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 Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ]

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MessageSujet: Re: Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ]   Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ] EmptyLun 3 Juin 2013 - 22:33





La belle semblait avoir dormis comme un bébé et cela se voyait : elle était ravissante, et même si son visage gardait encore quelques traces de son sommeil, elle était lumineuse. Le sourire qui illuminait son visage était comme un soleil flamboyant que je voulais garder pour moi seul. Elle était maintenant les deux pieds par terre, et sa joue toute chaude reposait contre mon torse. Elle se blotissait toute contre moi, en nouant ses bras autour de ma taille. Elle se mit alors sur la pointe de pieds pour déposer un baiser tout doux dans le cou avant de reprendre sa position initiale. Elle se plaignit alors que nos moments ensemble était toujours trop court.

Je sais bien, mais au moins, tu attends la prochaine fois avec impatience non ?

La belle me rapella alors qu'elle venait encore, pour la je ne sais combien de fois de me prendre ma chemise. Je savais qu'elle aimait me la piquer au petit matin, me la déboutonner a veille avant l'acte, et qu'elle en faisait presque un objet fétiche. C4est pourquoi qu'à chaque fois que j'avais rendez-vous avec elle, je prenais soin de toujours prendre une chemise, pour qu'elle puisse en quelque sorte accomplir son petit rituel. Elle ne s'en doutait pas, mais j'étais plein d'attention envers, sans vraiment m'en rendre compte. J'agissais comme ça, parce que je savais que cela lui ferais plaisir, sans vraiment savoir ce qui motivait toute cette gentillesse envers elle.

Nina m'entraina alors sur le lit, où elle m'obligea à m'y assoir. Elle vient alors se loger sur mes jambes et de cette position observa la suite que j'avais tout spécialement choisis pour elle !

J'ai un réel coup de coeur pour cette chambre. Je pourrais la regarder pendant des heures.

Elle se tourna alors vers moi et ses yeux se plongèrent dans les miens. Ils étaient remplis d'étoile, me montrant combien elle était heureuse. Les mots n'étaient pas important, seul son visage et le bonheur qu'il irradiait me suffisait. Elle était heureuse, tout simplement. Ses douces lèvres se posèrent lors sur les miennes , et je la fis basculer en arrière avec moi, de tel sorte à ce que nous soyons tous les deux allongé sur le lit, elle sur moi, en position de force. Elle me remercia alors pour la surprise que je lui avait faite, et tendis que je l'attirait d'avantage vers moi, je lui dis d'une voix un peu rauque :

Rien n'est trop beau pour la princesse Nina ! Ma princesse Nina.

Je nous fit alors tournoyer sur le lit jusqu'à ce que nous en tombions tous les deux. Par un heureux fruit du hasard, c'est moi qui fut en dessous et amortis sa chute, car le lit était assez haut tout de même. Je me mis à rire et son rire se mêla au mien. Je ne sais pas vraiment combien de temps nous sommes rester comme ça tous les deux, à rire bêtement par terre, mais je sais ce qui nous as interompu : le gargouillis de mon ventre, qui fut accompagné peu de temps après par le sien.

Aurais-tu faim par hasard ?
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MessageSujet: Re: Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ]   Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ] EmptyJeu 11 Avr 2013 - 2:56






Nina semblait être heureuse, aux anges même. Je voyais cela à ses yeux, qui brillaient de la même façon, en plus intense quand même, que lorsqu'elle me voyait au détour d'un couloir ou à la cafétéria. Je ne savais pas ce qu'elle avait, mais en ce moment, c'était comme si elle essayais de me marquer, de me faire sien. Elle m'embrassait en public, devant ses filles qui bavaient et la jalousais. Mais ce que je trouvais le plus drôle, c'est qu'à ces moments là, je voyais aussi de la jalousie dans ses yeux. Etait-ce à cause de cela qu'elle ne cessait de m'approprier, de ne m'avoir pour elle seule ? Ce que je pouvais seulement dire, c'est qu'à ce moment là, elle et moi étions ensemble, juste ensemble, et que nous profitions de la présence de l'autre en oublions les autres, les gens de l'extérieur, les vieilles commères et les jaloux. Oui, il n'y avait qu'elle qui comptait. Je faisais tout pour qu'elle soit heureuse, que des étoiles brillent dans ses yeux et que jamais elle n'ai à verse de larmes qui ne serait pas une larme de joie. Elle était ma Nina, ma petite étoile. Et je dois moi aussi avouer que j'avais mon coeur qui se serrait quand je l'apercevais au loin, en compagnie de Pi Sigma ou d'autre mecs qu'elle ramenait de boite. C'était notre accord, mais, certains jour, je ne la voulais que pour moi. Je ne voulais pas partager ce trésor avec des hommes qui ne la méritait pas. Elle se donnait facilement, même trop, souvent, et au premier venu. Mais, quand je l'observais du coin de l'oeil en soirée, je voyais un léger changement s'operer. La belle tigresse se métamorphosais petit à petit en doux chaton.

Elle m'embrasait, chacun de ses baiser surpassant le précédent, mes sensations explosant. Je la voulais, là, maintenant, de suite presque. Mais, ce ne serait pas présent. Je voulais aussi jouer, faire monter son désir comme le mien. J'aimais quand elle s'occupait de moi, quand elle faisait sa grande tigresse et qu'elle prenait les rênes de notre moments intime. Elle me semblait alors si forte, mais en même temps si fragile. Son regard était rempli de tendresse, et je ne voulais qu'elle ne regarde que moi comme ça, ou du moins, que moi avec une telle intensité. Après tout, n'étais-je pas son copain attitré ? N'avais-je donc pas droit à quelques privilèges ? Je lui en donnais bien moi. Je ne la traitais pas de la manière que les autres et je la mettait au dessus des autres filles. Je traitais souvent les filles comme des princesses, mais elle, elle avait droit au traitement d'une reine. Je ne sais pas si elle s'en rend compte, si elle en a conscience ou si cela lui a effleurer l'esprit un jour, mais, jusqu'à ce qu'elle dise stop, elle aura droit à ses égards. N'était-elle ma copine ? N'avais pas droit à ses égards ?

