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 Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.

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MessageSujet: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 0:59




Lelio Anterspinas
ft. Lucas Silveira





○ Age : Dites 33…
○ Date et lieu de naissance : le 13 mai 1979 à Malte
○ Poste requis : Prof de cinéma



WHAT YOU LOOK LIKE.

~~~Les enfants regardent les images.~~~
Le Boss a fait du chemin, et ça se voit sur sa gueule ; certains jours de pluie, il fait vingt ans de plus que son âge. Le Boss, c’est comme ça que les gamins de son cours surnomment Mr Anterspinas. Faut dire que son nom étranger n’est pas facile à prononcer. Et puis il est fan de Bruce Springsteen, dit Le Boss pour les spécialistes ; pas difficile à savoir, le cinéma est une matière artistique et dans ce genre de cours, les goûts du prof se retrouvent souvent imposés dans les copies des élèves. Enfin, c’est mieux que s’il était fan d’Aristote ou de Copernic, me direz-vous ! Aujourd’hui, c’est un type posé, à la pédagogie moderne, aux manières sobres et à la voix paisible, mais on peut lire sur ses traits qu’il n’en a pas toujours été ainsi. Le menton mal rasé du baroudeur, la clope du rôdeur silencieux et les tenues de barbouze qu’on ne porte plus que dans certains coins du globe, voilà à quoi on le déchiffre. Le regard parfois perdu dans le vague d’un ancien alcoolique qui n’a jamais complètement raccroché ; les poses assurées de quelqu’un qui n’a pas toujours eu une chaise ou un fauteuil pour poser ses miches… Et, bien sûr, son accent, qui pourrait venir d’un peu partout, sauf d’ici. On le suppose généralement italien ou assimilé. C’est mystérieux et romantique, et à la fois familier – mais on l’imagine mal en train de tourner la pâte à la pizzeria du coin. Pas grand, pas toujours bien fringué … Le Boss est un geek à l’école, vestimentairement parlant. (Heureusement, les sorties de classe s’organisent souvent en soirée, et en soirée il assure.) Mais quelle que soit la tenue, il trouve quand même moyen d’en imposer, parce qu’il connaît sa matière, parce que personne ne le connaît vraiment, et parce que quand on lui dit quelque chose qui ne lui plaît pas, il se tait, regarde fixement le coupable, et ça suffit pour que le coupable ait envie de s’excuser. Peut-être que le Boss a fait partie de la mafia, qui sait. Tel ou tel petit fouineur a rapporté qu’il avait des tatouages sur tout le corps – on en voit un parfois, un crâne, qui dépasse du col de sa chemise –, et de terribles cicatrices un peu partout, du genre qui aurait tué un autre type, mais pas Le Boss. Lui, rien ne peut le tuer. Il est arrivé il y a deux ans seulement, et il s’est tellement intégré aux lieux qu’on dirait qu’il est là depuis toujours ; et s’il venait à disparaître, il y aurait quelque chose de changé. En mieux ou en moins bien, difficile à dire. Sa silhouette campée dans un coin de la cour, éclairée seulement par la lueur de sa cigarette auréolée de fumée bleue, n’est pas toujours une vision rassurante. Ce n’est pas le genre de prof mentor, bienveillant, paternel, auquel les jeunes un peu paumés se raccrocheraient comme à un radeau de sauvetage. Deux ou trois élèves s’en sont entichés, mais il semblait plutôt agacé par leur admiration. Pas de tournages privés avec lui, pas de cours particuliers ou de moments complices. Personne ne sait où il vit. Dans sa salle, peut-être, désertée par la nuit tombée, à son piano, entre un cendrier fumant et un verre de whisky.

Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. Geeky



WHAT YOU THINK.

