Cours particulier....Cours j'ai dis!{Orlando}

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Lily & Orlando

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Il commençait à m'intriguer en faites.Ce n'était vraiment pas si mal que Mr. Zvell ai décider de "nous mettre ensemble" pour ce cour de rattrapage.Et puis il avait l'air intéressant, c'est toujours sympa de rencontrer des gens intéressant comme ça.Seulement l'heure tournait, et je me disais aussi que je n'allais pas rester éternellement non plus, et je pense que lui non plus.

"Dis-moi, charmante demoiselle, je suis véritablement navré si ma question est déplacée mais je me demandais ce que faisaient tes parents, j’ai l’impression que je connais ton nom en fait."

Il connait mon nom?Ah....Possible.Moi je ne me rappelle pas l'avoir croisé un jour en faite.Mais peut être était-ce le cas?Peut être qu'on s'était déjà vu et que je ne m'en souvenais pas.Après tout une infime partie de ma mémoire à été effacer.C'est peut être dans cette petite période là....?

"Et bien ma mère ne travaille plus vraiment, mais elle tenait une petite boutique de vêtement à New York.Et mon père est médecin généraliste.Ca te dis toujours quelque chose?"

Espérons qu'il ne demandera pas pourquoi ma mère ne travail plus.Je n'avais pas réellement envie de répondre qu'elle était en train de sombrer, et pas seulement à cause du divorce.Elle allait mal, tout allait mal pour elle, et elle n'était pas apte psychologiquement à travailler....

Le jeune homme referma alors son cahier, ce que je fit également.Après tout, on avait bosser, c'était déjà pas mal, j'étais déjà contente d'avoir pu faire quelque chose avec lui.Et puis l'heure tournait, bientôt nous repartirons chacun de notre côté.Peut être sera t-il encore là la semaine prochaine?Et peut être qu'on se parlera si l'on se croise dans les couloirs.Peu importait pour l'instant.J'essayais toujours de savoir comment il aurait pu connaître mes parents.Peut être mon père en tant que médecin à New York....?Ou peut être avait-il entendu parler de la petite boutique de ma mère?

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Liberty & Orlando

❝ Work work and work ❞

Rester assis en sa compagnie n’était pas déplaisant mais l’Italien ne se voyait pas passer sa fin de journée ainsi. Tout ce qu’il voulait à présent, c’était soit aller plus loin avec Liberty si elle le voulait bien, soit la laisser en plan tout simplement. Cependant, il fallait être patient s’il voulait espérer avoir ne serait-ce qu’un petit résultat à peine satisfaisant.

La quittant finalement du regard, il s’intéressa temporairement à son cahier, écoutant le rire de la jeune femme avec une très légère impression d’amertume. Il venait de réaliser quelque chose, il venait soudainement de se rendre compte d’un détail auquel il n’avait pas prêté attention. Rapidement, il releva la tête à nouveau la jeune femme, regardant rapidement la sportive sans un mot au début. Il n’avait pas fait attention à ce détail mais à présent, il avait tout simplement l’impression qu’il avait une sirène dans la tête, une alarme qui ne voulait plus se taire et qui ne cessait de briser sa concentration.

« Dis-moi, charmante demoiselle, je suis véritablement navré si ma question est déplacée mais je me demandais ce que faisaient tes parents, j’ai l’impression que je connais ton nom en fait. »

Qui était-elle véritablement ? Le nom de Thisly était-il réellement familier aux oreilles de l’Italien ou venait-il de détourner la vérité pour en savoir plus ? Seul lui connaissait véritablement la réponse à cette question. Il passa la main sur son visage, effleurant sa barbe naissante du bout des doigts, il adopta inconsciemment une expression plus songeuse et posée. Adieu le côté charmeur et sa belle assurance qui l’avait habité jusque-là, à présent, il ne restait qu’Orlando, prisonnier de ses doutes naissants.

Il finit finalement par fermer son cahier, il n’avait de toute façon plus vraiment envie de travailler mais peut-être que s’il était véritablement poussé dans le bon sens du terme, il allait finir par s’adapter et reprendre le travail, mais en toute honnêteté, il ne fallait pas rêver. Depuis qu’il était entré dans cette pièce, il avait travaillé durant bien plus longtemps que ces deux derniers mois réunis alors il ne fallait pas vraiment en attendre plus de lui.