Après m'avoir embrassé, elle s'était redressé, et pendant quelques minutes, elle me dévora du regard, savourant chaque image qu'elle pouvait voir. Je la regardais me sourire, je la voyais heureuse, satisfaite d'avoir repris le contrôle. Elle était là, à califourchon sur mon torse, ses seins nu, me caressant le torse à chaque qu'elle se penchait pour m'embrasser. J'appréciais le contact de sa peau contre la mienne, sa peau douce et fraiche contre la mienne chaude comme la braise. Ses lèvres vinrent alors se réfugier au creux de mon cou, me chatouillant. Je ne pu retenir mon rire, et elle non plus. J'étais heureux, simplement heureux d'être avec elle. Elle me murmurait que c'était un crime d'être aussi beau et aussi doux, et moi, l'attirant vers moi, je lui murmurait doucement au creux de l'oreille :

C'est un crime aussi d'être aussi charmante et sexy

J'avais joué de ma voix suave, grave et sensuelle. La voix que je savais qui l'excitait davantage et la faisait ronronner de plaisir. Elle m'embrassait, entremellais nos doigts, jouait avec moi. Elle se mit à embrasser chaque partie de mon torse. Elle descendais de petit à petit vers mon entre-jambe, chaque baiser m'électrisant davantage. Doucement, elle ôta mon caleçon, révélant au grand jour ma virilité. Elle m'excitait, d'avantage à chaque instant, et plus rien ne pouvait cacher cela. Je n'en avais pas honte, elle le savait. Doucement, elle l'embrassa, la caressa et posa dessus ses douce lèvre. Le désir continuait à monter, toujours plus bon, toujours plus doux. Il me poussait à accelérer pour en finir, ou plutôt à échanger les rôles pour savourer cet instant magique que serait mon arrivée au 7em ciel. Mais, je ne voulais pas y arriver seul, et surtout pas de suite. Je voulais qu'elle y soit avec moi, et qu'elle prenne autant de plaisir que moi à y parvenir.

Alors qu'elle revenait vers moi pour m'embrassait, j'inversais de nouveau les rôles, me mettant au dessus d'elle. C'était moi qui dorénavant commandais. Ses yeux étaient lumineux et remplis de bonheur. Elle était si belle. je la regardais un moment, savourant chaque courbes de son visage. Je ne voulais pas la perdre, pas maintenant. Pour qu'elle reste toujours, je me m'y moi aussi à jouer avec elle. Je la caressais doucement, partant de ses seins jusqu'à son entre-jambe. Mais, au lieu de m'y rendre, je la caressais doucement à l'intérieur des cuisses. Je savais qu'elle aimais ça, que ça l'aidais à monter. Enfin, je lui enlevais son bas avec la même douceur qu'elle avait prodigué pour moi, et, je lui rendis le plaisir qu'elle m'avait offert. ses mains se nouaient sur les draps, essayant de s'aggriper. Elle gémissait de plaisir, et pour moi, c'était le signal comme quoi il ne fallait plus tarder. Je la soulevais doucement, lui caressant le ventre d'une main et la soutenant de l'autre, et doucement j'entrais en elle. Rien n'était aussi bon que ce moment là, le tout début de la fin, le grand final, la ligne droite vers le plaisir. L'apothéose.

Je l'embrassais langoureusement, faisant aussi de léger va et viens du bassin que j'accentuais progressivement en fonction de ses réactions. Je devais me retenir pour qu'elle puisse prendre le maximum de plaisir. Elle était mes indications, mon guide. Je ne pensais qu'à elle et son plaisir. Chaque fois que je renouvellais cet acte avec elle, c'était toujours plus beau, toujours plus intense, et toujours profondément bon. Je prenais gout à tout celà, et même si j'aimais coucher avec les femmes, quand c'était Nina, c'était différents. Ce moment là était unique, je m'y investissais à fond, pour elle, mais aussi pour moi. C'était toujours au dessus des autres, j'étais comme en phase avec elle. Elle et moi formions un vrai 'nous' à ce moment là !

Quand je sentis que c'était la fin pour elle, je lui offris tout ce qui étais en mon possible, et, en même temps qu'elle entrait au 7em ciel, je l'y accompagnis, pour savourer ce moment unique, remplie de bonheur et de plaisir avec elle. Je me rendis compte alors que je voulais de moins en moins partager ça avec une autre fille, une autre fille autre que Nina. A mes yeux, elle devenait la plus importante maintenant. La seule et l'unique presque. Pourquoi dis-j'ai ça ? Peut-être parce que nos ébats me rendaient complètement accro, ou parce que je ne savais plus trop ce que me murmurait mon coeur ? Ce que je savais, c'était qu'il ne fallait surtout pas que je gâche ce moment précieux avec ma belle en me prenant la tête.

