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 Friendship never end when it beggin |pv. Jon

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MessageSujet: Re: Friendship never end when it beggin |pv. Jon   Friendship never end when it beggin |pv. Jon EmptyMer 20 Mar 2013 - 21:54

    Au plus le temps avançait, au plus la relation était .. étrange. Bizarre. Bientôt Charlott aurait préféré qu'ils se prennent la tête sévère comme il y a quelques jours voir même quelques heures. Là c'était gênant. Des silences lourds et quand ils parlaient ils savait a peine quoi dire. Ca rappelait vaguement a Charlott le rencart d'une fille et d'un gars qui s'étaient rencontré sur le net qu'elle avait vu en zappant sur une émission de télé réalité un peu naze. Bref, la jeune fille était pas à l'aise du tout. D'autant plus quand il se moqua d'elle. La jeune brune se fit agacée, boudeuse, tandis qu'elle essayait vaguement de s’intéresser à la vie du jeune homme.

    Non mais sérieux comment voulait il qu'ils puissent avoir une discussion normalement remplie en répondant comme ça a toutes les questions. Vague, mystérieux, genre beau brun ténébreux. Si ça pouvait vaguement le faire au début là Chachou commençait un peu a voir rouge. Elle leva les yeux au ciel. Mais que répondre à ça ? Rien. Y'avait rien à dire. Elle allait pas non plus poser toutes les questions hein. Elle était pas d'la police et elle menait pas un interrogatoire. Quoi qu'elle revait de le faire un jour. Mais passons.

    Heureusement, les plats vinrent les sauver. Enfin.. les sauver.. C'était un bien grand mot pour dire "les occuper". Chacun le nez dans son assiette, les deux adolescents mangeaient en silence sans même faire attention à l'autre. C'était super bon, Charlott devait l'avouer. Ce n'était pas gras, bien cuit, assaisonné et le thé à la pêche maison était absolument parfait. Charlott se régalait mais mourrait de chaud dans ce restau si bien qu'elle retira sa veste pour être en débardeur blanc cassé. Finalement, une fois rassassiée la jeune fille qui n'avait pas terminé son assiette proposa :

    - Ca te dit qu'on prenne les dessert a emporter ? J'étouffe ici, j'ai envie de sortir.

    Pour une fois Miss Waldorf n'avait pas parlé en ordre mais en proposition ce qui était un grand effort pour la jeune fille capricieuse. Néanmoins, elle osait esperer que le brun accederait à sa requete. En attendant elle jouait avec le reste de ses frites dont elle ne voulait plus en les rangeant dans son assiette par ordre de taille..
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MessageSujet: Re: Friendship never end when it beggin |pv. Jon   Friendship never end when it beggin |pv. Jon EmptyLun 21 Jan 2013 - 20:49





La jeune serveuse repartait donc et le jeune homme repensait encore à ce que la jeune femme venait de demander. « Te moque pas... » lui avait-elle dit une fois que la blonde qui avait interrompu les deux jeunes fut partie. Ne pas se moquer ? Comment aurait-il pu ? Ce restaurant ressemblait alors tant que ça à un vulgaire Fast Food où les gens trop enrobés venaient s’empiffrer quand ils n'avaient rien à manger chez eux dans leurs frigos. Eh bien non, ici il y avait des couverts et tout ce qu'il fallait pour manger comme ça se devait ans un restaurant le plus luxueux qu'on aurait pu imaginer. La jeune fille avait décidément du mal à passer au dessus de tous ses clichés sur le jeune homme malgré tous ses efforts qu'elle fournissait. Il le voyait, malgré tout, mais il aurait préféré qu'elle cesse de penser qu'il était un paysan qui sortait de sa campagne. En fait, c'était pour cette raison qu'il l'avait emmené ici, il n'avait pas voulu l'emmener dans un de ces restaurants de luxe qu'elle pouvait voir partout, ici, c'était un endroit spécial, un endroit unique en quelque sorte et il n'avait même pas réfléchit avant de se lancer dans sa direction.

