[ABANDONNÉ] Une arrivée qui ne satisfait pas tout le monde. [PV. Charlott Waldorf]

Invité

{ CLOS }

Invité

C'en était trop, beaucoup trop pour Charlott. Que son demi frère vienne lui faire un petit coucou dans sa suite soit. Qu'il décide d'y passer une journée, soit. Mais qu'il y reste pour quelques jours et.. omg.. qu'il utilise sa salle de bain ? Ca non ! Ca il était hors de question ! Charlott ne connaissait que trop bien la notion d'hygiène de son demi frère. Alexander était le de stéréotype du joueur de foot US canon mais pas très clean. Alors, autant vous dire que la brunette avait de quoi se mefier. L'idée seulement de penser Alex dans sa douche la frustrait beaucoup. Et pas seulement parce qu'il risquait de la salir.

Alors la jeune héritière en hurlant avait courut pour empêcher le jeune homme de passer la porte. Mais forcément, c'était ridicule. Elle faisait cinquantes kilos, elle était menue et fluette. Il devait en peser quatre vingts, que du muscle et de la force à l'état brut. Bref, le combat ne fut pas très égal et rapidement le jeune lycéen repoussa la jeune Charlott et commença à se déshabiller.

Charlott tourna la tête aussitôt, rougissant stupidement comme une pivoine. Une sorte de boule de bile se forma dans sa gorge lui donnant subitement une nausée. Verte de rage, la brunette tapa du pied et se tourna vers la porte. Il était HORS DE QUESTION qu'elle regarde Alexander se laver. Même si la vue n'était sûrement pas déplaisante ce n'était pas SAIN. C'était son DEMI-FRERE. Il était de sa FAMILLE. La jeune brune rageait :

- J'en reviens pas.. putain de .. Alexander je te jure que je vais te pourrir la vie.

Et sur ces mots la brunette embraya le pas pour se casser. Il fallait qu'elle sorte de la salle de bain. Et elle ne devait pas se retourner. Ne surtout pas se retourner. C'était dangereux de se retourner. De toute façon, elle n'avait absolument aucune raison de se retourner hein. Franchement.

- Et arrête de fantasmer Alex, plutôt crever que prendre ma douche avec toi.

Et sur ce elle passa la porte. Elle prendrait sa douche plus tard. Il avait gagné la première bataille.

Invité

Si on revient au début de cette histoire, Alexander n’avait jamais désiré venir dans cette luxueuse suite avec sa demi-sœur adorée. Il en avait été contraint et ne comptait pas être le seul à subir cela. Il était donc EVIDENT qu’il allait tout faire pour mettre en rogne sa demi-sœur, repartir d’où il était arrivé et basta. Même si, il est vrai qu’il prenait un malin plaisir à jouer avec les nerfs de Charlott.

Il marchait alors jusqu’à la salle de bain comme il marcherait sur plage, avec son air légèrement supérieur, dragueur et sûr de lui. Un sourire vicieux fit même son apparition sur ses lèvres lorsqu’elle se pointa juste devant lui, les mains sur ses épaules pour le forcer à reculer. C’était une situation bien comique car à côté du jeune homme, elle avait une force de moineau. On pourrait d’ailleurs penser que sa force s’était enfouit autre part. Dans sa voix, par exemple…

- Alors là c'est HORS DE QUESTION ! Primo je suis rentrée justement pour me laver, et de toute manière il est hors de question que tu mettes un seul de tes pieds dans ma.. ALEX TU SORS DE MA SALLE DE BAIN.

Exaspéré, le jeune Loyd soupira en haussant les sourcils. La salle de bain était immense, la douche aussi et le bain, j’vous laisse imaginer … Il y avait donc largement de place pour deux. Ainsi, Alexander descendit sa braguette et laissa son jean glisser à ses pieds. Il repoussa les mains de la minette un instant, retira ses chaussettes.