Après qu'elle eu repris son souffle, Nina devint plus caline encore. Elle se frottait contre moi et m'enveloppais d'une douceur et affection que je ne voyais qu'à ce moment là, quand elle revenait doucement à elle. Elle se frottait, m'embrassait, ses mains jouant dans ma chevelure. Je lui rendis chacun de ses baisers avec tendresse, caressant du bout du doigt les traits de son visage, et lui soufflant doucement dessus. Il fallait que je profite de cet instant, car dans peu de temps,comme à chaque, elle me quitterais pour les bras de Morphée. Qu'elle ingrate celle là ! Elle pouvait se plaindre ensuite que les hommes roupillaient sérieux après avoir fait l'amour. Non mais oh !

Mais elle était si belle, si détendue, que je ne pouvais pas lui en vouloir. Je repoussais alors une mèche des ses cheveux qui tombait sur son visage en lui murmurant :

Fais de beaux rêve ma princesse ...

Tandis que je la voyais sombrer davantage dans le sommeil, je lui carressais doucement la tête, en guise d'une affection tendre. Elle était si belle endormie, son visage semblait si reposait, tellement différent de celui de la jeune femme qui avait encore les yeux grand ouvert quelques minutes plus tôt. Elle semblait si sereine. Voir Nina comme cela était tellement rare que je passais alors plusieurs minutes à l'observer dormir jusqu'à ce qu'à mon tour je sombre dans les bras de Morphée, la rejoignant.

Quand le jour vint me chatouiller le visage de ses rayons, je me levis doucement, m'étirant en tendant mes deux bras au dessus de ma tête. Je la vis alors en train d'enfiler ma chemise. Elle me tournait le dos, et je la devinais en train de boutonner doucement ma chemise. Je sortis du lit rapidement, quittant la douce chaleur des draps et me faufila derrière elle sans bruit. Alors qu'elle finissait d'enfiler le dernier bouton dans le dernier trou, je la pris dans mes bras et la souleva, afin de la porter comme un jeune marié porte sa nouvelle femme. Elle n'était pas bien lourde, et je la fis alors tourner avec moi. Son rire emplissait la chambre, et quand j'eu finis, je blottis mon visage contre le sien, lui déposant un léger baiser sur le front.

Bonjour toi. Bien dormis ?
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MessageSujet: Re: Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ]   Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ] EmptyMar 26 Mar 2013 - 14:21






Elle était là, à déboutonner minitieusement ma chemise, m'embrassant le torse de sa douce bouche chaque fois qu'elle défaisais un nouveau bouton. Alors qu'elle arrivait au niveau de la ceinture de mon pantalon, elle marqua un temps d'arrêt, me regardant. Je pouvais lire dans ses yeux le désir, l'envie de continuer plus loin, toujours plus vite. Mais, je commençais à la connaître, et je savais qu'à chaque fois elle s'en voulait d'aller toujours aussi vite, ne savourant pas le moment, cherchant plutôt le désir brut. Elle défit rapidement la boucle de ma ceinture, et avant qu'elle n'aille plus loin, je l'attrapais et la plaqua contre moi, me retournant, inversant ainsi nos positions : moi dessus, elle dessous. Elle n'aimait pas trop ça, mais c'était la seule chose que j'avais trouvé pour la faire patienter : m'occuper d'elle !

Je la fis tranquillement s'installer, glissant un oreiller sous sa tête pour qu'elle soit mis à l'aise. Après lui avoir déposé un doux baiser sur le front, je fis courir mes doigts le long des courbes de son visage. Je la sentais frémir doucement quand je descendis dans sou cou, effleurant ses clavicules et caressant son épaule gauche. Je continuais ainsi ma descente, traçant de légères arabesque sur sa peau au fur et à mesure que m'approchais du haut de sa robe. De temps en temps, je l'embrassais tendrement, du bout des lèvres.

Voyant qu'elle ne tiendrais plus très longtemps comme ça, je défis doucement la fermeture éclair qui retenait sa robe, puis, après l'avoir soulevée, je fis glisser la robe et la posa sur la descente du lit. Elle était là, devant moi, dans une lingerie splendide, se surpassant. Elle savait qu'une lingerie fine, froufroutante et coquine m'émoustillais plus qu'autre chose. Et là, elle m'offrait tout cela, sur son corps parfait.

Oh, petite coquine. C'est trop aimable de ta part !

Avant qu'elle ne puisse répondre, je l'embrassait déjà, bloquant toute tentative de réponse. Je la pris dans mes bras, la retournant encore une fois, ma bouche toujours collée sur la sienne. Je laissais mes mains me baladaient dans ses yeux, dans son cou, dans le creux de ses reins, entre ses seins, tandis qu'elle m'ôtait mon pantalon. Je me retrouvais donc en caleçon, face à elle, en lingerie, m'émoustillant comme il se doit. Je ne pouvais plus trop guère cacher cela, mais à part nous, qui donc cela pouvait-il bien déranger ? Personne ? Donc voilà. Il n'y avait qu'elle, et elle seule qui comptait à ce moment. Comme à chaque fois que nous nous sommes retrouvés ici, dans cet hôtel ou ailleurs !

