: Le Hasard Fait Bien Les Choses !    Le Hasard Fait Bien Les Choses !  EmptyMer 19 Juin 2013 - 14:42

Aiden Ҩ Ambre
« Je ne crois pas au destin ... Je ne crois pas au hasard ... Mais faut avouer que des fois les coïncidences sont parfois surprenante ! »


Vous savez je suis fille de politicien. Et je peux vous dire que la vie n'est pas rose tous les jours. Oui. On n'a pas à se plaindre, nos conditions de vie son respectable. Oui. On nous inviter à toutes les plus grandes soirées organisée. Les plus importantes aussi. Et oui. Nous sommes connus et reconnu dans beaucoup de pays. Mais il y a des inconvénients à toutes choses. Chez nous, les apparences primes. Les faux-semblants. On nous apprend jeune à comment éviter les manipulations extérieures. Comment manipuler avec délicatesse. La subtilité et le calme son allier de la vérité. Mon père connait bien l'art du mensonge. Il a d'ailleurs transmis tout son savoir à mes trois incorrigibles frères. On me précise bien que le mensonge est fait pour les hommes. Que pour la délicate demoiselle que je suis, l'art du jeu de mot et des faux semblants, tel le charme est plus adéquate.

Mon père a souvent eu à faire aux forces de l'ordre. Vous allez me dire, les chiens ne fond pas des chats. Le hic quand on est politicien. C'est que cela ne s'arrête pas à toi. De nombreux policiers on mainte et mainte fois fouiller de font en comble la maison. Sans jamais rien trouver. Comme je vous l'aie dit, la vie n'est jamais toute rose. Quand j'étais à Londres. Je devais me balader avec deux gorilles bien sapez partout j'allais. Ça n'aide pas à la sociabilisassions. Mais heureusement pour moi, cela n'est qu'un détail.

Comme j'essaye de vous faire comprendre, la vie d'une fille de politicien c'est naze. Je n'en aie rien à faire moi de l'argent. Ma mère biologique n'en avait guère plus qu'au besoin. Mon père dit souvent que je suis un somptueux mélange des deux plus fantastiques femmes que la terre ait porté. Bon, il n'est pas super objectif. Mais ce n'est pas grave. Je ne blâme pas mon père. Il a fait ce qu'il a pu et il s'en est bien tirée. Bon je ne suis pas objective non plus. Mais chute.

Moi, je suis la reine des gaffes. Je sais ce que c'est de ne pas avoir de lien directe. Ma mère biologique est morte en me mettant au monde. Je ne l'aie jamais connue. Et mon père est inconnu aux bataillons. Mes frères ne sont pas mes frères et mon père n'est pas mon père. Mais ce qui compte c'est le lien de cœur. Bien plus que les liens du sang.

« Je suis désolé. Je suis la reine des gaffes ! »

Nous nous ressemblons plus que d'ordinaire. Et pourtant nous sommes bien différents. Nous n'avons pas eu la même vie. Ni même la même éducation. Mais je me sens proche d'Aiden. Mon père n'a pas eu de fille. Enfin, de lui. Et pour lui une fille c'est sacré. Le truc ses qu'il ne voit pas les choses comme tout le monde. Non. Mais on si fait à longue. Ma mère, je veux dire ma vraie mère. Elle aimait la liberté. Défier les règles. Se sentir vivante. Braver le danger. Enfin vous voyez quoi. Sa sœur, ma deuxième maman. Elle était la sagesse même. La grâce et la délicatesse. Elle aimait le silence. Le calme. Elle travaillait comme une folle. Deux sœurs, tellement différente. J'ai le goût de la liberté. Et ce soir on n'a pu constater que j'aime braver le danger. Cette sensation d'adrénaline que j'ai ressentie ce soir. Mais j'ai appris la sagesse, le travail et la douceur. Pour tout vous dire je ne sais pas encore vraiment qui je suis. Mais je sais où je vais.

Aiden, commence doucement. Mais surement à me faire confiance. Enfin, j'espère. Moi je lui fais totalement confiance. Et comme je vous aie dit, je me sens roche de lui. C'est un sentiment étrange, mais ça me plait. Il m'explique, que pendant un an. Il a vécu dans les rues. Et que quand on rentre dans ce genre de misère c'est difficile de regagner le droit chemin. Il m'affirme alors que oui, c'est un habituer des commissariats de police. Et que c'est là que se trouve tout le problème.

« Je suis certaine que cela va bien ce passé » Dis-je avec un sourire aux lèvres. « Je le sens ! »

Bon j'essaye de détendre l'atmosphère. J'aime beaucoup trop Aiden, pour le laisser avoir des ennuis à cause de moi. Même si je ne sais pas comment m'y prendre. Je me sens bien avec lui. Et je ne sais pas encore pourquoi.

« Je me sens bien avec toi. Enfin ... Je veux dire ... J'aime le temps passer avec toi. »

Je passe pour idiote. Ça doit être le choc. Oui disons cela. C'est une excuse bidon, mais bon a défaut d'autre chose.