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Lily & Orlando

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La vie à Miami n'était pas très différente de celle de NYC, seulement...Ca restait autre chose, je partais en abandonnant absolument tout derrière moi, et je recommençais tout.C'était juste bizarre de devoir repartir de zéro.Et puis je ne me sentais pas chez moi ici.Après tout ce qu'il s'était passer, je ne me voyais pas non plus rester à New York.J'étais un peu paumée je dois dire avec tout ça.Tout s'est casser la gueule en peu de temps et moi je n'ai rien vu venir.J'ai été spectatrice de ma vie, et j'ai dû attendre que les choses se fasse, je n'ai pas eu mon mot à dire.

"Je viens de Milan, en Italie, je suppose que cela s’entend un minimum non ? Je suis venu ici pour terminer ma scolarité sur un souhait de mon père.

-Oui a s'entends assez, c'est vrai!Et Miami te plaît au moins?"

Pourquoi je lui pose toutes ces questions?C'est vrai, on se croirait à une interview!Il doit se dire que je suis une idiote...

"Si parler de toi t’embête, on peut cesser, je ne veux pas te déranger plus que cela. Même si j’apprécie le fait de converser avec toi, je ne vais pas continuer si le plaisir n’est pas réciproque.

-Non, ce n'est pas que ça m'embête, je te rassure, et j'aime bien parler avec toi aussi.Seulement je crois que j'ui pas si intéressante que ça!"Dis-je en riant.

C'est vrai, je n'ai rien de spécial, je suis simplement une ex-New Yorkaise dont les parents se sont séparés et qui est venue vivre à Miami.Une gamine totalement timide qui savais même pas ou se mettre à ce moment de la conversation. Qu'est-ce que j'avais de si intéressant pour qu'il continue de parler avec moi?

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Liberty & Orlando

❝ Work work and work ❞

Finalement, l’adolescente se montrait plus surprenante que prévu et Orlando ne regrettait pas d’être resté avec elle pour le moment en tout cas. Elle préférait donc les lys ? C’était une information utile à savoir car même si elle ne lui servirait pas à lui, elle pourrait toujours servir à un de ses frères de confrérie en cas de besoin. Même si elle avait dit cela sur le ton de la plaisanterie, Orlando était certain que ce n’était pas une blague mais réellement sa plante préférée.

Ce choix n’étonnait pas tellement l’Italien en réalité car même s’il ne s’intéressait pas tellement aux fleurs, il connaissait la signification des plus communes et le Lys était réputé pour représenter la douceur et la pureté, deux qualités qui allaient comme un gant à la charmante New-Yorkaise.

Souriante et chaleureuse, passer du temps en sa compagnie était vraiment agréable. Elle ne semblait pas être le genre de filles qui sont sujettes aux prises de tête continues ou aux violentes disputes, bien au contraire, elle semblait être à l’écoute et surtout patiente, ce qui était appréciable dans un premier temps.

La jeune femme qui venait donc de NYC ne devait pas trop se sentir dépaysée au niveau de la population que l’on trouvait à Miami mais plutôt à cause du climat. Miami était une ville bien plus chaude que New-York en toute saison et c’était pour cela également qu’Orlando ne détestait pas trop son père qui l’avait envoyé ici. A présent, c’était à son tour de lui répondre et l’Italien esquissa un petit sourire. La bonne humeur de Liberty semblait presque communicative et adoucissait légèrement le caractère plutôt froid et austère du Milanais.

« Je viens de Milan, en Italie, je suppose que cela s’entend un minimum non ? Je suis venu ici pour terminer ma scolarité sur un souhait de mon père. »

Comment atténuer la réalité en deux leçons avec monsieur Vetràio. Premièrement, ne jamais préciser que c’est pour une dernière chance et non pas pour terminer sa scolarité et deuxièmement, ne jamais dire que c’est un ultimatum et non pas un souhait. Comme quoi, en changeant deux trois mots, les faits semblaient plus doux et plus appréciables et surtout, il ne risquait pas de passer pour un parfait imbécile aux yeux de sa nouvelle camarade. Maîtriser le langage était finalement quelque chose qu’Orlando ne regrettait pas et il était même prêt à remercier son père pour tout cela.

L’Italien avait remarqué que la jeune femme n’était pas particulièrement bavarde et il la regarda dans les yeux, plongeant ses yeux couleur océan dans les siens.

« Si parler de toi t’embête, on peut cesser, je ne veux pas te déranger plus que cela. Même si j’apprécie le fait de converser avec toi, je ne vais pas continuer si le plaisir n’est pas réciproque. »

Par cette simple réponse, il allait rapidement savoir si oui ou non, sa présence et ses questions dérangeaient l’adolescente ou non.

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Lily & Orlando

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Les roses n'étaient pas mes fleurs préféré, mais l'attention me plaisais particulièrement.A vrai dire je n'avais jamais eu l'occasion de recevoir des fleurs donc bon...