Ce premier soir, après que je l'au embrasé au moment où elle était censé monter dans un taxis, après qu'elle m'eu attrapé la main et que nous soyons monté dans cette même suite, j'étais loin de m'imaginer que j'y reviendrais un jour, et avec la même fille qui plus ai. Mais, je crois qu'avec le recul que tous les deux, c'est différent. Depuis quelques temps, l'envie de voir d'autre filles diminué quelques peu. Il fallait vraiment qu'elles soient parfaite, magnifique, complètement subjuguées, mais aussi que je sois un tant soit peu ébréché. Nina occupait de plus en plus mes pensées, sans savoir pourquoi, j'espérais l'apercevoir au coin des couloirs ou dans des endroits improbable. Peut-être n'est-ce qu'une passade, un moment de doute ? J'en sais rien. Pour moi, seul le moment présent compte. Nina est là, dans mes bras, aussi belle que jamais, entièrement pour moi. Je ne peux pas ne pas profiter d'elle, alors qu'elle est là. Mais, sans le savoir pourquoi, mon esprit ne cesse de revenir à ce premier soir. Un lien, une connexion a été établis, sans doute sans que ni elle ni moi ne nous en rendions compte. Et maintenant, il y a ce nous, qui me prends la tête. Enfin, qui me prenait la tête.

Ma belle blonde m'embrasse plus farouchement, et je sens le désir qui monte d'avantage en moi, tout comme je sais que c'est pareil pour elle. Quand son désir monte, il y a cette flamme qui s'allume dans ses yeux. Une flamme que j'aime voir, et surtout que j'aime faire apparaître, car je sais qu'à ce moment là, et elle heureuse, et il n'y a que ça qui compte. Je sens ses mains qui se baladent sur mon corps, et je sens sa peau fraiche sous les miennes. Fraiche ? Non, plus trop. Elle se réchauffe au près de mon corps, tandis qu'elle est blottis contre moi, avant de s'écarter de nouveau pour mieux revenir. Je la fais rouler une dernière fois, afin de me retrouver de nouveau sur elle. Là, doucement, je la redresse afin qu'elle soit droite fac à moi. Je la lève légèrement, soulevant son bassin, afin qu'elle soit à genoux et moi assis. Ma tête se trouve au niveau de son cou, que j'embrasse tendrement, la piquant légèrement avec ma petite barbe de quelques jours. Mes mains jouent dans son dos, et sans qu'elle ne s'en apperçoive, alors que je lui volais un baiser, le haut de sa tenue git par terre. Doucement, alors que je la rallonge doucement, réajustant les oreilles, je laisse ma main droite jouer, caresser doucement la peau clair de ses seins.

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MessageSujet: Re: Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ]   Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ] EmptyMar 5 Mar 2013 - 0:35






- Non, pas de jeans et de pull. Ca ne serait plus drôle. Et puis, tu es faite pour porter des robes, de belles robes. Pas des trucs de mamies ! Un peu de classe Mademoiselle !

Elle était comme ça, à jouer avec moi comme moi je pouvais jouer avec elle. Toujours elle me parlait, me raconter des choses que je me savais seul à savoir. Elle me l'avait confier rapidement le soir de notre rencontre. J'étais parmis les rare élus avec qui elle partageait son lit qui en savait autant d'elle. Elle m'avait confié d'une voix basse, presque pleine de remords qu'elle ne donnait souvent que son nom, rien de plus. Et moi, ce soir là, j'avais eu droit à son origine mais aussi quelques confidences faites sur l'oreiller. Sa raison ? Toute simple. Elle me l'avait dit presque comme on dit un secret :

- Sans doute que ton charme et ton charisme me donne envie d'en dire d'avantage sur moi..

Et oui, avec ma petite gueule d'ange et mon sourire respirant la confiance, les gens avait souvent la même réaction qu'elle. Cela ne me gênait pas, parce que c'était souvent la meilleure méthode pour séduire ou connaître rapidement les petits secret d'une personne. Mais avec Nina, c'était différents : j'avais envie d'en savoir plus sur elle, de mieux la connaître, mais aussi de lui permettre de se dévoiler davantage pour qu'elle puisse mieux se connaître elle même. Je me rappelle aussi que ce soir là, on avait discuté jusqu'à tard dans la soirée, riant ensemble à ce bar qui peu à peu se vider des ses consommateurs, les clients remonter dans leurs chambres et les simples retourner chez eux, quelques fois après avoir bu un verre de trop. L'heure avait tourné, et ni elle ni moi ne nous en étions préoccupé. Seul l'autre comptais, et sans que nous le sachions, nous devions ressentir que ce n'était pas une rencontre anodine. Je me rappelle encore une chose avant que nous ne soyons montés enssemble. J'avais sans doute bu un verre de trop, mais je n'étais pas saoul. Juste l'alcool joyeux et elle aussi. Je m'étais avancé vers elle, me penchant en avant et tendant la main pour remettre une mèche de ses cheveux en place.

Tu es superbe. Comment une fille comme toi peut-elle rester seul comme ça ?

Elle n'avait pas su quoi répondre, et, même si elle allait me répondre, le barman nous indiqua que l'endroit allait fermer, nous demandant si nous avions terminer. Elle avait alors acquiescer de la tête, et c'est comme cela que nous nous sommes tout deux retrouvé sur les marches de l'hôtel. Il était tard, et la nuit avait rafraichis l'atmosphère. Elle héler un taxis, et voyant qu'elle avait froids, j'ai enlever mon blouson en cuir pour lui passer autour des épaules. Son regard à ce moment là est gravé dans ma mémoire, ses yeux semblant me demander pourquoi.

Tu as merveilleusement bien deviner ma confrérie. Tu devrais donc n'avoir aucun problème pour me le rendre, non ?

Elle avait hocher la tête, et nous sommes rester là, à attendre un taxis. J'aurais très bien pu partir, ma voiture m'attendant quelques mètres plus loin, mais la politesse m'obligeait à rester avec elle jusqu'à ce qu'elle monte dans un taxis. J'étais comme ça, toujours respectueux. Au moment où elle allait monter dans le taxis qui venait de s'arrêter devant nous, je lui avais attraper le bras pour la retenir. Elle c'était retourné et me regardais dans les yeux, avec toujours ce même regard.