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MessageSujet: Re: Le Hasard Fait Bien Les Choses !    Le Hasard Fait Bien Les Choses !  EmptyJeu 6 Juin 2013 - 19:09

Ambre me certifia que les flics n'arriveraient pas à la manipuler, et qu'elle ne douterait pas de moi. Quelque part, cela me rassura quelque peu, car c'était ce que j'avais besoin d'entendre. Mais dans tous les cas, je savais que je finirais tout de même par m'en tirer, avec ou sans son aide, comme j'avais toujours réussis à me sortir de la merde. La jeune femme m'avait rappelé de quel milieu elle venait, et oui, j'y avais songé. Ambre était une fille de famille riche, je le savais, je savais donc qu'elle avait déjà du faire face à de nombreuses tentatives de manipulations. Je ne connaissais pas vraiment ce milieu, qui m'écœurait plus qu'autre chose, car je n'y avais jamais vécu. Mais la jeune femme avait l'air d'avoir un certain tempérament, une certaine force de caractère. Et d'ailleurs, pour se promener ainsi seule la nuit sans craindre une agression, il le fallait, a moins que ce ne soit de l'inconscience, de la provocation, ou de la bêtise.

Ambre avait l'air un peu soucieuse à propos de son père, qui allait être mis au courant, mais elle me dit qu'elle gérait. J'avoue que ce n'était pas mon plus gros soucis. Je pensai plutôt à ce qu'allaient me sortir les flics. Encore moi. Encore un flingue. Encore des problèmes. Le problème était que ce n'était pas la première fois... Ni même la deuxième. Ils m'avaient déjà mis en garde, ils m'avaient à l'oeil. J'espérais que ca puisse passer, encore une fois, sans complications. Peut-être allaient-ils me garder quelques jours, comme ca m'était déjà arrivé, mais pourvu qu'ils me relâchent. Je n'aimais pas dépendre d'eux. Je n'avais jamais fait de prison, bien que ce ne soit pas les raisons qui me manquent. J'avais réussi à fuir, esquiver, mentir. Je ne supporterais jamais d'être enfermé derrière des barreaux dans une cellule sombre d'à peine 10 m2. Jamais. Plutôt me pendre... Ou tenter de fuir, oui, ca me ressemble plus. Je n'abandonne jamais. Je suis obstiné.

Puis, Ambre me dit qu'il n'y avait pas de pire pression que celle que notre famille nous impose. Je répondis simplement, d'une voix froide:


« Non, je ne sais pas. Je n'ai pas de famille. »

Je ne cherchais pas à attirer sa pitié, loin de là. Je voulais juste lui faire savoir que je ne pouvais pas la comprendre la dessus. Ambre avait eu trop de pression. Moi, pas assez. Personne ne s'était jamais inquiété pour moi, personne ne m'avait jamais protégé. J'avais du me forger tout seul, être fort avant l'âge, trouver mes propres valeurs et mes repères. J'avais été élevé par mon grand-père, certes, mais on ne pouvait pas dire qu'il avait assuré ce rôle de parent. J'étais le fils de personne. J'avais grandis dans les rues, et j'avais connu la misère. On ne ressort pas indemne de ce genre d'expérience. Pourtant, je n'enviai pas Ambre, ni la vie qui était la sienne. Au moins, moi, j'étais libre.

Ambre me disait pouvoir sauver les apparences, et je la cru. Oui, j'avais confiance en elle. Elle me demanda alors si j'avais souvent été arrêté. Ca se voyait tant que ca? Inutile d'être un grand observateur pour s'en rendre compte. J'avais mes repères ici. Je savais exactement comment tout allait se passer, dans le bon ordre et dans le procédures réglementaires. Avant que je réponde, car j'hésitai quelque peu à lui raconter quoi que ce soit la dessus, elle me dit que j'étais une personne en or, malgré ce que je pouvais en penser. Moi, je n'avais pas une grande estime de moi-même. Peut-être parce que je connaissais l'intégralité de ma vie, et je n'en étais vraiment pas fière.

Ambre avait un avis extérieur. Mais comme nous en avions déjà discuté, qui pouvait nous connaître vraiment? Et nous connaissions-nous nous même? Que ce soit vrai ou non, son aveux me fit chaud au coeur. Je n'étais pas habitué à ce que quelqu'un me dise ce genre de choses, me montre de l'affection. Je n'en avais jamais reçu durant mon enfance. Il n'y avait qu'avec Ryan que j'avais trouvé un réel soutien, comme un frère. Puis, plus tard, Jack et d'autres... Mon coloc' Matt en faisait aujourd'hui également partie. J'avais peu d'amis, mais je savais que je pouvais compter sur eux, tout autant qu'ils pouvaient compter sur moi.


« Toi aussi, tu es quelqu'un de bien, Ambre. »

Lui répondis-je sincèrement, et ce n'était pas uniquement dans le but de lui rendre la pareille. Je le pensai sincèrement, et cela se voyait très bien. J'étais du genre de personne sur lequel on pouvait lire tel un livre ouvert. Certaines pages restaient inaccessible et mystérieuses, mais dans mes relations, j'étais très franc et direct. Il n'était pas habituel pour moi de dire ca, alors je ne développai pas davantage, elle devait avoir compris que je n'étais pas doué pour les grands discours. Mais l'intention y était, vraiment. Comme je commençai sincèrement à l'apprécier et à être à l'aise avec elle, je décidai de répondre à sa question, m'ouvrant un peu plus.