- Tu vois, ce qu’il y a de bien dans ce genre de suite…

Il frôla le visage de Charlott et remit une de ses mèches en place avant de passer juste à côté d’elle. Ses mains jouaient avec l’élastique de son caleçon et il abordait un sourire quelque peu satisfait.

- … C’est qu’il y a largement de la place pour deux dans la douche.

Sur ses mots, il retira son caleçon face à Charlott, puis s’approcha du lavabo pour faire couler l’eau chaude. De ce fait, elle n’avait plus vue que sur ses délicieuses fesses.

Invité

Nan mais fallait arrêter le délire hein aussi ! Bon d'accord, Charlott n'était une sainte, gentille, douce, docile.. Mais c'était pas un monstre non plus. Elle hurlait seulement dans les cas de force majeur. Genre force rouge. Non carrément écarlate ! Carmin même ! Bordeau ! Noire ! VOILA ! FORCE NOIRE ! Et là, c'était force noir. Donc, là, elle gueulait. Normal. En même temps c'était pas comme si son demi frère qu'elle ne supportait pas venait s'installer chez elle pour se souler et se droguer et accessoirement la faire chier aussi. Encore il le ferait pas exprès. Mais là Charlott en était persuadée, Alexander faisait tout pour qu'elle sorte de ses gonds. Et le pire.. Bah le pire c'est que ça marchait carrément !

Elle était folle de rage, complétement hors d'elle même et au lieu de calmer le jeu, Alex ne faisait que rajouter de l'huile sur le feu. La jeune fille l'écoute lui dire de se calmer avec ironie parce qu'il n'était que de passage. Pour le coup la jeune fille faillit, je dis bien faillit, être soulagée. La brunette inspira pour ne pas mourir par manque d'oxygen et finalement demanda :

- Attend une minute. Tu es de passage. Ça veut dire quoi de passage exactement ?

Puis avant qu'elle ait le temps de dire qu'il était hors de question qu'il reste ici plus de .. cinq minutes, il commença a enlever sa ceinture, ouvrir sa bringuette. Charlott ouvrit les yeux ronds comme des billes et recula, des vilains souvenirs la hantant. Elle se reprit rapidement lorsqu'il alla vers la salle de bain tout en se deshabillant devant elle. Sur le coup la jeune fille était soulagée qu'il se deshabillait pour la douche. PARDON ? SA DOUCHE ?

- Alors là c'est HORS DE QUESTION ! Primo je suis rentrée justement pour me laver, et de toute manière il est hors de question que tu mettes un seul de tes pieds dans ma.. ALEX TU SORS DE MA SALLE DE BAIN !

La jeune fille n'hesita pas une seconde et rentra dans la salle de bain qui était immense. Elle se plaça face à lui et posa ses deux mains sur les épaules du blond pour le forcer à reculer. Bien sûr la frêle danseuse contre le joueur de foot US n'avait pas vraiment de chance mais elle était CHEZ ELLE. Alors soit il se cassait.. soit.. IL SE CASSAIT !

Invité

Cette fille respirait la joie de vivre, n’est-ce pas ? Elle rayonnait et était pleine de vie. Elle donnait vraiment envie quand elle se mettait dans tous ses états. Ses joues rougies par l’énervement, ses muscles tendus. Alexander était né pour la faire chier et sincèrement, il y prenait un malin plaisir. Et quand elle se mit à crier … Il se retint de rire, malgré cette envie brûlante de lui éclater à la figure. Elle lui arracha le joint des mains, ce qui évidemment le fit sourire encore plus. Il se leva, tendit ses bras au-dessus de sa tête et s’étira si fort que l’on entendit ses os craquer un instant. Il la regarda s’agiter dans tous les sens, elle semblait complètement hors d’elle. Et en y réfléchissant bien, il ne l’avait jamais vu dans cette attitude. Oh bien sûr, les coups de gueule il connaissait. Mais ça faisait un bout de temps qu’ils ne s’étaient pas retrouvés face à face et il en avait presque oublié sa douce voix quand elle hurlait.