La question de la jeune fille perturba quelque peu le jeune homme. Il raccrochait alors son regard muni de la petite étincelle qui l'animait à celui de la jeune femme en face de lui. En fait, ça n'avait pas de quoi le mettre dans tous ces états, la réponse était simple : Oui c'était lui qui l'y emmenait, quand il n'était pas pris par son travail, c'est-à-dire très rarement, et encore plus rarement parce que c'était quand ils venaient en vacances à Miami, c'est-à-dire, peut-être une fois tous les deux ans, tout au plus. Sa mère, quand ils y allaient, redevenait comme une petite fille mais les souvenirs de ces périodes avec ses parents étaient trop vagues, c'était les années avant ses six ans donc ça remontait un petit peu quand même. Il répondait donc alors : « Oui... Oui, en quelques sortes. Il me l'a fait découvrir... En fait, dès qu'on venait à Miami, on venait ici... C'est là que mes parents se rencontrés... » Et les phrases défilaient et partaient comme ça, il ne savait même pas pourquoi il en disant autant sur lui. C'était bizarre, lui qui avait en horreur le fait de donner des détails sur lui. C'était sûrement cet endroit qui le rendait si bizarre et si loin de son caractère usuel. Ce n'était peut-être pas une très bonne idée de venir ici, ça faisait remonter tous les souvenirs qu'il repoussait à temps normal. Mais malgré tout ce qui défilait dans sa tête il gardait son éternel sourire en coin dont il ne pouvait se séparer. Il chassait alors ses idées de sa tête et il regardait vraiment la jeune fille avec laquelle il était actuellement.


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MessageSujet: Re: Friendship never end when it beggin |pv. Jon   Friendship never end when it beggin |pv. Jon EmptyMer 2 Jan 2013 - 21:16

    La conversation se faisant rare et donc précieuse, Charlott essayait de s’intéresser de près à ce que disait le jeune homme histoire d'en faire découler des sujets de conversations possibles. Charlott avait en horreur les silences gênants, sauf lorsqu'elle les provoquait volontairement. Là en l’occurrence, il fallait meubler tout ça. Le temps de l'observation était finit. Elle avait utilisé ce petit truc pendant plusieurs minutes et le faire plus ferait quiche. Et puis de toute façon ca devenait ennuyeux puisque même en fermant les yeux elle pourrait décrire avec beaucoup de précision le décor autour d'elle. Et même réciter la carte. Il fallait trouver autre chose pour ne pas paraitre inactive et une conversation passionnée avec son bînome difficile à supporter était la seule solution qui lui venait à l'esprit. Oh, elle aurait pu descendre la serveuse pour x ou y raison mais le jeune homme face à elle semblait l'apprécier et ce serait mal vu de sa part, n'oubliez pas que Charlott est toujours là pour son A.

    Ainsi, Charlott se raccrochait à tout ce que le jeune homme pourrait bien dire pour dynamiser la conversation et autant vous dire que ça n'avait rien de facile puisque le jeune brun ne parlait pas énormément. Charlott avait plutôt l'habitude des gens exubérants comme Sateen qui aimaient étaler leurs affaires. Là, le jeune homme se faisait plutôt discret et même penseur. La jeune fille pourrait bientôt devenir rousse et avoir de la salade entre les dents que ça ne le choquerait même pas ! Elle le regarda devenir songeur en silence. Elle en profita pour détailler son visage et ses expressions. Connaitre les gens avait un intérêt selon Charlott. Pas d'être plus proche d'eux mais de mieux les connaitre et donc, d'être plus forte qu'eux. Finalement le jeune homme réagit en disant un truc.. glauque. Ils y allaient jusqu’à leur mort ? Waouh.. sympa comme rencart. La jeune fille fit rapidement le lien entre ce lapsus et l'air pensif du jeune homme dans sa tête. Il lui apprit également qu'il venait ici depuis tout jeune et que son père aussi :

    - Et c'est lui qui t'y emmenait ? Il te l'a fait découvrir ?