~~~Les adultes écoutent les discours.~~~
Mine de rien, au bout de sa première année scolaire, Mr. Anterspinas connaissait tout le monde dans l’équipe. Il semblait retenir automatiquement tout prénom d’enseignant ou d’administratif prononcé en sa présence, comme s’il tenait un petit carnet d’espionnage dans son for intérieur. De ce fait, les autres cadres de l’établissement se sentaient en confiance à son arrivée, car il les saluait comme s’il les connaissait depuis toujours, et son esprit semblait pouvoir se plier aux exigences les plus saugrenues de certaines conversations : il pouvait parler fossiles avec les historiens, nihilisme avec les philosophes et flexions avec les sportifs, comme l’aurait fait une sorte de petit Indiana Jones aux bras secs, au background ethnique indéfini, et au sourire étrangement rare, sorti d’un film d’art et d’essai en noir et blanc, dans le genre de ceux qu’il étudie en cours... En effet, il semblait tout prendre au sérieux, tout enregistrer, et s’intéresser à tout. Pas une fois on ne le vit plaisanter, ou surtout, tourner en ridicule telle chose ou telle personne, notamment ses élèves. Certains, de l’avis général, l’auraient pourtant amplement mérité. Mais il pratiquait une sorte d’étiquette, qu’il n’imposait à personne d’ailleurs, et qui lui interdisait une telle attitude. Il se retranchait généralement derrière un verre, une cigarette, ou la soudaine contemplation d’un quelconque élément du décor. Un problème de langage, peut-être. Il parlait convenablement, et se faisait bien comprendre, mais culturellement il était possible que l’humour local lui échappe, et qu’il préfère ne pas trop s’aventurer sur cet épineux terrain. Tout à fait compréhensible, et tout à son honneur, de l’avis général. D’ailleurs sa classe avait manifesté des progrès qui lui valaient des louanges, auxquelles il répondait gravement, sans orgueil, mais sans excessive modestie, ce qui amusait certains. Il n’avait pas la réputation d’accorder des passe-droits, d’avoir des chouchous, ou au contraire de culpabiliser les mauvais éléments ; étudier une année à ses côtés équivalait à la traversée d’un désert, avec un chef de caravane exigeant, presque impitoyable, mais sûr, et capable de trouver une solution aux situations les plus désespérées : c’était la garantie d’arriver au bout, de pouvoir regarder derrière soi et dire : j’ai réussi. Un bon prof ? Pour certains, qui auraient aimé voir de leurs yeux ses qualifications, ce n’était pas si certain. Où avait-il enseigné précédemment ? Quel prestigieux institut lui avait décerné le droit de transmettre sa vision du cinéma ? Anterspinas était aussi mystérieux, parfois, qu’il était liant et ouvert au dialogue lorsqu’il ne s’agissait pas de parler de lui. Mais toujours est-il qu’il était là, comme une nouvelle sculpture étrange ajoutée à un intérieur traditionnel ; le chef d’établissement seul savait dans quelles circonstances et sur quels critères il avait été recruté. Il ne jugeait pas bon d’en informer tout le monde, et sans doute avait-il ses raisons.

Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. Tonight



WHAT YOU LIVE.


« Ifren Azguès, je t’interdis de parler à ta mère sur ce ton ! »
Ce fut la dernière fois qu’il adressa la parole à sa mère. Cette fois, il avait passé l’âge de se faire tirer les oreilles sous prétexte que le voisinage était choqué par ses manières. Puisque le quartier ne voulait plus de lui, il ne voulait plus du quartier. La femme aux longs cheveux noirs torsadés hurlait à la fenêtre tandis qu’il s’éloignait dans la rue, sous les aboiements des chiens pelés ; la plaie de sa main bandée se remettait à saigner, mais il en ignorait la brûlure : il essayait de percevoir, sans pour autant lui faire l’honneur de se retourner, si les hurlements étaient des pleurs ou des imprécations. C’est le dernier souvenir qu’Ifren Azguès emporta de Malte. Comme son marin de père longtemps avant lui, il partait pour ne plus revenir, adolescent maigrichon à l’oreille percée, qui aurait pu sortir de n’importe quelle époque, de n’importe quel pays, pourvu que ce fût des méandres misérables et sauvages de la société. Pourquoi cette colère ? Il ne s’en rappelle plus vraiment. Ce qui paraissait grave autrefois, digne d’effacer une personne de nos vies, nous semble aujourd’hui insignifiant, et pourtant nous savons que nous n’aurions pas pu agir autrement. C’était à cause de la plaie sur sa main, sans doute. Elle avait cru qu’il voulait se tuer. Non, il était juste superstitieux, comme elle le lui avait appris : il voulait changer son destin. Et son destin était écrit là, entre les lignes.