- Même si tu étais sagement assis à LIRE un livre avec CLASSE je ne serais PAS heureuse de te revoir Alex ! Pourquoi tu es LA ?

Tant d’émotion en un instant si court, ça en fut plus que le jeune homme l’aurait imaginé. Il laissa ses affaires en plan : Ses chaussures, sa veste, son sac de voyage et le cadavre de sa bière. Il s’avança d’un pas sûr de lui, violent mais calme à la fois et se pointa devant sa charmante demi-sœur. Il glissa une main sur sa joue qu’elle s’empressa de dégager. Leur visage était si proche qu’Alexander pouvait sentir son souffle haletant suite à ses hurlements sans précédent.

- Ne te met pas dans tous tes états pour moi, chérie. Je n’suis que de passage.

Et sur ses mots, il déboucla sa ceinture, ouvrit sa braguette en se reculant légèrement d’elle. Il esquissa un sourire avant de se retourner et d’avancer vers la salle de bain tout en ayant au préalablement retiré son tee-shirt qu’il déposa sur le dossier d’une chaise. Il avait bien remarqué que la jeune brunette rentrait justement pour se laver, et c’est là tout l’intérêt d’y aller avant elle.

- Maintenant, si tu n’y vois pas d’inconvénient, je vais me doucher.

Invité

Un hoquet de surprise venait de déchirer la jeune héritière. Son appartement était dans un état impossible. Ca sentait la beuh tellement fort que Charlott eut instantanément l'impression d'être droguée elle même. Il y avait des fringues qui trainaient partout : des chaussures sales sur sa moquettes à côté de son lit, des habits éparpillés dans la salle et pire.. pire que ton. Son affreux demi frère qui était allongé dans le canapé, un joint à la main, de l'alcool dans l'autre et les pieds sur sa table basse en verre. La brunette n'était pas loin de se mettre à vomir. Vraiment pas loin. Elle inspira un grand coup -par la bouche- pour se donner du courage, et surtout du souffle pour hurler sur Alexander. Si hurla si fort que finalement le souffle lui manqua et elle fut obligée de respirer par le nez, sentir l'odeur immonde et finalement être encore plus furieuse.

Et le pire ? Le pire dans tout ça ? C'était que son demi frère abordait un sourire amusé, serein et lui disait qu'il était également heureux de te revoir comme si elle venait de lui sauter au cou en pleurant parce qu'elle était tellement contente de le revoir. La grande, grande blague. Et bien sur la brunette était d'autant plus furieuse. La jeune fille attrapa le joint du jeune homme avec fluidité et rapidité pour ouvrir une fenêtre, l'y jeter et les laisser ouverte afin d’aérer et de faire évacuer l'odeur immonde. Elle n'était pas loin de faire pareil avec les chaussures et la veste de son demi frère. Et avec son demi frère tout court enfaite ! Elle se maintint. De toute façon elle savait qu'elle était loin d'être de taille physiquement contre le footballeur américain.

- Même si tu étais sagement assit à LIRE un livre avec CLASSE je ne serais PAS heureuse de te revoir Alex ! Pourquoi tu es LA ?

Quoi que Charlott en doutait, elle n'était même pas sure que son demi frère sache lire ! Elle était furieuse, criait. Elle avait le visage en feu et mourrait d'envie que son demi frère dégage le plancher au plus vite. Elle avait l'intention de prendre un douche tranquillement et voila quel énergumène elle devait supporter. A cette idée la jeune fille ferma d'un coup son cache cœur sur sa poitrine. Elle était mal barrée.

Invité

Il resta un instant posé dans ce délicieux canapé avec son joint entre les doigts, la tête appuyée contre le dossier et le regard fixé au plafond. Ce court instant lui sembla cependant bien long et pour une fois, son joint également. Il se redressa d’une traite ayant soudainement remarqué que son entrée n’était pas assez envahissante pour avoir un effet de rage en ce qui concerne la jolie Waldorf. C’est donc d’un pas décidé qu’il se dirigea vers le frigo. Il se stoppa un instant, la porte grande ouverte et soupira. Le frigo était certes rempli, mais aucune boisson alcoolisée n’y était présente, au grand désespoir d’Alexander. Il ne lui restait plus qu’une chose à faire, n’est-ce pas, commandé quelque chose. C’est toujours avec son joint entre les doigts, qu’il continua de fumer, qu’il téléphona à l’accueil et se commanda une belle bouteille de champagne (pour faire classe, bien sûr. Il faut fêter sa venue). Et il en profita pour faire monter des fraises.