« Tu sais, je t'avais dit que j'avais beaucoup voyagé. En fait, quand je suis partis de San Francisco pour rejoindre Ryan ici, je me suis attardé en chemin, et j'ai vécu à la rue... pendant 1 an. Quand tu tombes dans ce système, dans cette galère, c'est difficile de s'en sortir. »

Certains essayaient, mais peu y arrivaient. Il fallait une volonté de fer. C'était comme demander à un fumeur d'arrêter de fumer du jour au lendemain. La rue était un cercle vicieux, un gouffre. Elle nous aspirait, tel le néant, et nous rendait dépendant. J'avalai ma salive, puis repris:

« Tu as bien deviné, c'est loin d'être la première fois que je viens ici... Que ce soit pour les mêmes raisons, ou d'autres... »

Je faisais souvent des conneries, je ne pensais pas être si bien que ce qu'elle croyait.

« On peut dire que je suis un habitué, en quelques sortes... »

Dis-je en me comparant à un client qui vient dans son magasin habituel pour se ravitailler, voulant relativiser les choses. Je ne voulais pas qu'Ambre me voit comme un grand criminel, et que son avis me concernant en soit affecté.

« C'est justement ca le problème. »

J'étais bien plus fidèle au commissariat qu'au lycée. Si ca avait été la première fois, je n'aurais pas eu de raison de m'inquiéter. Mais là, j'avais rajouté un problème supplémentaire à mon dossier. Je savais que pour Ambre, c'était la première fois, ca se voyait. En fait, je l'avais dépucelé du commissariat. Je ne savais pas si je devais en rire en être outré. Je ne devais pas être quelqu'un de très fréquentable. Il m'arrivait tout le temps des emmerdes de ce genre, à croire que je les attirais.
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MessageSujet: Re: Le Hasard Fait Bien Les Choses !    Le Hasard Fait Bien Les Choses !  EmptyLun 3 Juin 2013 - 16:16

Aiden Ҩ Ambre
« Je ne crois pas au destin ... Je ne crois pas au hasard ... Mais faut avouer que des fois les coïncidences sont parfois surprenante ! »


Aiden pouvait dire ce qu'il voulait. Je me sentais un minimum coupable. Si j'aurait écouté ce qu'il ma dit la dernière fois. Si je n'aurait pas voulu être plus maligne. Si je n'aurait pas crus que cela n'arrivait qu'aux autres. On n'en serais certainement pas là. Dans une fourgonnette de police. Menottes aux poignets. C'est vrai que je n'aie pas demandé à être agressée. En même temps dite moi qui le demanderais. Mais je culpabilise quand même. Je dois plus qu'une fière chandelle à Aiden. Tellement plus.

Je n'aie jamais eu à faire à la justice. Je ne sais donc pas comment tout cela marche. Ni combien de temps cela va durer. Je n'aie aucun cassier et je n'aie pas l'apparence d'une criminelle. Mais ces toutes autres choses pour Aiden.

Dans ma tête tous tourne au quart de tour. Mon cerveau bouillonne. Je n'aie pas peur. Mais je ne suis pas rassurée. Nicholas, le plus jeune de mes frères. À étés arrêter une fois. Et cela l'a traumatisé je crois. Harry, Deux fois à Londres. Une fois à Paris et Une fois à Miami. Il a le chic trouver pour les mauvaises fréquentations. Quant à Christopher. C'est l'ainée. On ne connait rien de ses embrouilles, ses ennuis. Il veut montrer l'exemple et nous protéger. Si on à un souci c'est lui qu'on appelle. Bien que Harry et Nicholas on du mal a composé son numéro quand ils sont un problème. C'est souvent mon téléphone qui sonne.

C'est une sorte de règle entre nous quatre. Ce qui peut nous porter préjudice aux yeux de père. N'a pas besoin d'arriver à ses oreilles. On se sert les coudes quoi qu'il arrive. C'est comme ça depuis longtemps. Depuis toujours en fait. Je sais déjà qui je vais appeler. Je vais certainement avoir le droit à la morale protectrice de mon frère remonté à bloc. Mais ces mille fois mieux ça que l'autorité sur jouer de mon adorable père.

Nous voilà arrivée au commissariat de police. Les portes de la fourgonnette s'ouvrent et le policier déclare qu'ils vont commencer par mon dit en passant agresseur. Il nous fond descendre de la fourgonnette et nous mette en cellule. La propreté laisse fortement a désirée ici. Mais bon passons ce détail insignifiant.

« D'accord. Mais, ils n'arriveront pas à me faire douter de toi. Je t'assure. Pas après ce soir. Pas après tout ce que tu a fais. Je ne suis pas si facilement manipulable. Tu oublies de quels milieu je viens. »

Je ne suis pas une fille naïve et impressionnable. Je ne suis pas stupide et l'éducation que j'ai eue m'a forgée. Toute ma vie j'ai dû faire attention aux mots qui sortaient de ma bouche. Aux gestes qui auraient pu me porter préjudice. Non, je ne suis pas stupide. Vous savez quand on vient du milieu d'où je viens. On est drillée jeune à faire attention. Et a encaissé les coups de la vie. Étant donné que les gens de ce milieu sont plus cruelles et mesquin que n'importe qui d'autre. On ne me manipule pas aussi facilement. Et psychologiquement je viens vivre une expérience qui est je crois incomparable. Ce n'est guère quelque policier qui me fait peur. Je suis plus forte que ça.

« Ouais ... On va dire que pour mon père je gère. »

Enfin, j'espère.