"Ce n’est rien. Comme je l’ai dit en arrivant, c’était pour excuser en partie mon retard. Il est très mal venu de se présenter en retard lorsqu’une heure est convenue, surtout si c’est la première fois.

-T'as pas besoin de t'excuser, tu n'étais pas si en retard que ça, mais c'est gentil comme attention! Dis-je en souriant.Je n'ai pu m'empêcher de rajouter en baissant légèrement la voix; Ce n'est pas un lys mais bon..."

Je riais légèrement, lui faisant comprendre que je plaisantais, son attention me plaisait tout de même, et puis avec des roses, tu es presque sûr de ne pas te tromper, c'et une fleur magnifique après tout!

"Tu disais précédemment que tu venais d’arriver, mais puis-je savoir où tu étais avant ?"

Pourquoi s'intéresser tant à moi?Peut être que je jugeais trop rapidement, mais il n'avait pas l'air de ceux qui s'intéresse aux filles comme moi, ou aux gens comme moi.Je ne suis qu'une fille timide qui aimerais se fondre dans la masse, une nouvelle arrivante, une fille paumée et naïve, qui plus est sa "prof", alors pourquoi s'intéresser ainsi à moi?

"De New York, je suis de New York, je suis arrivée ici y'as quelques jours avec ma mère.Et toi?Tu viens pas d'ici, je me trompe?"

Oui, moi aussi je m'intéressais à lui quelque part.Lui faire la conversation n'était déplaisant en faites.Du tout, il avait l'air gentil après tout, et puis me faire la conversation ne semblait pas le déranger non plus, alors autant en profiter!

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Liberty & Orlando

❝ Work work and work ❞

Liberty semblait être le genre de fille à avoir la fascinante capacité de sourire pour une simple phrase. Elle semblait être de ce genre-là, ce genre de filles qui arrivent à voir le bon côté des choses dans presque toutes les circonstances, qui respirent la joie de vivre et qui sont souriantes en toutes circonstances. C'était peut-être cela qui la rendait particulière et qui attisait la curiosité de l’Italien, sans le savoir, elle parvenait à capter son attention durant un temps record ce qui n’était vraiment pas donné à tout le monde.

Comme si elle avait lu dans ses pensées, elle le remercia à nouveau pour la rose, confirmant qu’elle aimait beaucoup cette fleur. Pourtant, Orlando ne parut pas réellement soulagé avec cet aveu, au contraire, il fut légèrement déçu qu’une simple fleur aussi banale qu’une rose puisse plaire à une fille comme elle. Peut-être qu’elle n’avait tout simplement pas des goûts qui sortaient de l’ordinaire en fin de compte.

« Ce n’est rien. Comme je l’ai dit en arrivant, c’était pour excuser en partie mon retard. Il est très mal venu de se présenter en retard lorsqu’une heure est convenue, surtout si c’est la première fois. »

L’éducation de ses parents n’avait jamais quitté le Milanais et ses bonnes manières non plus. Toujours galant et courtois avec les femmes, il ne se montrait que très rarement odieux avec elle lors de leur première rencontre. Pour ce qui était de la suite après, cela n’était plus de son ressort comme il se plaisait à le dire. Plus le temps passait et moins l’Italien avait envie de se mettre au travail, il ne voulait qu’une chose, partir une fois que cette conversation serait terminée, non pas qu’il n’appréciait pas la présence de la charmante blonde mais parce qu’il avait mieux à faire tout simplement.

« Tu disais précédemment que tu venais d’arriver, mais puis-je savoir où tu étais avant ? »

Orlando appréciait la voix de Liberty et l’entendre parler ne le dérangeait nullement, c’était pour cela qu’il avait pris la peine de relancer la conversation, s’intéressant à elle, uniquement en surface. La vie privée de la jeune femme ne l’intéressait pas des masses et ce ne serait certainement pas lui qui la lancerait sur ce sujet, bien au contraire. Mis à part sa propre vie, celle des autres n’avait qu’une importance moindre pour Orlando, il n’était même pas sûr de connaître grand-chose sur celle de Nathan, de Kalypso ou même celle de Nina. D’ailleurs, c’était certainement mieux ainsi. Il se contentait de vivre l’instant présent et de ne pas s’interroger sur leur passé, ainsi, il évitait qu’on s’intéresse au sien, ce qui était la meilleure chose possible.

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Lily & Orlando

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"Je n’avais pas pensé à l’aspect sociale de cet engagement, c’est vrai. Mais en choisissant de donner ton temps ainsi, tu peux étendre ton champ de relations et rencontrer des personnes avec lesquelles tu n’aurais jamais eu l’occasion de parler.