    Charlott n'allait jamais dans ce genre de restaurant avec son propre père. Avec lui était plutôt room service à l’hôtel ou restaurant hors de prix de la capitale. La comparaison était amusante et le jeune homme était repartit dans ses pensées. On prit leur commande et Charlott Fit la grosse erreur de demander des couverts. BAH QUOI !? Ils était dans un fast food nan ? Alors d'habitude dans les fast food ils esperent faire moins de vaisselle et obligeant les gens à manger avec leurs doigts. Le petit silence et le rictus de l'adolescent face à elle lui firent monter le rouge aux joues. On lui apprit que les couverts seraient servi sans qu'on lui demande.

    Vexée, la jeune fille s'enfonça dans le dossier de sa banquette et croisa les bras sur sa poitrine avec un air agacé. C'était quoi ce sourire ? Il se moquait d'elle ? Et personne ne se moque de Charlott Waldorf, surtout pas un Pi Sigma comme lui. La jeune fille fronça le nez en le voyant s'amuser comme ça d'elle. Elle le regarda un instant se moquer d'elle puis protesta :

    - Te moques pas..

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MessageSujet: Re: Friendship never end when it beggin |pv. Jon   Friendship never end when it beggin |pv. Jon EmptyMer 2 Jan 2013 - 18:46






Alors comme ça elle lui faisait confiance ? Du moins sur le choix du plat dans ce restaurant qu'il connaissait si bien. Ça l'aurait étonné qu'elle lui fasse aussi confiance en dehors du choix de ce plat qui lui paraissait si important pour la jeune fille. Pourtant, elle n'avait pas l'air de manger beaucoup, put-être était gourmande, à vrai dire il ne la connaissait pas assez pour faire de telles hypothèses et il n'en avait pas vraiment grand chose à faire, pour dire vrai. Même si les jeunes gens faisaient quand même pas mal d'efforts pour essayer de ne pas se cracher dessus quand ils se voyaient, ce n'était pas pour autant qu'il allait lui jeter les fleurs, des roses, avec toute la gratitude et tout l'amitié voir l'amour du monde. Non mais. Non, il n'était pas comme ça. Ce n'était pas son genre.

La jeune femme était dans ses pensées, sûrement entrain de faire des éloges sur le restaurant dans le quel les deux jeunes gens étaient arrivés. Ou bien tout le contraire d'ailleurs. Il n'en savait toujours rien. En tout cas, lui était entrain de parler à la serveuse juste avant qu'elle s'absente, retournant à ses occupations, son travail quoi. Après quoi lui aussi se plongeait dans ses pensées, mais autre chose que ce qu'elle était entrain de penser. C'était différent. Autre chose. Lui pensait à son père, s'asseyant à cette table, l'imaginant avec les quelques fragments de souvenir qu'il lui restait de lui. Il savait que revenir ici ferait remonter tous les souvenirs indésirables qu'il censurait depuis quasiment toujours. En effet, il s'empêchait de repenser à son père qu'il aurait voulu connaître, à sa mère qu'il n'avait pas assez serrer dans ses bras et aux quels il n'avait pas assez dit qu'il les aimait, la moindre des choses pour des parents. Et puis sans savoir pourquoi et en perdant un peu le contrôle, il disait à la jeune femme... « C'est normal peu de gens connaissent l'existence de ce restaurant, mais pour ceux qui le connaisse, ils viennent jusqu'à leur mort généralement. Tu sais, moi je viens ici depuis que je suis tout petit, mon père venait ici souvent. »

Mais il se tût sur les principaux détails, il ne lui disait pas que ses parents étaient morts, qu'il n'avait jamais vécu à Miami, que son père n'avait lui non plus jamais vécu plus d'un an à Miami et que ses parents s'étaient rencontrés ici, à cette table même. C'est pour quoi la jeune femme crut, ne sachant rien sur le jeune homme, qu'il venait ici souvent et qu'il vivait à Miami depuis toujours. En fait il était rarement venu depuis qu'il était arrivé à Miami cet été. Et il n'avait pas réfléchi en amenant Charlott ici, il ne pensait pas qu'il réfléchirait autant et que ça lui ferait parlé de ce qu'il déteste : Lui. Il chassait toutes ces idées de cette tête et ne relevait que mentalement ce que la jeune femme avait dit : qui était faux bien évidemment. La serveuse arrivait alors, le tirant efficacement de ses pensées. « Moi je prendrais un Burger simple, Ketchup avec des pommes de terres sautées. »