Nina, reste, s'il te plait ...

J'avais alors pris son visage entre mes mains, et doucement, je m'étais penché vers elle pour l'embrasser. Une fois cela fait, j'avais reculé, lâchant doucement son doux visage. J'allais retourner dans l'hotel pour y régler une dernière chose, et, au moment où j'aillais franchir la lourde double porte, elle avait couru vers moi. A ce moment là, j'étais loin d'imaginer que plusieurs semaines après, elle serait de nouveaux à mes côtés.

On va voir ce qu'il s'y passe?

Mais bien sur que l'on va aller voir ça ! Et de suite même !

Je fis signe au barman d'apporter l'addition avant d'embrasser une derniere fois son épaule. Une fois la note payée, nous sommes passés à la réception pour y récupérer la clef de la suite que j'avais loué pour la soirée. Une fois dans la cage d'ascenseur, les portes à peine refermé, je la pris dans mes bras, presque violemment. Depuis qu'elle était arrivé, j'en mourrais d'envie. Je passais mes mains dans ses cheveux, l'embrassant fougueusement, lâchant tout ce que j'avais pu retenir dans toute cette longue attente qu'elle créait à chaque fois. Elle me rendis mon baiser et mon étreinte avant que nous n'arrivions au bon étage. Avant de sortir, nous retrouvions un minimum de tenue, mais, à peine la porte de la suite franchis, nous avions déjà recommencé, nous lâchant totalement. Je la pris dans mes bras et la déposa sur le lit à baldaquin. Parmi toutes les suites que nous avions essayé, dans différents hôtels comme dans celui-ci, c'était celle qui lui avait laissé le meilleur souvenir, et je dois bien avouer qu'à moi aussi. Car, c'est ici que tout à commencé. La suite pouvait paraître ringarde, mais elle et moi, nous la trouvions magnifique ! Elle était tout sauf moderne : un grand lit à baldaquin, avec de grands voilage blanc, une tapisserie ancienne brodées, remplis de symboles qui donnaient une atmosphère romantique à la suite, le tout dans des couleurs que Nina affectionnaient particulièrement : un jaune clair, et un rose plus tranchant. Les meubles, en style Louis Phillippe, en bois de merisier, complétais à merveille l'athmosphère. J'avais aussi pris le soin de faire remplir la suite de ses fleurs préférés. Un petit détail qu'elle ne remarquerait sans doute pas, mais que j'avais quand même voulu faire.

Elle était là, sur le grand lit, à me regarder de son air coquin et brillant, me suppliant presque du regard à venir la rejoindre. Mais c'était à mon tour de la faire attendre comme elle, elle me faisait attendre. Doucement, tout en la regardant droit dans les yeux, je fis tomber mon blouson, et commença à déboutonner minitieusement ma chemise blanche. Ne tenant plus, alors que j'étais à la moitié de la chemise, elle sauta en avant et m'enveloppa de ses bras nus pour me donner un baiser langoureux.
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MessageSujet: Re: Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ]   Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ] EmptyLun 4 Mar 2013 - 20:07






- Bien ... Je vais bien, et toi ?

- Depuis que tu es là, mieux. Tu sais que j'ai horreur quand tu fais trainer les choses. Même si je dois avouer que ça m'émoustille d'avantage.

Je lui fis un des sourires tendres, un de ceux que je lui réservais spécialement. J'étais spécial pour elle, elle devait l'être aussi pour moi. J'entendais les bruits de couloirs sur elle, où tous le monde prenait un malin plaisir à se vanter d'avoir pu se la serrer, ou entendre des filles la traiter de tous les noms. Avec eux, elle n'était qu'un courant d'air, une fille qui glisse entre les doigts et toujours leur échappe. Mais, avec moi, c'était bien différents : elle prenait son temps, se reposait, rester auprès de moi, à se faire cajoler comme une chatte ronronnant de plaisir. Elle était aussi pleine d'attention envers moi, ce qui me différenciait des autres. C'était voulu, où le faisait-elle sans arrière pensée ? A vrais dire, je me fichais de la réponse, car je préférais prendre du bon temps avec elle.

C'était à son tour de se pencher vers moi, prenant ma main dans ses doigts délicats. Elle me murmura à l'oreille qu'elle me trouvait beau.

- Mais, tu es toi aussi toute en beauté très chère ! Regarde toi ! Quel dommage qu'il ne faille enlever cette robe !

Ma remarque provoqua en elle un petit rire. J'aimais la faire rire, car, son visage s'illuminait, la rendant alors encore plus belle. Est-ce que les autres hommes, les mecs avec qui elle avait des aventures quand il n'était pas là s'en rendaient compte, où était juste obnibuller par le fait de coucher avec une femme, d'ajouter un nom de plus sur leur tableau de chasse ou de tromper leur horrible copine ? Elle méritait mieux que ça : quelqu'un devait la traiter en princesse, lui faire comprendre qu'elle valait mieux que cette réputation qu'elle se trainer derrière elle. Mais ce n'était pas à moi de faire ça, je ne m'en sentais pas capable, pas assez d'étoffe, mais aussi pas l'envie, l'envie de renoncer à tout ce batiffolage, ces plaisirs avec des femmes différentes ou plusieurs à la fois. Mais peut-être qu'un jour, qui sait ...