« Tu sais, il n'y a pas pire pression que celle que ta famille t'impose. Et de ce coté-là, j'assure. T'inquiète. Et puis je viens d'un milieu où le calme est ami de la bien séance. On t'apprend ça dés l'enfance. Assurez les apparences. »

Être relâchée la première. Ça m'importe peu. Je ne quitterais certainement pas ce commissariat tant qu'Aiden ne le quittera pas lui aussi. Et puis, connaissant Christopher. Comme je le connais. Et je vous assure que personne ne peut le connaitre mieux. Il aidera Aiden comme il pourra. Après tout il m'aura sauvé. Et puis tant qu'il aidera Aiden. J'éviterais la morale qui m'attend avec certitude et raison.

« Tu as souvent étés arrêter ? Question idiote, en vue des circonstances. Tu connais trop bien le monde de la rue pour ne pas en avoir fait partie. Tu es une personne en or Aiden. Que tu me crois ou pas. »

Avec lui. Je ne savais pas trop comment mis prendre. J'avais toujours peur de dire une connerie. On ne vient pas du même monde. Et pourtant je le comprends. J'apprécie réellement Aiden. Peut-être trop d'ailleurs.

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MessageSujet: Re: Le Hasard Fait Bien Les Choses !    Le Hasard Fait Bien Les Choses !  EmptyMer 29 Mai 2013 - 18:44

Ambre s'excusa, ce qui m'étonna quelque peu, car j'en avais pas après elle. J'en avais après ses agresseurs, après ces flics, après la pluie, après tout, mais pas après elle. Surtout pas. Je lui fis savoir aussitôt, ne laissant pas planer l'ombre d'un doute:

« Non, c'est pas ta faute, c'est la faute de ces connards !... Si j'avais pas été là... »

Je laissai ma phrase en suspence. Je ne voulais pas dire la suite, car je la connaissais que trop bien. J'avais vécu plus d'un an dans les rues, je connaissais ce monde, ce milieu cruel où chacun cherche à sauver sa peau et à se faire de la tune par tous les moyens. Et parfois, s'accorder un ou deux petits plaisir en route. J'étais persuadé que ces types allaient la violer. Ce genre d'agression était courant, ils n'en avaient pas après son argent, c'était certain. Une femme comme Ambre... Je l'avais pourtant mise en garde l'autre soir, de ne pas trainer seule la nuit, car c'était dangereux. Elle n'avait aucun moyen de défense. Ces types étaient tellement lâches... Je ne comptais pas lui faire la moral, car je pensai qu'Ambre avait compris avec ce qui s'était passé ce soir. Je n'étais pas un donneur de leçons. J'avais essayé d'empêcher que cela se produise, et j'avais réussi, point. Ambre ne me devait rien, j'aurais fait ca avec n'importe quelle inconnue. Je l'avais fait pour Zona, pour Grace ou encore Nina. Et combien d'autres femmes encore... Le plus triste dans tout ca était que parfois, j'étais arrivé trop tard. Ce soir, j'étais soulagé que ce ne soit pas le cas pour Ambre, car je savais combien ce genre de traumatisme laissait des traces.

Nous arrivâmes rapidement au commissariat, car il n'était pas bien loin. Le flics qui conduisait, celui qui m'avait retiré mon arme et à qui j'avais déjà eu à faire, ouvrit la porte et nous fit descendre, avec autant de respect qu'il pouvait traiter un chien. Je détestais cette façon de faire, cet abus de pouvoir. Je n'avais qu'une envie, c'était de sortir d'ici, le plus rapidement possible. Alors j'allais leur dire tout ce qu'ils voudraient bien entendre.


« On commence par toi ! »

Déclara le flic à l'agresseur. Quant à nous, un autre nous conduisit dans une cellule qu'il ferma à double tour. Je regardai ambre, les lèvres pincées en guise d'agacement. Je détestais plus que tout être enfermé quelque part. J'avais l'impression qu'on m'empêchais de respirer. J'étais un peu claustrophobe. Une fois seul avec Ambre, je me tournai vers elle et déclarai:

« Bon, ils vont nous interroger tour à tour... Ils vont te poser des questions sur moi... Mais surtout, tu t'en tiens à ce que tu sais et uniquement à ca, d'accord? Ils ont déjà eu à faire à moi. Ils vont vouloir te faire douter, te manipuler pour obtenir ce qu'ils veulent, ils sont très forts pour ca... »

Je soupirai, navré de l'avoir mise dans cette situation. Certes, je l'avais défendu, mais j'avais l'impression que si elle en était là, c'était en partie à cause de moi. Je n'avais pas peur de ce qu'elle pourrait dire. Ambre avait l'air d'être une femme intelligente, mais serait-elle assez forte psychologiquement? Elle avait une certaine éducation, ca ne faisait pas de doute, elle devait avoir l'habitude de faire attention à ce qu'elle dit. Surtout que comme elle ne me connaissait pas si bien que ca, je ne voyais pas ce qu'elle aurait pu révéler de ma vie en cas de gaffe. Je lui faisais confiance. Je la regardai, essayant de capter son regard pour lui apporter mon soutien. Après une telle agression, elle devait être en état de choc.