-C'est sûr, ça permet de rencontrer quelques personnes que tu n'aurais fais qu'apercevoir en temps normal.C'est bien aussi.Tu vois y'as des bons côtés!"

Question social, j'avais besoin de rencontrer du monde.Je ne connaissais qu'Ilyès....et...Comment dire...?Ilyès m'avait lâchement abandonner quelques années auparavant, et à ensuite fait comme si je n'existais pas.Je n'étais pas hyper heureuse de le revoir.Enfin si, mais pas de savoir qu'il était dans le même lycée que moi.Manquait plus ça.Mon ex meilleur ami qui m'avais laisser du jour au lendemain, que je ne "revoit pas" pendant 6 ans était ici à Miami....Quelle chance...Enfin, là n'était pas la question.J'étais hyper timide, et j'avais besoin de rencontrer du monde, surtout que je ne connaissais pas Miami et que j’espérais pouvoir rencontrer quelqu'un qui me ferais "visiter", même si dis comme ça, c'est ridicule.Bref, j'avais besoin de me socialiser un peu, et puis franchement, ça ne pouvait pas me faire de mal!

"Ces cours sont loin d’être une tare, au contraire, ils me sont très utile. Pour une fois je travaille réellement et je ne fais pas semblant. Il faut reconnaître que c’est bien plus intéressant de travailler en ta compagnie plutôt qu’avec monsieur Zvell, tu expliques mieux et n’y vois aucune flatterie masquée, c’est la vérité.

Je souriais de nouveau. Non franchement il fallait que j'arrête de sourire bêtement à toutes ses remarques. Qu'est-ce que j'avais moi?Bon ok, il était mignon, mais c'était pas une raison....Il fallait que je me reprenne, surtout qu'il allait finir par me prendre pour une idiote à force de me voir sourire comme une abrutie pour un rien.

-Je suis contente d'avoir pu aider en tout cas.Et contente que ce ne sois pas une corvée d'être avec moi....Pour les cours...!"

Il détourna le regard vers la fleur que je regardais à mon tour.Je ne l'avais même pas remercier...

"Merci beaucoup pour la rose...C'était vraiment gentil, en plus j'adore cette fleur, elle est magnifique!"

Je souris de nouveau, mais cette fois plus tendrement, c'était déjà moins bête.Il n'était pas obliger de m'offrir ça, surtout pour un retard aussi mince, et j'étais contente qu'il ai eu cette attention...

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Liberty & Orlando

❝ Work work and work ❞

Une lycéenne qui aimait donner de son temps aux autres. Jamais Orlando ne ferait ça et encore moins de son plein gré, il faudrait le forcer pour espérer obtenir quoique ce soit de sa part. Le problème ne se posait en réalité pas puisqu’Orlando était incapable d’aider les autres puisqu’il avait des lacunes dans toutes les matières, sauf l’italien évidemment. C’était la seule qu’il maîtrisait à la perfection puisque c’était sa langue natale après tout.

« Je n’avais pas pensé à l’aspect sociale de cet engagement, c’est vrai. Mais en choisissant de donner ton temps ainsi, tu peux étendre ton champ de relations et rencontrer des personnes avec lesquelles tu n’aurais jamais eu l’occasion de parler. »

Jamais l’Italien ne l’aurait rencontré dans d’autres situations. Depuis qu’il était ici, il l’avait aperçu une ou deux fois dans les couloirs peut-être mais pas plus. Ils ne devaient pas fréquenter les mêmes endroits, ni avoir les mêmes activités car en dehors du cadre du lycée, il ne l’avait jamais vu et les choses continueraient certainement ainsi.

Une fois le cours terminé, Orlando retournerait à sa petite vie et la jeune femme aussi, de toute façon, les choses s’étaient toujours déroulées ainsi, pourquoi perdre son temps à s’attacher à toutes les personnes que l’on croise si c’est pour les oublier au bout d’un certain temps ? Orlando choisissait toujours avec soin ses fréquentations, il ne fréquentait pas n’importe qui car il n’était pas un élève lambda comme la plupart des personnes qui fréquentaient ce lycée.