Au service de l’immigration, quand on lui demanda son nom, il fut incapable de prononcer les quatre syllabes oubliées depuis toutes ces années. C’était à présent un jeune loup de mer, et l’employée américaine lui jetait un regard nerveux qui lui rappelait sa mère lorsqu’elle le soupçonnait à tort. On lui avait donné toutes sortes de surnoms, il n’avait que l’embarras du choix. Le premier qui se présenta fut celui inventé par l’officier italien.
« Lelio. Lelio Anterspinas. Originaire de Venise. »
C’était tout de suite plus romantique, et il avait une voix douce, suave et chantante, presque féminine. Il ne fumait pas encore en ce temps-là, et ne buvait pas outre mesure. L’employée se radoucit, et c’est presque avec sympathie qu’elle lui demanda son âge ; ce détail acheva de l’attendrir. Ce n’était qu’un gamin ! Il fut envoyé à la visite médicale, et quelques tergiversations plus tard, fit son entrée sur le sol du Nouveau Monde, au milieu d’une marée de nouveaux arrivants. Après les plaines d’Afrique, il en aurait fallu davantage pour lui faire peur.

Son baluchon sur l’épaule, sa casquette vissée sur le front, il savait exactement où il allait. Au lieu de se mêler à la cohue en quête de jobs ingrats dans les bas-fonds de New-York, il sauta dans un train pour gagner la campagne profonde, y vécut quelques temps en vagabond, échangea ses godillots contre une guitare, se fit apprécier de tous, et fut engagé pour donner un coup de main dans une ferme tenue par deux vieux sans enfants. La paye était maigre mais il ne dépensait rien : petit à petit, l’argent s’amassait. Le week-end, ils allaient tous les trois à la petite ville voisine, et Lelio chantait dans les bars sur sa guitare d’occasion. C’était un vrai magicien avec un instrument de musique, et il avait une voix très particulière, que la population locale adorait. On vint le voir de loin. On l’invita dans des villes plus grandes, devant des publics plus difficiles. On le montra comme un enfant sauvage ramené des hautes-terres, un petit Mozart taciturne à la figure de loup. On le fit jouer dans les mariages, aux cérémonies officielles, et lorsqu’il fit son retour à New York, de petites affiches sur les coins de murs et les poteaux annonçaient sa présence.

Un couple de rockeuses vêtues de noir lui proposa de faire leur première partie, puis de fonder un groupe avec elles ; l’une jouait de la basse, l’autre du synthé, et elles avaient des liens avec la communauté gay dans les plus grandes villes du pays. Leur bus de tournée fut la demeure de Lelio pendant l’année qui suivit, et il découvrit que la traversée des terres pouvait être aussi distrayante que la traversée des mers. Une percussionniste les rejoignit bientôt, grande métisse aux longs cheveux noirs qui lui rappelait quelque chose. Lelio se laissa séduire, il écrivit pour elle un hymne qui parlait de souvenirs d’Afrique, mais aussi, entre les lignes, d’un passé avec sa mère, et d’un avenir avec cette fille. Mais c’était l’appel des sirènes, la demoiselle n’étant autre qu’une lesbienne convaincue elle aussi ; et il ne pouvait en sortir que meurtri ; dans son cas, il en sortit seul, en dépression, alcoolique et fumeur compulsif, dégoûté de la musique alors même que sa carrière atteignait un pic de réussite. Il se brouilla avec ses partenaires qui poursuivirent leur voyage seules, et se trouva en possession d’une somme d’argent dont il ne savait que faire. C’est alors, et non pendant ses voyages en mer, que son corps se couvrit de sombres tatouages. Il mesurait l’importance de sa souffrance, et comptait bien l’inscrire dans sa chair pour ne jamais l’oublier. C’est aussi à cette époque qu’il fit modifier la mention de Venise sur sa carte de séjour, pour la remplacer par Malte. Il abandonna le pseudonyme de Lorrance, utilisé durant la tournée et choisi par la séduisante percussionniste ; il n’était plus que Lelio.