« Ne t'en fais pas, ca va aller... Ils verront rapidement que t'es pas une fille de la rue, y a pas de confusion possible, crois moi. Par contre, ils vont surement vouloir appeler ton père... »

J'attendis un instant, puis lui fis savoir:

« Le plus chiant dans tout ca, c'est la pression qu'ils te mettent. Ils cherchent à te pousser à bout... Enfin comme ils vont vite comprendre que c'était toi la victime, je pense qu'ils te relâcheront la première. »

Quant à moi, je ne savais pas combien d'heures ils comptaient me garder. Je ne supportais pas cette pression, ce sentiment que tous étaient dirigés sur moi et moi seul. Comme j'étais impulsif, je n'arrivais pas à me contenir et je m'emportais vite. Les flics adoraient ca. Avec moi, ils avaient le coupable idéal. Et il fallait dire que j'étais loin d'être innocent sur toute la ligne... J'avais toujours peur qu'ils me ressortent de vieux dossiers me concernant, sur des affaires non élucidées, des vols, des braquages, du trafic, de l'usurpation d'identité, des meurtres, etc etc. Il y avait un tas de choses qu'on pouvait me reprocher. Mais pas le viol, c'était déjà ca. Là, j'avais cette horrible impression de perdre mon temps, comme un lion enfermé en cage, ce temps trop précieux car la vie était bien trop courte. Enfin le plus important, c'était qu'Ambre s'en tire sans trop de problème. Nous avions quelques temps devant nous pour discuter, puisqu'ici, il n'y avait rien de mieux à faire. Nous étions seuls, dans cet endroit sombre qui suintait la pisse de rat. Des conditions volontairement ignobles, pour nous mettre au parfum.
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MessageSujet: Re: Le Hasard Fait Bien Les Choses !    Le Hasard Fait Bien Les Choses !  EmptyMer 29 Mai 2013 - 14:16

Aiden Ҩ Ambre
« Je ne crois pas au destin ... Je ne crois pas au hasard ... Mais faut avouer que des fois les coïncidences sont parfois surprenante ! »


Je sais. C'est stupide de ma part de me promener seule la nuit, dans une rue telle que celle-ci. A savoir, mal famée. Mais je n'aurais pas supporté une seconde de plus le rentre dedans si peu discret du jeune garçon célibataire et sûr de lui qu'est le fils si parfait de cet ami si important de mon cher paternelle. Les rendez-vous arranger, les rencontres si peut dissimuler. Les garçons aux allures de prince charmant, bien corrompus derrière. J'en aie marre. Je suis bien assez grande pour trouver mes petits amis seul. Bien que mon père en doutes fortement.

Que voulez-vous que je vous dis. Je ne suis pas faite pour cette vie. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est les événements de la vie. La preuve est sous vos yeux. Y a je ne saurais dire combien de filles dans cette rue. Et c'est sûr moi que ça tombe. Me faire agressée. Vous voyez, j'attire les ennuis.

Aiden, un vrai gentleman. Oui. Même sous air de brute solitaire. Je le reconnaîtrais entre mille. Sa carrure, sa démarche. C'est Aiden quoi. Je ne sais pourquoi, mais je sens avec certitude que cela va mal, voir très mal ce terminé.

En moins de temps qu'il faut pour le dire. Aiden. Envois cet inconnu ivre valser parmi les ordures. Et c'est loin d'être fini. J'ai l'insupportable impression que cela ne fait que commencée. Avec à la clé beaucoup d'ennuis. Dite moi sérieusement, pourquoi faut-il que ça tombe quand mon père est en ville. Pourquoi. Enfin, passons ce détail, si peu important à cet instant. Les trois autres types qui accompagnaient celui qui désormais est dans son élément arrivent. L'un d'eux sort un canif. Je n'aie jamais étés spectatrice d'un tel mouvement de violence.

J'ai une boule au ventre. Je culpabilise. Si je ne serait pas si idiote Aiden ne serais pas dans cette situation. Et je n'aurais pas aussi peur pour lui. Je ne serai guère là entrain d'observée Aiden évité les coups. Je ne me pardonnerais jamais s'il devait arriver quelque chose à Aiden ce soir. À cause de moi. S'il se bat à l'instant où je vous parle. C'est pour m'aider. Me défendre. Étant donné que la fille stupide que je suis n'a guère écouté ses conseille de la dernière fois. Ce conseil qui prend tout son sens ce soir. Le canif au sol. Il fait fuir le second type en un coup de poing, bien placer.

J'observe la scène de mes yeux. Je crois que je n'aie jamais eu aussi peur pour une autre personne qu'à cet instant précis. Un mélange de sentiments s'en mêle. Le troisième inconnu lui saute dans le dos. Aiden. A une carrure imposante et une force de bœuf. C'est donc avec assez de facilité qu'il fait passer le type par-dessus lui. Celui-ci lâcha prise et tombe au sol. Quand le premier ramasse son canif qui jonce le bitume. Ça va tellement vite. J'ai à peine vu le canif effleuré le bras d'Aiden. La seule chose que je remarque désormais. C'est la couleur rouge du sang qui coule le long de son bras. Je dois bien avouer que je ne reconnais pas Aiden. Ce mec à l'allure si calme et imperturbable. Mais dans le fond je l'aie bien cherché. Si je l'aurait écouté on n'en serait pas là. Surtout lui. Y ne serais pas entrain de prendre le canif des mains du type qui vient de le blesser. Ni même entrain de blesser le second. Qui s'en fuit la main recouverte de son sang.