« Ces cours sont loin d’être une tare, au contraire, ils me sont très utile. Pour une fois je travaille réellement et je ne fais pas semblant. Il faut reconnaître que c’est bien plus intéressant de travailler en ta compagnie plutôt qu’avec monsieur Zvell, tu expliques mieux et n’y vois aucune flatterie masquée, c’est la vérité. »

Orlando n’était pas en train de draguer pour une fois, il voulait juste converser avec cette fille, sans arrières pensées contrairement au moment où il avait posé son regard sur elle la première fois. Peut-être qu’il s’était en réalité déjà lassé d’elle ? En tout cas, seule la curiosité permettait à l’Italien sur place et l’empêchait de ranger ses affaires pour partir, c’était la seule et unique chose qui le motivait à rester là.

Le regard de l’italien se posa sur la fleur qui était restée sur la table, légèrement rosée, il ne savait pas si elle lui plaisait, ni même si c’était son genre de fleur. Il fallait reconnaître que le Milanais ne connaissait pas grand-chose aux fleurs et que c’était surtout pour excuser son retard qu’il l’avait prise, sans aucune idée derrière la tête, une fois encore.

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Lily & Orlando

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J'avais réussi à terminer mes explications tranquillement.Ca s'annonçait bien finalement.Je pensais qu'il ferait parti des garçons qui ne s'intéresserait qu'as mes "beaux yeux", et qu'il n'en ferait qu'as sa tête, mais non, il m'avait laisser fini et semblait même comprendre mes explications.J'étais contente que ça se passe comme ça, et de l'avoir aider à mieux comprendre.

"Que dirais-tu de faire une petite pause ? Je ne suis pas vraiment habitué à travailler aussi longtemps, même si je suppose que j’ai une notion particulière de longtemps.

-En effet, on à pas la même notion, mais je vais pas trop d'en demander!Ca marche pour une pause!"

Après tout, une pause n'allait pas nous tuer, et puis "il l'avait mérité", même si ça ne faisait pas si longtemps que ça qu'on travaillait, j'étais contente qu'on ai pu bosser au moins.

"Alors, charmante Liberty, qu’est ce qui t’a poussé à vouloir aider les mauvais élèves dans mon genre ? Tu n’as pas d’autres activités plus intéressantes à faire par une si belle fin de journée ?"

"Charmante", ça raisonnait dans ma tête.Et voilà, on y était.Bon, peut être que je le jugeais trop vite, c'était peut être juste pour être....Poli, roh puis j'en sais rien, mais j'ai fais comme si je n'avais pas entendu ça.

"Et bien...Je viens d'arriver, j'ai pas de difficultés en cours, j'aime bien aider les autres...Alors je me suis inscrite.Ce n'est que deux fois par semaines, le reste du temps je peux profiter du beau temps de Miami....Et ça permet de connaître du monde au moins!"

C'est vrai.Je venais d'arriver, et je ne connaissais absolument personne, là au moins, ça me permettais de connaître quelques personnes, et peut être des gens sympa avec qui je m'entendrais bien.

"J'espère au moins que ces cours ne sont pas une tare pour toi.Ce serais bête que ce soit un supplice quand même!"Lui dis-je en riant.Mais personne n'aime vraiment ça, je le sais bien.

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Liberty & Orlando

❝ Work work and work ❞

Vouloir oublier son véritable prénom était quelque chose de bien particulier. Orlando était fier de ses prénoms, le premier ayant été choisi par sa mère tandis que le second était tout simplement celui de son père. Deux personnes pour n’en faire qu’une, deux prénoms qui le représentaient, mais il en était de même pour Liberty. Cadence sonnait comme un nom français à ses oreilles et il comprenait qu’une fille comme Liberty préfère oublier ce premier prénom qui lui allait légèrement moins bien que celui qu’elle utilisait actuellement.

En entendant le rire de la jeune femme, il ne put s’empêcher de lever les yeux et de la regarder, allant même jusqu’à esquisser un sourire. Oui, il la trouvait véritablement charmante. L’adolescente avait pour sa part le sourire facile et elle semblait être bien facilement de bonne humeur ce qui changeait des éternelles mines boudeuses et désagréables de certaines personnes du lycée.

L’Italien finit par quitter du regard la jeune blonde avant de se concentrer sur ses explications et sur les exercices qu’elle lui donnait. Se surprenant lui-même, il se mit immédiatement au travail et sans rechigner pour une fois et tout ce qu’il espérait, c’était que sa motivation n’allait pas s’envoler aussi vite qu’elle était arrivée. Au fil du temps, il commençait petit à petit à comprendre un peu mieux ce problème récurrent qu’était la trigonométrie, même si ce n’était pas quelque chose de forcément acquis à la perfection.