Ce soir où je l'avais rencontrée, j'avais deviné cela quand elle m'avait dit son nom. Dans ma confrérie, les noms de filles sont souvent plus vite appris que les cours, surtout ceux des Eta, et en particulier les filles faciles et les poufs. Mais, je ne m'attendais pas à ce que la fille dont tous mes confrères parlaient, cette Nina, c'était elle. Elle semblait tellement loin de tout ce que j'avais pu entendre. C'est pour ça que j'étais resté à côté d'elle, à l'écouté, et à la séduire doucement pour faire apparaître un sourire sur son visage. Oui, j'étais un séducteur, un Pi Sigma, sauf que comparé à tous les autres, je séduisait gentiment, en respectant la fille, et jamais en y allant de plein fouet. Je préférais mille fois la classe, et, d'après moi, il vaut mieux séduire une fille en plusieurs fois, quitte à échouer plusieurs fois, que de faire du rentre dedans direct, brusquant et offusquant la demoiselle. Que pensera t-elle la prochaine fois ? Que c'était des muffles ? Pouah, loin de moi tout ça.

Je l'avais donc écouter me raconter la raison de sa présence ici, seule à ce bar. Elle m'avait alors posé deux trois questions auquel j'avais répondus franchement :

- Hum, faut faire avec ce qu'on à sous la main. Tu aurais préférer que je trébuche et t'arrose avec mon verre ? Si tu veux, je peux faire ça aussi !

J'avais ris, non pas d'un rire franc, mais de façon à lui comprendre que je pouvais aussi faire preuve d'humour. Il ne tenait qu'à elle de comprendre tout le sous entendu et l'ironie qui s'y cachait. En y repensant, la technique du verre qui se renverse sur sa belle robe aurait pu être une approche beaucoup plus brutal, plus rentre dedans que classe. Pas du tout moi !

- Et non, je ne suis pas de Miami. Je viens de la grosse pomme, NEW-YORK ! Et vous, d'où venez vous charmante demoiselle ?

Elle aurait très bien pu me dire qu'elle venait du fond du Texas, de Russie ou du Pole Nord, cela n'aurait rien changé ! Elle était belle, avait un beau sourire, et ça me suffisait amplement. Après qu'elle m'eu répondu, nous avons continué à discuter, faisant plus ample connaissance, nous découvrant davantage à chaque fois que nous ouvrions la bouche. Comme ce soir, nous parlons toujours. Nous parlons, nous parlons, nous parlons. Grace à l'alcool, la gêne de départ commençait à disparaître, laissant place à notre intimité et aux petits gestes tendre. J'avais rapproché mon tabouret du sien, glissait ma main sur sa hanche, appréciant le doux toucher de sa robe jaune. Une belle robe bustier, qui la mettait en valeur, lui faisant une belle peau à croquer.

Je m'approchais davantage d'elle. J'aimais cette promiscuité entre elle et moi : il fallait que la sente, que la touche, que je la sache contre moi. D'un geste de la main, je dégageais ses cheveux, révélant une épaule douce que j'embrassais tendrement tout en lui murmurant :

- Devine quelle suite j'ai réservée. Je suis sure que tu va vite trouver. Nous y sommes aller qu'une seule fois, mais je me rappellerais toujours de ce soir là. Tu veux un indice ? C'est ta couleur préférée ...

J'aimais jouer avec elle, mais pas dans le mauvais sens. Un couple qui ne joue pas, ne prends pas du bon temps et ne s'amuse pas est un couple mort. J'aimais la surprendre, lui faire des surprises, et des petits plaisirs. Et, je savais que même le choix d'une suite, de l'attention que j'avais pu y porter la toucherais. C'était la chambre du soir de notre rencontre.

Sous ses airs de tigresse et de chatte mangeuse d'hommes se cachait une femme sensible. C'était juste qu'elle ne le savait pas.
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MessageSujet: Re: Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ]   Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ] EmptyLun 4 Mar 2013 - 10:57




Elle était là, enfin. Après m'avoir pris dans ses bras et serrer contre elle, elle me caressa d'une main tendre la joue.

- Désolée, je t'ai fait attendre ...

Comme toujours, sa voix était remplis de tendresse, et elle me parviens comme un doux murmure. Pendant qu'elle s'installait, je l'observais, tranquillement, comme je le faisais à chaque fois. Ce soir, elle avait revêtu une robe jaune, la moulant à la perfection, comme toujours. Elle était là, belle, les jambes croisés, à me regarder. Je lui commanda un verre pour que je ne sois pas le seul à boire, mais aussi pour nous déguinder un peu. Comme lors de nos précédentes rencontres, à ce même bar, une gêne nous prends toujours au début. Etrange ? Oui, car ce n'est pas la première qu'elle et moi nous nous retrouvons ici. On se voit parfois pendant la semaine, au détour d'un couloir, où bien quand son rire parvient jusqu'à mes oreilles. Mais les gens ne nous comprennent pas, nous et notre relation si étrange qu'elle puisse leur paraître. Nous n'avons pas besoin de ces choses qui 'rassurent' les couples traditionnels, et nous sommes très heureux comme ça.

Alors que nous trinquions, je nous revois tous les deux, plusieurs semaines plus tôt, lors de notre rencontre. Après que je me sois rapidement présenté, elle m'avait répondu en me révélant son prénom :

- Enchantée, moi c'est Nina.

Après avoir bu quelques gorgées en silence, elle avait briser la glace, me posant une question, comme je l'avais fait pour elle quelques minutes plus tôt.

- Qu'est-ce qu'un Pi Sigma aussi beau fait tout seul dans un hôtel tel que celui-ci. Tu devrais plutôt être accompagné.. A moins que ton rendez-vous ne tarde à arriver?