Mais ça ne s'arrête pas là. Le regard d'Aiden change. Cela se voit qu'il connaît bien ce milieu. Et que ces certes pas la première fois qu'il se bat. Il provoque le dernier type venu en renforts. Quand celui-ci se retourne pour y trouver de l'aide. Personne. Sauf les sirènes de police qui ce fond t'entendre. Et bien remarquer. Je ne voulais guère créer d'ennuis à Aiden. C' était bien la dernière personne a qui je voulais créer des ennuis. Et pourtant c'est ce que j'ai fait. Voilà, la culpabilité gagne. À cet instant je préfère me soucier d'Aiden. Et des ennuis que je lui aie causés. Même de la culpabilité qui m'envahit. À la place de pensée au moment où je devrais appeler mon père. Qui croit a raison que je suis déjà dans mon lit.

C'est là que je sens la main d'Aiden se glisser dans la mienne. Mais c'est trop tard. Il m'a uniquement défendu. Protégée. Ce que tous les autres n'ont pas fait. Il n'a donc rien à craindre. Enfin, je crois. Je n'aie jamais eu à faire aux forces de l'ordre. Je ne sais donc pas comment tout cela fonctionne. Et c'est quand ont ce retour, après le coup de feu qui retenti toujours dans mes oreilles. Que je compris.

Il le reconnu au premier coup d'oeil. Un policier, qui obéit aux ordres, rien de plus. Nous passe les menottes et pour rien arranger nous fouille. À cet instant je me dis, que nous n'avons rien à craindre. Après tout, je me suis fait agresser et Aiden n'a fait que venir à mon aide. Je n'avais aucun casier et je n'ai pas l'air d'une délinquante. Donc mon témoignage sera écouté et pas remis en doute. Enfin, c'était avant que le policier sorte de la ceinture d'Aiden une jolie arme à feu. C'est maintenant que je commence à cogité. Mon petit cerveau est en ébullition. Étant donné que même si nous n'avons rien fait de mal, c'est notre parole contre celle des autres. Et l'arme à feu que Aiden avait sur lui n'arrange rien.

Assis à l'arrière de la fourgonnette, Aiden soupire. Je ne sais pas si ce qui le dérange le plus, c'est les ennuis que je lui aie causés. Ou l'arme à feu qu'il ne reverra certainement jamais. Il me regarde et m'assure qu'on n'est pas sorti de l'auberge.

« Je suis vraiment désolé. Tout ça c'est de ma faute. Je suis qu'une petite idiote. Je te cause plus d'ennui qu'autre chose pardon. »

Après cette soirée, je doute qu'Aiden voudras me revoir. La nuit va être longue. Miami ville de nouvelles expériences. C'est le cas de le dire. J'espère simplement qu'Aiden me pardonnera. C'est tout ce qui m'importe.

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MessageSujet: Re: Le Hasard Fait Bien Les Choses !    Le Hasard Fait Bien Les Choses !  EmptyMar 14 Mai 2013 - 18:53

Je travaillais au bar ce soir, comme la plupart des samedi soir, ce qui ne m'empêchait pas pour autant de sortir me divertir ensuite, à des heures pas possibles, car je dormais très peu. J'essuyais presque trop sagement les verres, afin que tout soit prêt à être réutilisé pour les prochains clients. Je jetai un coup d'oeil à la grosse horloge du bar, j'avais encore 1 heure à faire avant d'être libéré. Il y avait pas mal de monde ce soir. Des mecs, complétement bourrés, venaient de quitter le bar, et je les observais à travers la porte d'entrée d'un mauvais oeil. Ces gars là ne me disaient vraiment rien qui vaille. Je les avais entendu discuter près du bar, et j'en avais eu assez pour comprendre que ce n'était pas des mecs clairs.

Je lançai un dernier coup d'oeil à ces types, histoire qu'ils ne fassent pas de dégats à l'entrée, quand mon regard tomba sur une fine silhouette, celle d'une femme brune qui semblait seule. Elle me faisait étrangement penser à Ambre. Etait-ce elle? J'en doutais... Elle était déjà sortie seule un soir où elle était venue par hasard à mon bar pour chercher son frère, mais depuis, je ne l'avais plus vu. Je lui avais bien dit que c'était dangereux pour une femme comme elle de se trimbaler seule dans les rues, et je pense qu'elle l'avait compris car nous avions prolongé notre soirée ensemble, pour éviter qu'elle ait des problèmes, et aussi parce que sa compagnie m'était agréable. Cela faisait un bon moment déjà, car c'était l'époque où j'étais encore avec Marissa, où elle ne m'avait pas trompé avec ce Zack, et où Arizona et Alma, deux anciennes amies, n'avaient pas encore débarqué à Wynwood chez les SM.

Vif comme un fauve, je rangeai aussitôt le verre que je tenais pour sortir et suivre ces types, car j'avais de suite compris qu'ils allaient suivre la jeune femme. Le bar où je travaillais était situé dans un coin assez malfamé, pour ma part, je n'avais rien à craindre, mais pour une femme seule, c'était autre chose. Je ne supportais pas qu'on s'attaque aux plus faibles, et de toutes les agressions, celles sexuelles étaient celles qui me mettaient le plus hors de moi. Surtout que ces types étaient 4, ils pourraient facilement faire tout ce qui leur passerait par la tête, et comme ils étaient bien bourrés, cette pauvre femme courait un risque non négligeable.

