Ian Gabriel Hunter [terminé ]

☝Age : 15 ans.
☝Date et lieu de naissance: 17/04/1997
☝Classe : 11th Grade (Junior year)
☝Confrérie : J’aurais bien dit Êta Iota ηι mais bon Alpha Psi αψ me conviens mieux j’imagine .
☝Riche ou boursed'étude ? Riche… très riche.

I look like the one I am.
Si je me regarde dans le miroir, je me vois.
« Quel exploit ! » me direz-vous… Moi je trouve que c’est le cas. Combien de femme à la taille 0 se regarde et voit un boudin ? Combien d’homme avec un bide de beuverie, voit dans son reflet l’incarnation du mâle ? Moi pas.
Je suis blond, j’ai les cheveux d’un blond platine, lisse et raide, mais que je décoiffe de la même manière depuis 3 ans, assez pour marquer ma différence, pas trop pour ne pas faire mon Edward cliché. J’aime plaire, et j’y arrive facilement : Avec un corps sculpté par quelques heures de jogging par semaine, des années de skate, et un amour inconditionnel pour la dance de rue, j’ai développé des muscles de maigrichon dont je suis fier.
« J’ai hérité des yeux de biche de ma mère » comme dit mon géniteur, Bleu océan, avec quelques pépites d’or parsemé ça ou la. Tonia me dit toujours qu’elle à l’impression de regarder une carte géographique représentant des iles, quand elle me regarde dans les yeux… ça me fait bizarre venant d’elle, après elle me dit que mes sourcils sont beaucoup trop fournis et des lèvres trop fines pour mon visage… moi je les trouve assez bien pour embrasser, mes lèvres. Il ne me manque plus que mon piercing à la langue pour être parfait, pour ça faut encore que Ginna accepte.

I think I’m too good for you .
J’ai 16 ans, je ne sais donc pas encore ce que je suis. Voila cependant, en quelques lignes, ce que j’ai remarqué chez moi.
J’aime ma mère, de façon inconditionnelle, même si je ne suis pas d’accord avec tout ses choix. J’aime la musique, elle me relaxe, moi le garçon troublé et hyperactif qui en fait baver à tout le monde.
Ah oui ! Vous ne le savez pas ! Depuis mon jeune âge on décela chez moi des troubles comportementaux. J’étais turbulent, je n’arrivais pas à rester en place, je ne me lassais jamais de jouer, de hurler, de danser, ou de lire des livres. Je dormais à peine, ne mangeais pas à ma fin, ou au contraire grignotais jour et nuit.
Heureusement que les psys existent, et que les mères comme Ginna aussi. On m’obligea à aller en voir, et eux voulaient m’abrutir de médicament. Mais ma mère choisit d’essayer d’autres alternatives : son bébé de 5 ans ne pouvait pas vivre sous sédatifs… même si cela lui causait deux fois plus de perturbations. Elle me fit suivre des activités éreintantes, en essaya beaucoup karaté, course, natation, chant. La seule qui marcha relativement fut les claquettes. Après ça quand je sentais l’envie de bouger, je ne le faisais pas mais je continuais à jouer une chorégraphie mentalement… en bougeant juste les pieds ou les mains. Cela devint un tic et maintenant rares sont les fois ou je suis complètement immobile.
Je n’ai pas beaucoup d’amis. Je n’aime pas en avoir plein, je me sens obligé de leurs rendre des services alors que je ne veux être redevable à personne. Mon frère est mon meilleur ami, après Ginna. Tonia et James mes amis d’enfance.
Quoi d’autre ? Ah oui ! Comme toutes les personnes dans ce monde, je n’aime pas qu’on me donne des ordres, je ne les suis pour ainsi dire jamais . Sauf dans de rares exceptions : Pendant mes cours de chant, dans la composition d’une chorégraphie…

I live my life.
Par ou commencer ? Je suis né en Avril 1997, à Miami dans un magnifique duplexe sur la plage, j’y ai trouvé Ginna ma mère, et Seth mon frère. J’y ai grandis jusqu’à mes 3 ans avant de changer pour une villa encore plus grande, et encore plus sophistiqué. Il faut dire que mon géniteur et d’une richesse qui lui permettait d’entretenir sa maitresse aisément.

J’eu une enfance calme… non je rigole.
Depuis mon plus jeune âge, on remarqua ma différence. Comment est ce que ça aurait pu en être autrement ? Je passais mon temps à courir, sauter, hurler, crier, babiller, je dormais à peine, et je mangeais rarement, ou alors je grignotais sans cesse. Ma mère m’emmena voir un pédopsychiatre vers l’âge de 4 ans, et ce con me prescrit des pilules. A moi, pour que j’arrête de bouger, et à ma mère, pour qu’elle arrive à dormir.
Après quelques mois, quelques autres psychiatres, ainsi que quelques incident dû aux pilules, Ginna choisit d’arrêter les médicament, et de suivre son instinct. Je n’étais pas un garçon turbulent, j’avais juste beaucoup plus d’énergie que je ne pouvais dépenser en une journée, disait-elle. C’est donc tout naturel qu’elle me fit dépenser cette vitalité pendant la journée, pour que je sois éreinté la nuit. Karaté, foot, natation, basketball, toutes les choses qu’un petit garçon rêvait de faire… Sauf moi. Avec moi ça marchait deux trois semaines, après je refusais d’y aller. Jusqu’à ce qu’elle essaie des alternatives moins conventionnelles pour un garçon, à savoir : claquettes, et chant.
La je me suis sentit chez moi ! dans mon élément ! Tout ces gestes saccagé, tout ce tempo, ce rythme à suivre.. J’aimais bouger et je le faisait bien.
Pour la musique c’était autre chose. C’était apaisant. Toute cette ardeur que je voulais évacuer se concentrait sur mes cordes vocales. Et toute l’attention que j’avais, de ces gens qui s’émouvait de m’écouter, les félicitations de mon professeur, l’admiration de mes camarades de chant pour commencer, puis dans la chorale ou on m’a intégré… c’étais grisant !

La chorale. Une étape importante dans ma vie. Mon professeur de chant voyait tellement de potentiel en moi âgé alors de 5 ans , qu’il convainquit ma mère de me laisser chanter avec la chorale qu’il avait constitué. Celle ci chantait pour les mariages, les anniversaires, les messes, et même les enterrements. Il y avait surtout des grands dedans, alors je passais toutes les répétitions soit 2 heures par jour, 4 jours par semaines plus 4 heures le samedi, à jouer avec Tonia et James, les enfants du professeur/maestro au fond de la salle. Au début on s’amusait à peindre, ou à dessiner, ensuite ce fut le tour des instruments de musique, Tonia à la batterie et James au violencel. Moi j’apprenais dans le tas, avec l’un et l’autre.

Aujourd’hui, 10 ans après, je maitrise plusieurs instrument, je chante et dance. J’ai appris la dance de rue, ainsi que quelques pas de dance contemporaine. Mise à part ces quelques faits marquant, ma vie est un long fleuve tranquille, marqué de quelques renvoi du lycée à cause de ma constante agitation, de bonnes notes aux examens après le harcèlement de ma mère, des représentations de chant réussit. La belle vie !