- Oui je suis un Pi Sigma, et oui, cela peut paraître étrange que je sois là, seul, assis à un bar ce soir. Je n'avais pas la tête à sortir en boite avec mes confrères, ou me mettre la tête à l'envers. Voilà donc la raison de tout cela : j'aime être un loup solitaire parfois.

Oui, j'étais un Pi Sigma. Et alors ? Cela ne devait pas faire de moi un enfoiré qui enchainait les soirées, les filles, l'alcool et tout le reste. J'aimais mes moments en solitaire, où je sirotais docilement un alcool léger, observant les gens, leurs manières, leurs vêtements, essayant de deviner les liens qu'ils pouvaient avoir avec les personnes présente.

- Mais toi, que fais-tu ici ? Une Eta, seule à un bar, un soir qui plus est. Ton rendez-vous est-il en retard ?

Reprendre sa formule m'amusait, et je lui souris. Un sourire tendre, sincère, qui lui montrait que je n'avais aucune arrière pensées malsaine, mais plutôt envie de mieux la connaître. Je voulais parler avec elle, mais aussi voir si toutes les Eta étaient ce qu'on disait : des filles faciles, pouffiasses sur les bords, sans aucune culture, et ne pensant qu'aux mecs, à la mode et au sexe. J'étais bien curieux ce soir là, et je n'étais pas au bout de mes surprises. La jeune Eta c'était révélé être surprenante, sous bien des angles.

Mais là, de la voir en face de moi, dans sa belle robe jaune, me fit faire un geste audacieux, emprunt de la maladresse qui nous tenait toujours lors de nos retrouvailles. Je tendis ma main vers son visage, glissant mes doigts sous ses cheveux et mon pouce sous son menton, l'attirant vers moi pour déposer doucement mes lèvres sur les siennes. Je m'en fichais que les gens nous voient, ou face leurs bourgeois offusqué. Depuis qu'elle était arrivé, je ne voulais que faire ça. Je glissais le long de son doux visage, la piquant de ma petite barbe du jour, lui murmurant dans l'oreille :

Bonjour toi ! Ca va ?

Ma voix c'était fait suave, et j'appréciais l'effet que ça faisait à chaque fois, sur toutes les filles, mais surtout sur elle. Elle y étais sensible, et je l'avais remarqué. Du coup, j'aime lui parler comme ça, juste pour elle. Je lui déposais un rapide baiser dans le coup avant de boire une dernière gorgée de mon verre.
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MessageSujet: Re: Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ]   Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ] EmptyDim 3 Mar 2013 - 22:03



“Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie?”
Noah & Nina


J'étais dans ma chambre entrain de courir dans tous les sens: J'avais un rendez-vous. C'était pas n'importe quel rendez-vous c'était Noah, mon rendez-vous. Je devais être prête, je devais être à l'heure, je devais être... Moi. J'avais opté pour une robe jaune, m'arrivant un peu plus haut que les genoux, bustier et moulante. Je voulais être jolie et présentable, je devais être jolie et présentable. Je croisais souvent Noah dans les couloirs de l'école la semaine mais là, c'était différent. C'était un rendez-vous rien que lui et moi. J'avais laché mes longs cheveux bruns, en général on me disait que c'était plu joli et même moi, je préférais. J'étais prête.

Enfin sortie du batiment des Eta, je longeais le trottoir tout en guettant après un taxi, j'étais un peu à la bourre et puis l'hôtel où je devais me rendre n'était pas dans cette zone de la ville. C'était un hôtel peu connu des lycéens de Wynwood où j'avais l'habitude de retrouver Noah. Une fois un taxi repéré, je lui fais signe et celui-ci se stoppe devant moi: j'entre, lui donne l'adresse et laisse mes pensées m'envahir. Je repensais à ma rencontre avec Noah, il y a un moment déjà. J'avais été dans cet hôtel pour y rejoindre ma mère de passage à Wynwood, j'avais attendu jusqu'au dernier moment où elle m'avait prévenue qu'elle ne viendrait pas. Décidément. Noah m'avait payé un verre, et moi lorsque je l'ai vu pour la première fois, j'avoue avoir complètement craqué. Il est clair que c'est souvent l'effet que me font les hommes beaux mais Noah avait la classe en plus et des yeux dans lesquels je pouvais me perdre un million de fois.

Noah avait directement remarqué que je faisais partie des Eta de part mon physique apparemment, je le prenais pour un compliment. J'étais fière de faire partie de cette confrérie, je m'y sentais bien, je m'y sentais chez moi et pour rien au monde je ne regrette ce choix. J'avais acquiescé un sourire lorsqu'il se présenta. Noah, quel doux prénom pour un homme...

Enchantée, moi c'est Nina

Je me rappelle que suite à cette présentation, j'avais eu beaucoup de mal à m'intéresser à ce qui se passait autour de nous. Il m'obsédait et encore jamais j'avais eu envie d'aller plus loin. Je ne pouvais m'empêcher qu'un mec comme lui m'était surement envoyé d'un dieu grec. En fait, rien que son sourire me faisait chaviré, il me faisait fondre. Après ça, j'avais moi aussi tenté de deviner sa confrérie. Il était playboy, il était beau comme la plupart des Pi Sigma et je ne pouvais me tromper.

Je parierai sur les Pi Sigma en guise de confrérie.. Je me trompe?

Je lui avais souris, il me troublait et j'osais à peine le quitter des yeux tellement cette sensation m'était agréable.

Qu'est-ce qu'un Pi Sigma aussi beau fait tout seul dans un hôtel tel que celui-ci. Tu devrais plutôt être accompagné.. A moins que ton rendez-vous ne tarde à arriver?