Je marchai précipitamment à la suite de ces types, quand je vis l'un d'eux agripper la jeune femme pour le bras, qui lui demande de le lâcher. Je crois reconnaître la voix d'Ambre... Je l'aperçois dans le sombre, à demi-retournée. Oui, on dirait bien que c'est elle. Je cours alors que le type la plaque contre un mur. Je suis alors hors de moi. Car si je n'aime pas qu'on s'en prenne aux faibles, j'aime encore moins quand cela touche quelqu'un que je connais. Des agressions, j'en ai connu des tas, mais celle-ci me semble un peu particulière, car Ambre ne crie pas, c'est à peine si elle essaie de se débattre, malgré son opposition.

J'arrive avant que ce type n'ait le temps de faire quoi que ce soit. J'ai quitté mon poste de travail alors que je n'aurais pas du, je vais surement payer pour ca, mais je m'en fiche. Je sens que c'est là que je dois être, au coeur de l'action, comme toujours. J'agrippe le type par l'arrière de sa veste, l'éloignant d'Ambre -car je suis maintenant certain que c'est elle- en crachant:


« T'es bouché ou quoi? Tu la lâches ! »

C'était un ordre, mais apparemment, il ne le compris pas dans ce sens là. Il se dégagea de mon emprise, me reconnaissant comme le serveur du bar qui l'avait servis tout le long de la soirée, un peu étonné.

-Oh allez, c'est bon, elle en meurt d'envie cette...

Me dit-il en essayant de remettre sa veste correctement. Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase, car je lui lançai mon poing à la figure. J'étais de nature très impulsive, j'avais le sang chaud. Et quand j'étais énervé, comme c'était le cas face à ce genre de type et à son attitude, je cognais sur tout ce qui bougeait. J'avais toujours connu cette violence, qui allait surement choquer Ambre, mais sur le moment, c'était la seule façon dont j'avais envie d'agir. Ce type ne méritait que ca. Sous la force de mon cou, il alla s'écraser contre des poubelles, à moitié dans les vapes. Il était complétement bourré celui là, ca se voyait tout de suite...

Je restai sur ma fin, j'avais envie de me défouler, d'extérioriser toute la haine qui m'envahissait. Mais il faut croire que c'était loin d'être fini, car les 3 types qui accompagnaient le premiers vinrent vers moi pour me faire la peau. L'un d'eux avait sortis un canif. Il s'approcha le premier en voulant me planter, et je l'esquivais tout en lui saisissant le poignet pour le faire tomber en le lui tordant. Cela lui fit lâcher le canif qui resta sur le sol. Alors que le mec était accroupis, j'en profitai pour lui foutre des coups de pieds dans le ventre, tout en surveillant le deuxième gars qui se rua sur moi pour me donner un coup à la figure, que j'esquivai de justesse en me penchant sur le côté. Je lui mis un coup de poing en pleine figure, ne cherchant pas à retenir mon coup, mais au contraire à y mettre toute ma force.

J'étais seul contre 3 (car celui dans les poubelles semblait taper un coma), mais j'avais déjà été en bien plus mauvaise posture. Le mec qui s'était pris le coup au visage couru pour fuir, je ne cherchai pas à le rattraper, car le troisième me sauta dans le dos pour me faire tomber. Par manque de chance pour lui, ma carrure imposante ne plia pas sous son poids, je me penchais en avant pour le faire tomber par dessus moi. Il s'agrippa quelque temps, mais fini par lâcher prise en tombant au sol. Là, le premier qui avait ramassé son couteau entre temps m'erafla de sa lame, ce qui donna rapidement à mon bras une couleur rouge sang. Je ne sentais pas la douleur pour l'instant, car j'étais dans le feu de l'action. Le type au sol se releva, si bien qu'ils étaient à présent tout deux face à moi. S'enchaina alors un duel avec celui qui était armé en premier, car j'avais conscience qu'il représentait le plus gros danger. Ces mecs, bien que bourrés, avaient une certaine expérience du combat, ca se sentait tout de suite. Mais j'étais bien plus expérimenté qu'eux, plus fort et plus rapide aussi. Je saisis la main du type alors qu'il essayait de me planter, et m'emparai de son couteau. Là, je le pointai rapidement vers le deuxième, qui me frappa en même temps que je le plantais. Un coup comme ca, il allait s'en souvenir longtemps... Je retirai le couteau avec force. Il partit la main sur son buste en ensanglanté, en gémissant de douleur. Quant à moi, je pointai aussitôt le couteau vers le dernier.


« Allez, viens te battre ! »

Lui lançai-je pour le provoquer. J'éprouvais un certain plaisir dans toutes ces bagarres... Ca me faisait sentir vivant, et je prenais réellement du plaisir. Chaque fois qu'il y avait une bagarre ou un règlement de compte, je voulais en être, c'était une sorte d'addiction. J'avais beau avoir quitté la vie à la rue, je m'étais déjà battu plusieurs fois depuis que j'étais à Wynwood. D'une certaine façon, j'en avais besoin.

Le type semblait hésiter, il se retournait pour chercher du renfort auprès de ses camarades. Et c'est alors que j'entendis la sirène des pompiers.


« Merde ! »

M'exclamai-je alors, car même si je défendais Ambre, je me sentais toujours coupable lorsqu'il s'agissait des flics. Je compris que quelqu'un ici les avait appelé. Peu être le gars qui était rapidement partis. Le commissariat n'était pas bien loin, j'y avais d'ailleurs accompagné Ambre en voiture.