« J’ai l’impression de comprendre beaucoup mieux. Si on m’avait dit qu’un jour je pourrai m’en sortir avec ça, jamais je ne l’aurai cru. »

Le Pi Sigma était sincère, autant durant les cours il ne faisait aucun effort, trop occupé à penser à autre chose ou à être absent tout simplement, autant là, il s’était donné la peine de travailler, sauf que comme il le craignait, sa motivation venait de s’envoler purement et simplement, aussi vite qu’elle était arrivée. Depuis combien de temps était-il assis sur cette chaise, vingt minutes ? Une demi-heure ? A moins que cela ne fasse trois quarts d’heure. Moins d’une heure en tout cas c’était certain et pourtant, il s’était déjà lassé de travailler, tout ce qui l’intéressait à présent, c’était d’en savoir un peu plus sur sa charmante enseignante bénévole.

« Que dirais-tu de faire une petite pause ? Je ne suis pas vraiment habitué à travailler aussi longtemps, même si je suppose que j’ai une notion particulière de longtemps. »

Longtemps pour lui représentait généralement un laps de temps très cours et l’Italien ne comprenait pas comment certaines personnes pouvaient rester là, à plancher sur ce type d’exercices durant des heures et des heures. Cela devait être d’un ennui mortel à la longue…

« Alors, charmante Liberty, qu’est ce qui t’a poussé à vouloir aider les mauvais élèves dans mon genre ? Tu n’as pas d’autres activités plus intéressantes à faire par une si belle fin de journée ? »

Le temps à Miami était presque toujours radieux, même quand il pleuvait et aujourd’hui encore, Orlando se demandait comment il avait réussi à tenir aussi longtemps, enfermé dans cette pièce où bon nombres d’élèves allaient et venaient pour travailler dans un silence presque religieux par moment.

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Lily & Orlando

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"Liberty… je n’ai jamais compris cette envie qui pousse une partie des américains à nommer leurs enfant à partir d’un idéal ou d’une fleur par exemple. Rose, Heaven, Hope ou même le tien, Liberty. Cependant, je dois reconnaître que ce prénom te va à ravir.

Sa remarque me fit rire.Il n'avait pas tord, c'était la mode de ce genre de prénom à l'époque.Et ça recommençait maintenant d'ailleurs.J'aimais bien ce prénom, en tout cas je le préférais au vrai. J’hésitais un instant, et fini par avouer;

-Tu sais quoi?En réalité je m'appelle Cadence Liberty Thilsy....Tu comprends pourquoi j'ai préféré garder Liberty!Plus personne ne m'appelle Cadence depuis des années!Je fini presque par oublier mon véritable prénom!" Dis-je en riant.

Pourquoi je lui disais ça?Il n'en avait sûrement rien à faire, mais tant pis, c'était dis maintenant!Impossible de revenir en arrière maintenant!Il sortit la totalité de ses affaires, et ouvrit à son tour ses cahiers sans même me regarder. Qu'avait-il?Il n'osait même pas me regarder?L'important c'était qu'il se concentre, peu importe de quelle manière.Je n'y prêtais donc pas attention.

"Tout ce qui concerne la trigonométrie je crois. Je n’ai jamais rien compris au cercle trigonométrique ainsi qu’aux valeurs remarquables."

La trigo posait problème à beaucoup de gens, c'est vrai, mais je me sentais à l'aise avec ça.Je ne sais pas pourquoi, je n'ai jamais eu de mal avec ça.Tant mieux d'ailleurs, je me voyais mal lui avouer que je ne pouvais pas l'aider!

"Tu as des exercices à me conseiller en particulier ? Des conseils à me donner pour mieux comprendre certains points ? En tous les cas, je suis tout ouïe, mademoiselle Liberty.

Je lui souriais à nouveau. Qu'est-ce que j'avais à sourire comme ça?Aussi bêtement et aussi facilement?Je mordis légèrement ma lèvre regardant mes cahier afin d'effacer ce sourire, puis chose faite, je le regardais de nouveau, posant mon livre face à lui, lui présentant un ou deux exercice, tout en commençant mes explications.

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Liberty & Orlando

❝ Work work and work ❞

L’Italien ne s’était pas trompé et il avait bien fait de ne pas venir les mains vides. Il avait même réussi à récolter un sourire au lieu d’avoir tout simplement un bonjour peut-être sec et plutôt maussade d’une jeune fille irritée par un retard imprévu. Lorsque la jeune femme prit la peine de lui donner son nom, Orlando la maudit presque. Si se concentrer était déjà difficile, il se rendit compte que la voix de la jeune femme était très agréable mais nettement moins que son prénom.