C'était ce que je lui avais dis et ce dont je me rappelais avant que le chauffeur me fit redescendre de mon petit nuage.. J'étais arrivée devant l'hôtel où Noah devait m'attendre. Je sortais de la voiture et grimpais les escaliers aussi vite que mes talons me le permettait. Arrivée à l'entrée, je souris au portier et me dirige vers le bar, là où tout à commencer. Il était là, il était beau et ce soir il était pour moi. Je m'approchais, le serrais contre moi et imprimait son visage, toujours aussi tendre, toujours aussi beau. Ma main lui caresse la joue en guise de tendresse... avant de m'excuser d'une voix douce et à peine audible.

Désolée, je t'ai fait attendre..

Je m'installais sur le tabouret à côté du sien et croisait mes jambes, comme à mon habitude
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MessageSujet: Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ]   Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ? [ Nina ] [ X ] EmptyDim 3 Mar 2013 - 18:50

Nina & Noah

Te souviens-tu de ce soir où tu es entrée dans ma vie ?



J'attendais Nina, comme toujours, au bar de l'hôtel, de notre hôtel, celui qui au fil du temps avait finis par devenir notre lieu de retrouvailles favoris pour nos ébats amoureux, loin du regard du monde et des autres élèves. Il y a quelques temps déjà, je l'ai rencontré à ce même bar, un soir de vadrouille, ne sachant pas trop quoi faire et ne souhaitant pas rentrer si tôt. J'étais un Pi Sigma ! Elle était alors apparu, seule. Une beauté comme on voit tous les jours, ici à Wynwood. Les belles filles ne manquaient pas, mais c'était sur elle que j'avais jeter mon dévolus en attendant le grand amour. Elle était belle, je ressentais quelques petits sentiments pour elle, mais rien de bien important car cela ne m'empêchai pas de batifoler à droite et à gauche quand on ne se voyaient pas. Et cela ne dérangeait personne. On s'aime à notre façon et enmerde les autres, avec leurs cancans et leurs ragots. J'aimais bien sa compagnie, et elle aussi. Je la respectais, et elle aussi à sa façon. Elle en pouvais s'empêcher de me regarder d'un oeil gourmand, et cela ne me gênais pas. Cela me rassurais même, me confortant dans mon idéal de séducteur et me permettant de garder confiance en mon nouveau physique que j'avais passer plusieurs mois à faire. Oui, elle était belle, avec son physique de rêve et ses longues jambes. Sans vraiment savoir pourquoi, j'avais été heureux quand elle avait accepter de monter avec moi dans la chambre.

Le soir de notre rencontre, elle était apparus dans une robe superbe qui la moulait aux endroit qu'il fallait, sans pour autant tomber dans l'exubérance et la vulgarité, et il s'échappait d'elle une aura qui ne laissait personne indifférent dans la pièce, même pas moi. Elle c'était alors installé non loin de moi au bar, et je lui avais fait un signe de la main, amicale, lui décochant aussi au passage un de mes sourires à faire rougir une fille. Après avoir finis mon verre, j'en avais commandé un autre. Je me rapelle aussi que discrètement, je m'étais dévisageait dans la glace en fac de moi afin de vérifier mon visage mais aussi ma tenue. Comme toujours, je n'étais pas loin de la perfection. Je ne dis pas ça pour me venter, mais c'est parce qu'on me le dit souvent, mais aussi que je fais tout mon possible pour être le plus irréprochable. Ce soir là, mes cheveux blonds étaient comme toujours, en pétard désorganisé, qui me donnait un look de gentil garçon qui veut casser son image de fils à papa. Je portais aussi une chemise blanche légèrement froissé, et sur le tabouret à ma gauche se trouvait mon blouson aviator en cuir marron foncé. Mes lunettes noires Ray-Ban étaient rangé dans le cou de ma chemise, me donnant un certains petit genre.

J'avais ensuite constaté qu'elle venait de reposer son verre, vide. Je m'étais alors approché d'elle pour m'assoir à sa droite. D'un signe de la main au barman, je lui avait fait comprendre de remettre ça, et pour nous deux. Alors qu'il apportais les verres, je m'étais tourné vers elle, la regardant comme si c'était la première fois que la voyais. Sa bouille me disait vaguement quelques choses, j'avais du la croiser dans Wynwood, ou bien lors d'une soirée. Pour tenter une première approche, je lui avait alors dit :

Tu es Wynwood n'est ce pas ? Eta Iota je présume ? Un telle beauté ne peut pas être dans une autre confrérie. Sinon, ils ont bien de la chance.

Je lui fit alors un sourire sincère, car oui je pensais ce que je disais. J'attrapais les deux verres, un dans chaque main, et je lui en tendis du.

- Je m'appelle Noah. Et toi ?

Je souris à l'idée de ce souvenir, à mon incapacité. Mais tout cela était , elle moi nous formions un petit couple bien étrange, mais un couple quand même. J'étais là, à ce même bar, à l'attendre, encore une fois, malgré son retard. Comme toujours, elle me faisait poireauter, car elle savait parfaitement que j'étais toujours en avance et que je respectait scrupuleusement les horaires. Elle se faisait donc toujours attendre, désirer, faisant monter en moi le désir et l'impatience qui rendait nos ébats magique. Je savourais donc comme à chaque fois mon verre, me demandant pour la enième fois quand est-ce qu'elle allait arriver. Alors que je reposais mon verre, une ombre se glissa derrière moi et me pris dans ses bras. Elle venait d'arriver.
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