- Ce n’est nullement la saison des fraises, Mr.
- C’est une bonne raison pour que vous m’en rapportiez deux barquettes de plus que celle de je désirais.
- Mais Mr…
- Mademoiselle Waldorf risque d’être très agacée si les fraises ne sont pas livrées avant son retour et, ôtez-moi d’un doute, vous ne désirez certainement pas être viré pour une chose aussi stupide ?
- Non Mr.
- Alors qu’est-ce que vous attendez !
- Bien Mr. Tout de suite, Mr.

En réalité, Charlott ignorait la présence de son demi-frère dans sa suite, et ne supporterait sans doute pas de le voir fumer, boire et manger sur son beau canapé en cuir. Cela amusait particulièrement Alexander. Il aimait quand elle se transformait en furie (Non parce que, quand cette jeune Waldorf s’énerve, ça vaut vraiment le coup d’œil). Il attendit donc les fraises qu’il avait exigées et quand elles furent entre ses mains, il se recala sur le canapé en fumant toujours son joint.
Alexander entendit les portes s’ouvrirent et il ne put s’empêcher de réprimer un sourire sadique. Charlott débarqua sans crier gare dans le salon et se mit à hurler telle une furie (je l’avais bien dit).

- Mais seigneur, QU'EST CE QUE TU FOUS LA ALEXANDER ?!?!!? Que font tes affaires ignobles chez moi ? Comment oses-tu fumer cette merde dans MA suite !?!?!!!?

Quel plaisir de retrouver son agréable demi-sœur. Alexander se redressa, tira une dernière taffe sur son joint et l’écrasa dans le bol qui se situait sur la table basse.

- Je suis également ravi de te revoir, Charlott. Dit-il calmement.

Invité

Les cours se terminaient avec avance aujourd'hui puisque le prof de littérature française de la jeune Charlott était absent. C'était parfait selon la blondinette qui mourrait d'envie d'aller envahir le gymnase et danser un peu. Elle s'entraîner souvent aux cheerleading mais elle n'avait plus beaucoup de temps pour danser et cette heure de libre était une véritable bénédiction pour la blondinette.

Au gymnase, la jeune fille se détendît en répétant le ballet du lac des signes qu'elle appréciait tant. C'était forcément agréable de faire ce qu'on aimait mais pour le coup la jeune fille était totalement aux anges si bien qu'elle passa deux heures plutôt qu'une. Sa peau luisait doucement de sueur et la jeune fille décida qu'il était temps de rejoindre une bonne douche. Elle récupéra son cd et rejoignit les vestiaires ou elle croisa un Pi Sigma ami de Dunstan :

- Y'a plus d'eau chaude princesse, laisse tomber !
- C'est une blague ?

Demanda la blondinette. Le jeune footballeur américain haussa les épaules et la jeune fille soupira. C'était pas croyable. Puis la jeune fille s'y fit. De toute façon elle serait bien mieux dans son bain. La jeune fille enfila donc son trench noir au dessus de ses habits de danse ( a savoir un débarquer noir moulant, un short aux mêmes caractéristiques, des collants roses et des guêtres grises. Elle retira ses pointes pour enfiler une paire de ballerine et rassembla ses affaires.

Trouver un taxi a Miami était d'une facilité déconcertante quand on avait vécu à New York si bien que la jeune fille fut rapidement chez elle. Elle rentra par la grande entrée de l'hotel et salua Gabril, le gardien qui lui apprit qu'un jeune homme l'attendait. La jeune blonde fronça les sourcils.. Ah sûrement Duncan qui venait lui faire un coucou. Tant mieux, elle avait envie de voir son ami. La blonde s'engouffra dans l'ascenseur et enleva a son trench avant de défaire son chignon.