Et il sourit bien qu'il n'en avait pas envie, à la serveuse qui était sur le point de partir quand Charlott se remit à parler pour demander la chose la plus absurde au monde. Des couverts. Elle n'était jamais venu ici mais quand même, ce n'était pas un vulgaire Mc Do, non ? Ça se voyait, merde alors ! Les couverts étaient déjà dans le repas, nous n'avions pas à demander. Ce n'était pas un fast food dont les règles alimentaires n'étaient pas respecter et qui gardait leur hamburgers celle qui l'accompagne un an voir plus, gardant toujours la même tête et le même goût au fil des mois qui passaient. « Ici les couverts sont servis, il y en a automatiquement, mademoiselle. » Répondit Brittany à la jeune brunette. Cette réponse le fit doucement rire, malgré les efforts qu'elle avait fait, elle n'avait pas lâché ses préjugés et c'était drôlement dommage parce que le jeune homme n'était pas du tout comment le pensait et au moins, peut-être que maintenant elle comprendrait. Un sourire amusé faisait son apparition sur les lèvres du jeune homme, bien qu'il ne disait rien, ce sourire voulait tout dire pour Brittany qui comprit tout de suite avant de disparaître dans la foule de monde dont le restaurant était rempli.


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MessageSujet: Re: Friendship never end when it beggin |pv. Jon   Friendship never end when it beggin |pv. Jon EmptyDim 30 Déc 2012 - 13:52

    Ça sentait l'habitué à fond la caisse. Il allait jusqu'au restaurant sans réfléchir au chemin qu'il prenait, il rentrait sans hésité, il s'installait sur une table en particulier, il disait bonjour au patrio et discutait avec les serveuses, il ouvrait à peine la carte pour choisir ce qu'il souhaitait manger.. Bref, on avait l'impression qu'il mangeait là tout les jours. Charlott au contraire était complétement dans la découverte. Elle avait soupçonnait tout les restaurants devant lesquels ils étaient passé notamment le Butler qu'elle adorait. Elle avait découvert la devanture du restau avec surprise. Lui qui voulait absolument lui prouver qu'il pouvait vivre dans son monde, elle pensait qu'il l’amènerait a une grande table mais visiblement il était plus fast food. Et malgré son apriori négatif, la blondinette adora l'endroit.

    Une fois installée la jeune fille continua à observer les lieux, les serveuses qui discutaient avec Jonhattan sans qu'elle l'entende vraiment. Lorsque Charlott reçu la carte du restaurant elle remercia la jeune femme qui les servait et ouvrit la carte violette pour la parcourir des yeux. Charlott ne mangeait pas beaucoup mais c'était une gourmande. Elle adorait gouter à tout et donc faire un choix était terriblement difficile. Surtout qu'elle ne connaissait aucun des plats. Tout les hamburgers étaient originaux et les que choisir entre les frites ? Les potatoes ? Les rappés de pomme de terre rosties ? Franchement, tout cela donnait bien envie à la jeune héritière qui décida de demander au jeune habitué de l'aider à choisir. Il lui proposa l'hamburger amélioré et la jeune fille braqua ses yeux sur cette proposition. Du cheddar, des oignons rouges et du steack de bœuf. La jeune fille acquiesça doucement, oui, ça semblait pas mal. Ca avec des pommes de terres rosties et ça serait parfait.

    - Je te fais confiance alors, ça a l'air copieux quand même.


    La jeune fille reposa la carte et la retourna pour voir ce qu'ils proposaient en soda et boissons. Le jeune homme lui demanda si elle aimait le restaurant. La blondinette abaissa la carte pour regarder le jeune homme et lui répondre avec un sourire :

    - Je suis surprise. Mais agréablement. On ne m'a jamais emmenée dans ce genre de restaurant.