« Merde, putain ! Viens ! »

Déclarai-je à Ambre en la prenant par la main pour fuir les flics auxquels j'avais déjà eu de nombreuse fois à faire, que ce soit à Miami, ou ailleurs. Je n'aimais pas ca du tout. La voiture arriva et j'entendis un coup de feu en l'air qui me fit me retourner.

-Plus personne ne bouge !

Et, c'est alors qu'il me reconnu.

-Monsieur Jensen, voyez dont ca ! Allez, embarquez les tous !

Déclara un flic avec un flingue. Ils en avaient tous d'ailleurs. Ils étaient nombreux, bien trop nombreux. Nous ne pouvions aller nul part à pied... Ils vinrent nous passer les menottes à Ambre, moi et le dernier gars, pour nous prendre à l'arrière de leur fourgonette, alors que la samu arrivait à son tour pour le mec dans le coma contre les poubelles. J'allais avoir de gros problèmes... Comment expliquer tout ca, mais surtout comment allaient-ils me croire alors que je n'étais presque pas blessé comparé aux autres? Et comme si ca ne suffisait pas, le flic nous fouilla et sortit de ma ceinture un flingue qui m'accompagnait presque en tout temps mais que je n'utilisais qu'en cas d'extrême urgence...

Je soupirai, à l'arrière de la fourgonnette des flics, alors qu'ils m'avaient pris mon flingue et que je doutais qu'ils allaient me le rendre. Je risquai un regard vers Ambre.


« On n'est pas sorties d'affaires, crois moi... »

Lui dis-je car je connaissais très bien tout ce protocole. Nous allions rester des heures en observations, allions subir des interrogatoires divers, etc etc... On était dans la merde. Et en plus, j'avais quitté mon poste de travail... J'allais surement me faire virer après ca. Enfin Ambre était saine et sauve, c'était le principale pour moi.


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MessageSujet: Le Hasard Fait Bien Les Choses !    Le Hasard Fait Bien Les Choses !  EmptyMar 14 Mai 2013 - 13:46

Aiden Ҩ Ambre
« Je ne crois pas au destin ... Je ne crois pas au hasard ... Mais faut avouer que des fois les coïncidences sont parfois surprenante ! »


Il doit être dans les environs de 23 heures 30. Et oui. Une fois encore j'arpente les rues de Miami. Seul. La journée à étés longue et je suis d'autant plus impatiente de voir mon lit. Après un déjeuner en famille. Pour le passage de mon cher paternelle et de mes deux frères. Une visite privilégier au soit disant amis de père. Et une rencontre totalement organiser par mon tendre paternel pour mieux me casser avec un Bourgois de la haute. La matinée ce termine sur une touche de déjà-vu. L'après-midi n'a guère étés plus intéressante. Rencontre improvisée. Visite de ma chambre au lycée. Rendez-vous avec le proviseur. Pour un point non négliger de ma scolarité. Pour terminer sur un diner d'affaire.

Vous vous demandez certainement comment après une journée pareille je me retrouve seul dans les rues de Miami. Ben ses simples. Le diner d'affaire c'est terminé vers 22 heures. Nous avons été invités pour boire un dernier verre chez des amis de mon père. Et de là, je simule un mal de tête insupportable pour m'éclipser. Je sais, c'est mal. Mais comprenez-moi après une journée telle que celle-ci. Je n'avais guère envie de jouer les petites filles parfaites deux heures de plus. Ni même me faire courtiser pendant deux ans d'ailleurs. Alors, j'ai convaincu père de rentrer. Et j'avais envie de marcher. Voilà la raison.

Je passe juste à coter du bar où travail Aiden. Un groupe de garçons sort de celui-ci. Bourrée. Je continue mon chemin. Quand un de ses jeunes hommes ivres, vient vers moi. Je ne fais guère attention à lui. Mais quelque mètre plus loin il m'accoste. Il m'attrape le bras d'une force. C'est vrai ce qu'on dit, quand on est ivre on ne sans pas sa force. Demain j'aurais un beau bleu pour le prouver. Je lui demande gentiment de me lâcher. Mais il n'en fait rien. Heureusement pour moi que je sais garder mon calme. Et surtout que je ne prends pas peur pour si peut.

Quand j'arrive a récupérée mon bras. Le jeune inconnu me pousse contre le mur. La seule chose qui me passe par la tête en ce moment. C'est, qu'est-ce que je vais bien pouvoir porter demain. Pour cacher les bleus qui parsèmeront mon corps. En même temps une fille comme moi. Maigrichonne et frêle. Je ne vois pas trop ce que je peux faire face à un mec à la force décuplé par l'alcool. Excepter crier. Mais je dois bien avouer que ce n'est guère mon truc de hurler.

Des fois je me dis qu'être la petite fille parfaite de mon père a des avantages. Comme ne pas me retrouver seul dans les rues surpeuplées de Miami. Un samedi soir. Mais après, je me dis que cette vie n'est guère pour moi. J'ai assez étés la poupée parfaite que mon père expose aux yeux de tous. Je ne suis guère une bête de foire.

J'ai à peine le temps de réaliser. Qu'un jeune inconnu vient me sauver. Oui dit comme ça cela fait très conte de fée. On va dire qu'une âme charitable est venue m'aider. Ça sonne plus vingt et unième siècle. Non !?

fiche par century sex.
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