A peine les portes étaient elles ouvertes que Cha se rendit compte que quelque chose clochait. Ça sentait la.. Oh my god mais ça sentait la beuh chez elle ? Jamais Duncan ne lui aurait fait ça ! Ça ne pouvait pas être lui. La jeune fille entra furieuse dans sa suite pour y découvrir un bordel monstre (sisi) et son imbécile de demi frère affalé dans le canapé entrain de fumer un énorme joint. Cha faillit s'étrangler de colère :

- Mais seigneur, QU'EST CE QUE TU FOUS LA ALEXANDER ?!?!!?

Elle avait hurlé. De toutes ses forces. Et elle en rajouta :

- Que font tes affaires ignobles chez moi ? Comment oses tu fumer cette merde dans MA suite !?!?!!!?

Invité

La décision était prise. Alexander irait vivre aux côtés de Charlott dans sa suite à Miami. Son père ne pourrait supporter d’avantage de connerie de la part de son unique fils et avait donc contraint ce dernier à rejoindre sa demi-sœur qui n’était bien sûr pas au courant de sa venue (sinon ce n’est pas drôle). Alexander prit donc l’avion en destination de Miami aux environs de 15h. Sa valise n’était guère grande, il n’était pas du genre à s’encombrer de chose puérile et inutile comme le ferait Charlott. Il prenait le strict minimum et cela lui convenait parfaitement. Enfin bref, installé près du hublot, le trajet passa relativement vite et il arrive à destination vers 16h. L’hôtel Waldorf était facilement repérable. Il se situait dans le centre-ville et il était impossible de louper l’enseigne « Hôtel Waldorf ».

Le taxi s’arrêta donc à l’entrée de celui-ci. Alexander descendit du taxi en remettant ses lunettes telle une star de cinéma, pris sa valise et s’avança jusqu’à l’entrée. L’accueil était grand (ce qui ne l’étonnamment absolument pas). Il retira avec élégance ses lunettes et s’accouda donc sur l’accueil avant d’indiquer que son père l’avait envoyé ici et qu’il logerait dans la suite de Mademoiselle Waldorf. On lui demanda bien évidemment une signature et tout le blabla, puis on lui passa les clefs et lui indiqua que la suite se situait au dernier étage de l’hôtel. La vue ne pouvait qu’être magnifique, et il se ferait un plaisir d’en profiter un maximum. D’ailleurs … Ce n’est pas la seule vue dont il profiterait. Il prit l’ascenseur n’étant pas assez fou pour tout monter à pieds, appuya sur le bouton « dernier étage » et passa sa main dans ses cheveux en face de l’énorme miroir. Il ouvrit la porte et s’arrêta un instant. La décoration était typique de Charlott. C’est comme si elle était déjà dans la suite. Son parfum étouffa tout autre odeur et vint se glisser dans les narines d’Alex qui poussa un léger soupire. Il referma derrière lui, laisse sa valise près de la porte et fit rapidement un tour de la suite. Mais la seule véritable chose qui l’attira, c’est le canapé en cuir et cette énorme télé. C’est donc avec hâte qu’il se délaissa de son manteau qui atterrit sur le dossier d’une chaise, qu’il se jeta sur le canapé, s’empressa de retirer ses chaussures qu’il laisse bien sûr trainer. Puis il croisa les jambes sur la table, alluma la télé et sortis de sa poche une petite boîte. Dans cette petite boîte se trouve toute la richesse de ses bagages. C’est sans la seule chose qui a de la valeur dans ce qu’il a amené à Miami (à l’exception de deux ou trois bricoles qu’il cache précieusement dans sa valise). Il sortit donc du tabac (et pas que ça, n’est-ce pas) et se fit une jolie roulée qu’il porta à sa bouche afin de l’allumer.