    Le jukeboxe s'arrêta, laissant le restaurant avec une musique de fond assez banale. La jeune fille le chercha des yeux, se baissa et attrapa son sac avant de fouiller dedans à la recherche de son porte feuille. Ravie, Charlott sortit son portefeuille noir longchamps et l'ouvrit pour attraper une pièce d'un dollar et se leva pour aller vers le jukebox et y glisser la pièce pour choisir la chanson. Plusieurs propositions s'alignaient devant elle et finalement elle choisit Flash Dance What a Feeling d’Irène Cara. La machine fit quelques bruits avant de crépiter un peu et de lancer la chanson. Satisfaite, la brunette retourna à sa place. Le jeune homme lui apprit qu'il venait assit depuis qu'il était petit et la jeune fille trouva ça mignon qu'il l’amène ici. Elle sourit avant d'ajouter :

    - L'avantage de rester dans la même ville c'est qu'on connait tout les coins sympas. A New York je connaissait Manhattan par cœur et je sortais tout le temps. Ici c'est moins simple, j'ai encore un peu du mal à prendre mes marques.


    La jeune fille cessa de parler puisque la serveuse était arrivée pour prendre les commandes. La jeune Waldorf rejetta un coup d'oeil à la carte et répondit :

    - Je prendrais un Handy Burger amélioré avec des pommes rosties et un nestea s'il vous plait.


    Elle hésita un instant, jeta un oeil au Sigma et questionna la serveuse :

    - Et.. serait-ce possible d'avoir des couverts ?
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MessageSujet: Re: Friendship never end when it beggin |pv. Jon   Friendship never end when it beggin |pv. Jon EmptyJeu 27 Déc 2012 - 0:57

Les deux jeunes gens étaient sorti de la chambre. Il n'y avait eu personne dans les couloirs et ce dernier fait avait l'air d'avoir soulage la jeune fille qui tenait compagnie à Jon. D'ailleurs, cette portait toujours le pull bleu qu'il lui avait prêté quand elle avait eu froid. En plus, elle avait oublié sa boule à facette sur le lit de Jon, tant pis, il la lui rendrait quand il la verrai. Pour l'instant ils allaient déjeuner, et le moins qu'on puisse dire c'est que le jeune Sigma avait faim ! Il avait décidé d'emmener la petit riche dans un fast food à l'ancienne. Qu'il connaissait très bien. Il n'était pas du tout comme les fasts food actuels et s'il lui avait dit ce mot, jamais elle ne l'aurait suivi. Mais l'endroit où il voulait l'amener lui tenait tout particulièrement à cœur, c'était un endroit où il connaissait tout le monde, tous les employés, c'était un endroit cher à son cœur, un endroit avec une histoire pour lui. Ce qui était bien c'était que l'esprit des années soixante dix, quatre vingt était resté intact, ça aussi ça donnait de l'importance à ce lieu. Il adorait cette période rétro et devenue vintage. Le rock'n'roll qui y était né. Les belles années, la belle époque.

Les deux gens arrivaient devant la devanture du restaurant. Rien que celle-ci dénotait de l'extérieur, elle était rouge et présentait le nom du fast food, avec une dame habillée en tenue ancienne. Après qu'ils soient rentrés, on pouvait voir les banquettes et les chaises accordées dans un bleu clair vieux, rétro. Tout était d'origine, d'époque. Le sol était carrelé blanc et noir tout les trois carreaux en hauteur, comme avant. Les tables étaient rouges et un jukebox passait en fond. Dans la pièce trônait un bar où plusieurs vieux étaient installés avec leur demi. Sûrement des personnes qui étaient nostalgiques de l'ancien temps. Sur les tables, il y avaient un tube de moutarde, un de mayonnaise et un de ketchup, à côté il y avait des distributeurs de serviettes et la sauce américaine : le tabasco. On se serait cru à l'époque, franchement. Les portes qui menaient aux cuisines étaient des portes coupante, coupe feu, exactement, séparées par leur plastique noir en caoutchouc, elles étaient bleus clair , vieux comme les banquettes et portaient chacune une petite fenêtre ronde par lesquelles on pouvait apercevoir les cuisines blanches et l'agitation qui s'y régnait. Essayant de servir les gens en temps et en heure. La salle n'était pas bondée de monde mais elle n'était pas non plus vide. Néanmoins, les jeunes gens n'eurent aucun mal à trouver une table de deux, avec une banquette, de libre, où ils s'assirent. Charlott se posait sur la banquette en face du jeune homme assis sur sa chaise. Rapidement, Brittany, une serveuse qu'il connaissait venait leur apporter leur menus, il la salua et parla un peu avec elle avant qu'elle n reparte travaillé, elle n'avait pas que ça à faire.