« Liberty… je n’ai jamais compris cette envie qui pousse une partie des américains à nommer leurs enfant à partir d’un idéal ou d’une fleur par exemple. Rose, Heaven, Hope ou même le tien, Liberty. Cependant, je dois reconnaître que ce prénom te va à ravir. »

Le regard du Pi Sigma était posé sur le doux visage de la Rho Kappa et pourtant, il ne continua pas à parler d’elle. S’il continuait sur cette voie-là, il allait faire absolument tout sauf travailler et ce n’était vraiment pas conseiller pour lui, bien au contraire. L’élève de Senior C eut une pensée pour son prof de mathématiques, Monsieur Zvell en le maudissant plus que tout pour lui avoir infligé cette torture. Il aurait tellement préféré faire autre chose avec cette fille, passer son temps à l’extérieur, l’emmener où elle voulait tout simplement, en somme, faire tout sauf travailler. Chassant ses pensées contre-productives de son esprit, il sortit un stylo de sa trousse et réfléchit un moment. Quels chapitres avait-il besoin de revoir ? Tous serait bien inutile comme réponse, c’est pour cela qu’il prit le temps de réfléchir avant de formuler sa réponse.

« Tout ce qui concerne la trigonométrie je crois. Je n’ai jamais rien compris au cercle trigonométrique ainsi qu’aux valeurs remarquables. »

La trigonométrie était quelque chose de follement inutile et était tout simplement horrible. Lorsque les lettres se mélangeaient aux chiffres, Orlando décrochait complètement et il ne faisait à partir de ce moment-là plus aucun effort pour comprendre. Choisissant de commencer par ce problème récalcitrant, il nota le titre du chapitre sur son cahier, de son écriture fine et soignée, sans relever les yeux vers la sportive. Il savait que si jamais il le faisait, ses bonnes résolutions allaient s’envoler en fumée et que ce n’était absolument pas conseillé.

« Tu as des exercices à me conseiller en particulier ? Des conseils à me donner pour mieux comprendre certains points ? En tous les cas, je suis tout ouïe, mademoiselle Liberty. »

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Lily & Orlando

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J'attendais, assise à cette table, depuis une dizaine de minutes déjà.Une dizaine de minutes ou il était en retard.J'avais déjà la pensée que si, ce serait bien un je-m'en-foutiste. Bon, il fallait faire avec, il fallait que je fasse mon cours malgré tout.Un garçon arriva enfin à ma hauteur, me tendant une rose.Gentille attention, ça excusait presque son retard, malgré le fait qu'il ne soit pas si long que ça.

"Je suis vraiment navré du retard, je n’avais pas vu l’heure. Du coup c’est pour toi, pour m’excuser, même si cette rose est bien dérisoire et ne pourra certainement pas suffire pour m’aider à me racheter."

Je ne m'attendais pas du tout à ça, si bien que j'esquissais un sourire avant de prendre la rose.Je la regardais quelques secondes avant de la poser délicatement à côté de moi.Pendant ce temps, le jeune homme devant moi sorti ses affaires.Bon bah ça va, au moins il se mettait au boulot de lui même.Je regardais le garçon, il n'avait pas l'air de se prendre la tête, une bonne chose.

"Je m'appelle Liberty au fait! Liberty Thilsy..."

Je connaissais son nom, la moindre des choses c'est qu'il connaisse le mien après tout.Après quoi j'ouvris mes cahiers et mes livres avant de lui sourire légèrement.

"Alors, par quoi on commence?"

Demandais-je alors.Après tout, c'est lui qui avait des difficultés apparemment, donc seul lui pouvait savoir ce qui lui posait problème!

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Liberty & Orlando

❝ Work work and work ❞

Aujourd’hui était un jour de semaine et qui dit jour de semaine dit jour de cours par la même occasion. Pour la première fois depuis le début de l’année, le Pi Sigma s’était décidé à aller à un des cours particulier que les enseignants lui conseillant tant et presque à genoux parfois. L’Italien n’était pas bête, il n’était pas forcément mauvais en cours non plus mais c’est juste qu’après un manque cruel d’assiduité et d’attention en cours, il avait par décrocher. Etant d’un naturel plutôt feignant, il ne faisait strictement aucun effort pour remonter ses notes et retrouver son niveau d’antan, préférant s’enfoncer de plus en plus dans la médiocrité.

Cependant, la menace de son père flottait toujours dans une partie de son esprit et ce jour-là, il s’était enfin décidé à travailler. Bon, ce serait certes la première heure depuis de nombreuses années où il avait réellement prévu de travailler, sauf que l’Italien avait bien du mal à tenir ce genre de résolution, sans compter le fait qu’il allait en plus arriver en retard puisqu’il venait de se lever et que son rendez-vous était dans … 20 minutes. Avec toute la bonne volonté du monde, il aurait pu arriver à l’heure mais cela voulait également dire se presser et peut-être même courir et ce n’était même pas la peine d’y penser.