« Jerky Jimmy. »
« Enchantée. »
Le premier film X se mit en place de lui-même, entre quatre paumés rencontrés dans un bar underground, sous des éclairages douteux bricolés au fond d’un hangar, et dans les tenues extravagantes sous lesquelles chaque protagoniste s’était naturellement présenté. Tatouages contre piercings, cuir contre métal. Produit par un voyeur qui tenait un petit kiosque à DVD, le court-métrage ne gagna pas de prix international, mais se vendit sous le manteau dans des coins de ruelles, et reste aujourd’hui introuvable. « Jimmy », cynique et jamais rasé, ne dessaoulait plus, mais les punks locaux adoraient ce drôle de bonhomme grave aux idées de génie, et sa manière de faire l’amour. Il éteignait sa conscience dans un bar, au bout du cinquième film, quand une silhouette digne des vieux westerns s’interposa entre les ombres de la salle et la brûlure blanche du soleil au-dehors. L’inconnu s’accouda au bar ; il fixait Lelio, mais ce dernier n’avait pas la force de lever les yeux ou de s’interroger. Sa voix mit un moment à l’atteindre ; son esprit était comme un puits couvert d’un grillage, comme celui où il tentait en vain d’apercevoir son reflet, sur la place où s’était déroulée son enfance.
« Jerky Jimmy ? »
« C’est moi. »
« On ne vous appelait pas Lorrance, l’an dernier ? »
« Je ne peux pas dire le contraire. »
« Et encore avant, à New York, vous avez joué dans des clubs. Lelio Anterspinas ? »
« Arrêtez-vous là, ça devient flippant. »
L’homme n’avait pas connaissance de sa carrière avant d’arriver aux Etats-Unis. Il savait juste qu’une star montante avait sombré dans le monde souterrain, les substances hallucinogènes et l’oubli. Sans doute était-ce un ancien fan discret, qui venait de tomber sur un film X et avait reconnu avec déception l’ancien chanteur à l’accent mystérieux ; il venait maintenant demander des comptes, et Lelio s’apprêtait à lui expliquer qu’il faisait ce qu’il voulait de sa vie, quand une nouvelle question retint son attention. Pourquoi était-il venu s’établir aux Etats-Unis ?
« Le rêve américain, j’imagine. L’univers hollywoodien. »
Ils commencèrent à parler cinéma. Puis voyages. Lelio évoqua vaguement l’Afrique. L’homme lui apprit qu’à quelque distance au Nord, il existait un parc animalier qui pourrait lui rappeler de bons souvenirs. Ils n’avaient rien de spécial à faire ; ils décidèrent de s’y rendre. Lelio paya son whisky, sortit du bar, et d’un an de profonde dépression. Au parc, on pouvait approcher des fauves en liberté, et nourrir certains dans le creux de la main. Ce spectacle l’emplit de honte à l’idée de s’être laissé sombrer ; était-ce pour cela qu’il avait quitté sa mère, son île, et embarqué pour l’Afrique ? Que pouvaient penser de lui ces nobles animaux, transplantés hors de leur milieu naturel, comme lui, et qui ne seraient plus totalement chez eux nulle part, mais qui conservaient courage, dynamisme et dignité ? Plus ému qu’il ne savait le paraître, il passa la main dans la crinière d’un lion, puis s’éloigna et s’assit sur un banc. Lorsque son nouvel ami le rejoignit, il était courbé en deux ; il griffonnait les paroles et les accords d’une nouvelle ballade sur le coin de son billet d’entrée.

« Je peux enseigner l’arabe, l’italien, la politique internationale, la musique… »
« Musique, on a déjà quelqu’un. Politique, ça s’intègre dans le programme d’Histoire, je crois. »
« Le tir, le cinéma… »
« Cinéma, ça peut m’intéresser. On se revoit dans un an. Ce sera suffisant, pour tourner quelque chose de présentable ? Pour le cinéma ; ce sera une recommandation. Côté culture générale, le niveau est là… »
« Pourquoi ? »
« Pourquoi enseigner ? Parce que c’est le plus beau métier du monde. Je plaisante. Ces gamins sont comme des fauves. Mais toi, on dirait que c’est ce qu’il te faut pour donner ta pleine mesure. »
« Non, pourquoi vous m’aidez ? Qu’est-ce que ça peut vous faire, que je donne ma pleine mesure ? On ne se connaît pas. »
L’inconnu, qui l’était de moins en moins de seconde en seconde, eut un sourire silencieux mais parfaitement compréhensible. Quelque chose lui avait plu. Mais difficile de dire si c’était la musique de Lelio, ou si c’étaient ses films. Peu importe. A l’occasion, Lelio serait volontiers prêt à tourner un petit court-métrage en secret, sur ses instructions, pour satisfaire ses fantaisies… ce ne serait pas cher payé pour un retour au sein de la société, et peut-être même la résurrection de son inspiration. Il fit donc ses bagages ; l’hôtel qui servait de studio à la petite équipe pornographique venait de perdre son metteur en scène, son réalisateur, son scénariste et l’un de ses acteurs principaux. Pour son projet test, il revint aux racines à la fois pragmatiques et poétiques de son art : il suivit pendant un an des étudiants volontaires dans leurs vies quotidiennes, leurs histoires d’amour et leurs conflits parentaux, leurs aléas scolaires et leurs premiers pas dans les préoccupations d’adultes ; ces destins croisés formèrent un joli scénario dicté par la nature elle-même, et son étrange bienfaiteur accomplit sa part du contrat en lui faisant intégrer l’équipe enseignante de son établissement, au poste de professeur de cinéma, théorie et pratique. Néanmoins, Lelio n’aime plus ce documentaire. L’un des principaux protagonistes, un jeune garçon en séjour linguistique, termine en effet l’histoire en rentrant dans son pays, Malte… laissant derrière lui ses amis, ses ambitions, la femme de sa vie, et une liberté d’expression à laquelle il savait devoir renoncer, en choisissant de rentrer comme promis auprès de sa mère.