Il ne savait pas pourquoi est-ce qu'il avait emmené son binôme ici, à Handy Burger. Mais il l'avait fait. C'était la première qu'il amenait quelqu'un qu'il connaissait ici à vrai dire. Il y venait toujours seul d'habitude et c'est quelque chose que Britanny s'était permise de soulignée, le jeune homme avait répondu qu'il l'avait amenée juste comme ça, faut d'aller autre part. Et aussi un peu pour lui montrer l'endroit exceptionnel qu'était ce fast food. Mais ça, il ne le disait pas. La compagnie de la jeune femme qui l'accompagnait commençait à devenir agréable et bientôt ni l'un ni l'autre ne se forçait à faire quoi que ce soit, ils arrivaient à s'entendre convenablement et qui l'eut cru ?! Ils déjeunaient ensemble ! Et sans aucun forcing de la part de l'un ou l'autre. Le jeune homme affichait toujours son éternel petit sourire en coin qu'on aimait temps et qui faisait tant craquer les demoiselles, même s'il ne le faisait pas toujours exprès, qu'il affichait des fois comme ça, sans qu'on sache pourquoi, la plus part du temps.

La jeune femme avait l'aire conquise par cet endroit qui plaisait tant au Sigma. Elle n'arrêtait pas de regarder partout aurtout d'elle comme pour ne manquer aucun détail, elle avait bien raison, parce qu'elle ne savait sûrement pas que c'était un des rares qui restaient dans l'état de Floride, c'était tout à fait plausible que ça soit le dernier, d'ailleurs, aussi unique et authentique. Les meubles et les couleurs étaient restés intact au travers des années, ça n'avait pas été remis à neuf, mais le bâtiment n'était pas du tout abîmé et était totalement propre, il n'avait besoin de rien. Les serveuses habillées dans des robes des années soixante dix servaient vite les clients. Au temps du père du jeune homme, elles étaient en rollers, ça allait beaucoup plus vite, mais ça n'évitait pas beaucoup les accidents. Il y en avait certaine qui connaissait le beau brun depuis son plus bas âge. C'est endroit faisait parti de son histoire, sans lui, il ne serait jamais là : ses parents s'y étaient rencontrés.

Alors jeune homme ouvrit son menu qu'il regarda. Il fit mine en réalité parce qu'il connaissait cette carte par cœur vu le nombre de fois où il était venu, en tout cas, il allait prendre le hamburgers du chef. Et la jeune femme lui demandait alors un avis. Il réfléchissait à ce qu'il aurait bien pu lui conseiller. Il n'en savait trop rien à vrai dire. Il regardait la jeune femme. Comme ci ça allait l'aider. Peut-être allait-elle aimer un Hamburger amélioré façon Handy Burger ? De toute façon on ne pouvait pas venir ici et ne pas manger de hamburger alors celui là lui semblait très pour la jolie fille qu'il avait devant lui. Il gardait son éternel petit sourire.

« Mh.. Un Hamburger Amélioré façon Handy Burger. Je pense que ça te conviendrai. Et tu ne sera pas déçu ! L'endroit te plait ? »


Il avait bien vu que l'endroit lui plaisait, mais il préférait s'en assurer, de toute façon n'importe qui qui serait venu dans ce restaurant aurait été conquis par cet endroit magique et par la nostalgie qu'il engendrait. Il suffisait d'être un peu nostalgique, ou vintage comme on disait maintenant. Oui c'est ça, vintage. Ce restau était totalement Vintage, et il était parfait.