L’Italien se prépara tout de même relativement vite, préférant cette fois ci une tenue plus désinvolte et sans faire dans son excès de soin habituel. Cette fois ci, il allait s’habiller de manière plutôt simple sans pour autant être négligé. Il enfila un haut uni gris avec des quarts de manches retroussés, un jean délavé et des sortes de Dr Martens en cuir marron. Plutôt satisfait de sa tenue, sans pour autant en être particulièrement emballé, il attrapa son sac de cours dans lequel il jeta un cahier et une trousse avant de sortir de sa chambre.

Le temps de se rendre à la bibliothèque, l’Italien allait avoir une dizaine de minutes de retard, ce qui n’était tout de même pas très correct pour une pauvre fille qui avait décidé de l’aider. En descendant dans les couloirs de sa confrérie, l’Italien croisa dans le hall un de ses frères de confrérie qui avait un bouquet de fleurs en main. Une idée traversa immédiatement l’esprit du grand brun et ce dernier se dirigea vers l’homme au bouquet de roses pour lui en demander une, ou plutôt lui en acheter une car la plus belle des roses fut échangée contre un billet. Décidément, certains semblaient avoir du mal avec le terme de Fraternité car ils n’hésitaient pas à extorquer de l’argent pour un oui ou pour un non.

Son maigre présent en main, l’Italien se dirigea vers la bibliothèque. Il poussa la porte de cette dernière en douceur, avant d’entrer, cherchant du regard la personne qui était sensée l’aider. Espérant que la jeune femme à la chevelure blonde installée seule à une table était bien celle qui l’attendait, il se dirigea vers elle avant de lui tendre la rose.

« Je suis vraiment navré du retard, je n’avais pas vu l’heure. Du coup c’est pour toi, pour m’excuser, même si cette rose est bien dérisoire et ne pourra certainement pas suffire pour m’aider à me racheter. »

Il s’installa en silence face à la jeune femme, sortant ses affaires pour travailler. Le prof ne l’aidait nullement avec ce choix, pourquoi lui avait-il envoyé une fille aussi belle pour l’aider à rattraper son retard ? Comment l’Italien pouvait-il penser un seul instant aux études alors que face à lui se tenait fièrement assise cette charmante blonde ? Orlando se trouvait à présent avec deux missions, réussir à se concentrer sur ses cours et surtout, ne pas se ridiculiser devant cette fille.

Invité

Lily & Orlando

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Je m'étais levée tôt ce matin, motivée plus que jamais, et prête à passer aux choses sérieuses.Je n'ai jamais eu de difficultés pour les cours, c'est pourquoi la veille, je m'étais inscrite en tutorat, pour aider des élèves en difficultés.Des genres de cours particuliers quoi!Je m'étais inscrite en Math, Français et Histoire/Géo.Les trois matière ou j'excellais vraiment.Ce matin là il faisait beau, très beau pour un mois de février, et pas très froid.De plus, je ne suis pas frileuse, donc j'en avait profiter pour mettre mon short, mes ballerines, une petit haut et un gilet, et j'ai filé en cours.Je traversais les couloirs, me fondant totalement dans la masse, et ça m'allais parfaitement.Là, un professeur m'interpella. Mr Zvell, le prof de science. Il me demanda alors de faire un cour particulier pour un de ses élèves, Orlando Vetràio. J'ai accepter sans problème, après tout, je m'en était engagée la veille, alors pourquoi dire non?Ma journée de cours fut d'un banal....Mais bon, je ne m'attendais pas à ce qu'ici ce soit plus extraordinaire qu'as New York non plus. Bref, cette journée étant terminée, je me suis dirigée calmement vers la bibliothèque, ou j'avais rendez vous avec l'élève en question pour le cours.J'avais pris mes cours avec moi, mon livres et mes anciens cahier.Je suis arrivée à la bibliothèque, il n'avait personne, ou presque, juste une jeune fille de mon âge ou un peu plus jeune peut être.Donc pas d'Orlando....J'ai salué la bibliothécaire avant de m'asseoir à une table visible depuis l'entrée, y ai installé mes affaires, et j'ai attendu, guettant l'entrée.J 'espérais juste que ce cour serait ne serais-ce qu'un peu sérieux, et que je n'allais pas tomber sur un je m'en foutiste de première qui me dirais que je perds mon temps et qu'il ne veut pas y mettre du sien....