Lelio évoque toujours cet exemple pour justifier son scepticisme quant aux happy ends.

Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. Tatoo



JUST WAIT A MINUTE.


○ Code : Ok. Jefifou

○ Secret envoyé ? | (à remplir par un administrateur)

○ Comment avez-vous connu le forum ? En cherchant, sur la banque de données de forumactif, un forum… actif, ayant trait au monde universitaire et si possible avec un design original, qui retienne l’attention.

○ Souhaitez-vous un parrain/marraine ? Pourquoi pas. Si ce pouvait être la personne qui m’a fait engager à l’Université, ce serait parfait. J’ai naturellement des liens plus étroits avec cette personne (que j’imagine comme un homme, mais qui pourrait être une femme) qu’avec mes autres collègues, supérieurs et membres divers de l’encadrement…

○ Une remarque ? J’offre un RP de son choix, tout ridicule oublié, à qui découvrira de quels personnages connus le mien est inspiré.


Dernière édition par Lelio Anterspinas le Mer 14 Nov 2012 - 1:14, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 1:05

Bienvenue !! :-)
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 1:20

Oh mon Dieu. *-* J'a-do-re.

J'adore ton style d'écriture, je buvais tes mots. Et y'a beaucoup de descriptions la-dedans, c'est fantastique.

Et puis, un prof de cinéma, c'est trop swag. ♥️

Du coup, je veux un lien. Tu m'en réserves un ? :evy:

Et puis, bienvenue parmis nous. Tu vas voir, on est tous supeeeer sympa. ♥️
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 1:23

Bien le bonsoir, jeunes filles, et merci d'accueillir un pauvre immigrant !

Chère Ariana : le poste ne m'est pas encore accordé, évitons de monter sur nos grands chevaux. Néanmoins, ce serait très "swag", j'en conviens. (Votre mot préféré ?)
Pour ce qui est du lien, je suis toujours partant pour lier de nouvelles connaissances, dans la mesure où le lien respecte le caractère particulier de mon personnage, cela va sans dire. Comme je ne serai sans doute pas validé dès ce soir, nous avons du temps pour en discuter. :pirat:
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 3:16



Félicitation, tu es Validé



« Outch, toi je t'aime déjà. Je suis fan de ta façon d'écrire et de ton personnage, vraiment, tu es exactement ce qui me manquait haha. Alors, c'est un gros BIENVENUE parmi nous, et merci de ton inscription ;-) Je veux d'ores et déjà un lien avec toi. Jeff étant étudiant en art et notamment en cinéma, c'est parfait. J'ai quelques idées, on en parlera par mp.

Pour en revenir à ta fiche, elle est nickel. Encore une fois, j'ai beaucoup aimé. »


En bref; tu es à présent validé !

Je te place dans le groupe Personnel et file te mettre ta couleur.

Tu peux donc faire tes fiches de RP (répertorier toutes tes histoires et aventures) et faire ta Fiche de Liens, qui te permet de créer des relations avec les autres membres, mais aussi d'avoir un compte rendu de celles déjà obtenues. On peut ainsi, plus facilement savoir avec qui ton personnages est ami, avec qui il ne l'est pas etc...
Si tu le souhaites, tu peux faire partie d'un club, tenir un blog ou bien avoir un portable mais sache que chaque "sms" te coûtera un point.
Tu peux aussi demander un Rang, qui te sera attribué par un Administrateur et quand tu auras atteins 50 points, tu pourras aller demander une chambre pour ton personnage !

Pour finir, N'oublie pas de remplir ta fiche de personnage, et de voter toutes les deux heures, sur les petites feuilles d'automne sur le côté :).






    LIENS UTILES

    → Fiche de RP
    → Fiche de LIENS
    → Demande de RANG
    → Demande de Chambre
    Portable & Blogs
    → Ta marraineThalia y. cabano

    Et n'oublies pas qu'en cas de problèmes, de questions, toute l'équipe du Staff est là pour toi !