« Et pour répondre à ta question, oui, depuis tout petit. Je connais tout le monde ici. »



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MessageSujet: Friendship never end when it beggin |pv. Jon   Friendship never end when it beggin |pv. Jon EmptyMer 26 Déc 2012 - 23:31

Suite du Rp Cha & Jon à la bibliothèque.

    Charlott qui allait dans la chambre d'un garçon alors qu'elle venait de le rencontre. Charlott qui acceptait un déjeuner en tête à tête avec ce même garçon. Il y avait fort à parier que le jeune homme était charmant ou que la jeune héritière avait besoin de lui. Et bien.. C'était un peu des deux. Avant tout la jeune fille avait besoin du jeune homme pour qu'il bosse autant qu'elle et qu'ils décrochent tout les deux un A dont Charlott avait tellement besoin pour garder au plus haut niveau son dossier scolaire et rentrer à Harvard. Et puis finalement, malgré qu'il lui ait tenu tête il semblerait que le jeune Kooles n'était pas si désagréable que cela. La jeune fille avait tout de même un peu hésité. Elle s’intéressait beaucoup aux qu'en dira-t-on et pas seulement concernant le déjeuner ensemble, c'était surtout sortir de la chambre sans se faire repérer qui importait à Charlott.

    Finalement, tout en rangeant ses affaires la jeune fille accepta le rencard et donc de suivre Jonhattan. Bien sûr, puisque c'était lui qui proposait, c'était aussi lui qui choisissait le restaurant. Charlott n'était pas très difficile concernant la nourriture mais elle évitait de manger trop gras et elle voulait une propreté irréprochable. Ils auraient pu aller manger dans le restaurant de l'hôtel de son père mais le jeune homme semblait décidé à l'emmener dans un restaurant qu'elle ne connaissait pas. Pitié, tout sauf un MacDo.

    Charlott était à la fois loin et proche de l'endroit où Jonhattan voulait l’emmener. Elle le suivit pendant de longues minutes dans les rues de Miami. L'ambiance était plus détendue et ils parlaient maintenant sans problème. Visiblement les moments les plus tendus étaient passés. Charlott portait toujours le pull du jeune homme dont elle avait relevé les manches pour ne pas ressembler à une minuscule poupée de chiffon. Enfin, ils arrivèrent devant une sorte de fast food appelé "Handy Burger". Charlott ne connaissait absolument pas l'endroit mais sa curiosité fut piquée au vif. Tout ici était très rétro, des tables en plastiques aux banquettes en cuir bleu clair. D'énormes boites à serviette et bouteille de sauce trônait sur la table et la blondinette avait l'impression de rentrer dans un fast food des années 80. Un jukebox fonctionnait dans sa salle et passait une chanson des beach boys.

    Impressionnée, la brunette se laissa guider jusqu'au une table et se laissa tomber sur une banquette confortable. Elle regardait encore partout lorsque la serveuse vint leur présenter les cartes avec amabilité. La jeune fille n'ouvrit pas sa carte de suite, contemplant encore un peu le restaurant retro. Définitivement, elle adorait :

    - J'en reviens pas. Cet endroit à l'air extra ! Tu y viens souvent ?

    La jeune fille, après avoir interrogé le Sigma ouvrit sa carte et la lut en diagonale. Et puis les plats étaient plus raffinés qu'un vulgaire fast food. Il y en avait pour toutes les bourses et pour tout les goûts. Comme toujours tout faisait envie à la jeune fille et elle ne savait pas quoi choisir face à autant de possibilité. Elle ne mangeait pas beaucoup mais elle aimait beaucoup ça alors elle ne devait pas se tromper. Mais puisque ce n'était sûrement pas la première fois que son bînome venait elle lui demanda :

    - Tu me conseilles quoi alors ?

    Elle reposa sa carte un instant et ajouta avec un sourire :

    - La pièce fait grande impression, j'en attend tout autant de la cuisine alors guide moi bien !



Dernière édition par Charlott E. Waldorf le Dim 30 Déc 2012 - 13:53, édité 1 fois
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