    Hope B., Jeff W., Kaylee S., Marissa C. & Neal C.




© Codes by I Love Harvard



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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 3:22

Une bourde, une de plus de ma part x)
Malheureusement, je ne peux pas te valider. Ton avatar n'est pas aux bonnes dimensions (225px de largeur au lieu de 200). Modifies ça et je pourrais te valider ;-)
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 3:31

J'en profite pour te souhaiter la bienvenu sur le forum !
Un prof de cinéma ? Trop cool :evy: ! Je veux tellement être l'un de tes élèves ! Je n'ai pas encore lu ta fiche mais le jour viendra.
Je sens que tu vas faire sensation. 8)
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 6:33

Bienvenue parmi nous monsieur le professeur :cheers: c'est cool on a que des profs sexy et étrangement Ashlyn risque de vouloir se mettre au cinéma /PAN/
En tout cas j'espère que tu te plairas parmi nous o/
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 6:56

Bienvenue Sexy Boy ;)
Je crois que Ryan va se mettre au Cinéma SERIEUSEMENT. ♥️
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 10:26

Jme disais aussi que cet avatar dépassait quelque peu du cadre officiel. ^^ C'est tout moi, ça, toujours plus grand que nature. Bien, je m'en occupe tout de suite : s'il n'y a que ça... 8)

Et j'observe aussi que ma classe est déjà plus ou moins formée, avec tous ces volontaires. On va pouvoir commencer les cours très bientôt dans ces conditions ! :cheers:
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 10:46

D'abord : Ton titre, Bowie?

Ensuite: Bienvenue parmi nous!
Ton personnage est vraiment intéressant, et dire que j'aime ta façon d'écrire est un euphémisme.
Maintenant, dépêche toi de changer ton avatar qu'on puisse te valider et te harceler pour un RP.

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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 11:01

Bienvenue cher futur collègue ! :-D
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 11:35

Space cowboy, c'est plutôt ce vieux Clint, mais en effet, oddity, c'est Bowie. Vous êtes en bonne voie de décoder mes références, jeune rasta. ^^ Sinon, naturellement, j'ai modifié mon avatar au moment où j'ai dit que je le faisais. A l'heure qu'il est, ma fiche de liens est prête à poster, je n'attends plus que le feu vert (et la confirmation que mon secret a bien été envoyé.) ❤
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 11:46

Haha je m'en doutais aussi pour SpaceCowboys \o/ Très bon film, très bon Clint.


Bon et bien, je pense que Jeff ne m'en voudra pas de t'annoncer que tu es définitivement validé. Je t'ajoute au groupe du personnel et un admin viendra te mettre ta couleur.

File t'amuser!
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 11:53

Merci pour la permission :bball: fiche de liens postée ! Tous ceux qui étaient intéressés, direction le terrain de jeu : right here !
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 22:24

Bordel, j'ai cherché les références, mais j'ai aucune culture x)
Btw, j'ai bien aimé ta fiche. Tu parles du Dirlo comme étant ton bienfaiteur ? ça lui correspond pas tellement à ce vieux con :roll:

Bref, bienvenue parmi nous !
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 22:28

Je n'ai pas précisé que c'était lui. ^^ Etant donné qu'il est chef de l'établissement, ça lui serait plus facile de me faire entrer par combine qu'à, disons, la conseillère d'orientation ou le concierge... Mais ça peut être n'importe quelle personne qui travaille ici. J'ai contacté Sa Majesté pour avoir son avis à ce sujet, d'autres précisions suivront, mais ça peut aussi rester indéterminé puisque personne n'est censé être au courant ;)
Quant aux motivations exactes du bienfaiteur en question, j'ai aussi laissé le flou. Si glauque il y a, ainsi soit-il, je ne vais pas forcer des gens dont ce n'est pas la nature à faire une bonne action gratuitement :twisted:
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 22:30

Et les références, on les aura un jour ? :D Parce que ça va me frustrer 8)
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 22:32

Mais oui, quelqu'un va bien finir par mettre le doigt dessus. :king: Sinon, c'est comme les secrets, ça peut s'échanger. Je me demande ce que je pourrais demander en échange... à moins qu'on m'offre quelque chose dont j'ai vraiment besoin, ou qui me plaît vraiment beaucoup ;)
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. EmptyMer 14 Nov 2012 - 22:33

On en reparle demain sur ta fiche de liens 8D
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MessageSujet: Re: Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity.   Cinema Class Boss. 99% space cowboy, 1% space oddity. Empty

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