Keira A. Stevens ❧ Home again

Age : 18 ans
Date et lieu de naissance : 29 Janvier 1994 à New-York, USA.
Classe : Senior Year
Confrérie : Eta Iota
Riche ou bourse d'étude ? Riche

« Te souviens-tu de moi ? J’espère que non mais qui sait tu pourrais peut-être te souvenir de ce que nous avons vécu ensemble avant que je ne devienne une autre…
Je me regardais dans le miroir en pied qui se trouvait dans la chambre d’hôtel dans laquelle je vivais avant de quitter New York pour revenir à Miami. En deux ans, j’avais grandi : j’étais passée d’un mètre soixante-trois à un mètre soixante-neuf. Je semblais aussi plus vieille, plus mature. Peut-être était-ce parce que je m’habillais plus comme une femme. Je crois que la chirurgie esthétique n’était pas non plus pour rien dans cette nouvelle maturité. Mes longs cheveux qui, pendant près de 18 ans, avaient été bruns étaient désormais blonds. Ils cascadaient toujours sur mes épaules. Mon nez avait été un peu retravaillé. Il était plus fin qu’avant mais il restait toujours aussi droit et délicat. Je masquais l’étrange couleur gris-vert de mes yeux à l’aide de lentilles colorées bleu clair. Les deux parties de mon anatomie qui pourrait trahir mon identité sont mon sourire et mes yeux… Enfin mon regard et mes expressions en général. Mes pommettes sont un peu plus saillantes qu’avant. Les autres changements de mon corps sont naturels. Je suis toujours aussi mince mais mes mesurations ont un peu bougé. Ma taille est toujours fine mais ma poitrine est plus grosse et mes hanches moins étroites. Mes mensurations actuelles ? 90-65-88. Mes longues jambes fines et galbées feront baver plus d’un garçon et rendront jalouses plus d’une fille. Quiconque me verra en sous-vêtement ou en maillot de bain, remarquera le tatouage qui orne des côtes : une phrase disant “I will always love you”.
Les personnes qui me verront souvent en sous-vêtements remarqueront que je porte toujours des sous-vêtements accordés et que j’aime les sous-vêtements affriolants. Ah… Les sous-vêtements en dentelles et un peu froufroutant seront toujours mes préférés. Concernant mon style vestimentaire, on peut dire que j’ai un style très féminin : je porte la plupart du temps des robes, des jupes ou des shorts courts et qui remonte sur le haut des cuisses. Concernant les hauts, je porte en majorité des décolletés, des bustiers, des dos-nus… Je met en avant mes atouts et ma sensualité. Pour les chaussures, je dois dire que je suis une folle des chaussures et je porte exclusivement des talons hauts : escarpins, sandales à talons… Il arrive toute fois qu’on me voit en ballerines ou en baskets mais c’est très rare. Pour finir : les bijoux. Je met toujours des boucles d’oreilles (que je retire quand je fais du sport) et la bague qu’un ami m’a offert récemment. Parfois, je porte aussi des bracelets ou un pendentif mais ça reste plus exceptionnel.»

« Autant j’ai changé sur le plan physique, autant je n’ai presque pas changé sur le plan psychologique.
Mon caractère est resté assez similaire à ce que j’étais avant de partir de Wynwood High School. En fait, j’aime toujours autant le sexe. J’aime ça comme jamais. J’en rêve même la nuit et j’ai réussi à coucher avec l’un des fils du Dieu du sexe. Bref, j’adore le sexe ! Je partage le reste de mon temps entre les cours (Que je n’aime pas du tout bien que j’ai de bonnes notes), la gymnastique et le shopping. Ah oui ! Mes deux autres amours sont la gymnastique et le shopping. Je ne suis pas une Eta Iota pour rien ! Je passerais des heures dans les boutiques et surtout dans les boutiques de lingerie fine et dans les boutiques de chaussures ! Si on me demandait si je préfère la ville à la campagne, je dirais sans hésiter la ville mais être dans la nature est très reposant et parfois, il est nécessaire de faire une pause et de changer d’air. Je pense pouvoir dire sans me tromper que je suis une fille sportive et charmante. Je suis une bonne vivante, j’aime qu’on me fasse rire et j’aime faire la fête. J’aime la vie. J’aime les gens, je suis très sociable et je m’attache facilement. Cependant, j’ai un petit défaut qui peut être très fatiguant : je peux être lunatique. Je suis aussi très gentille… Parfois trop… Je suis dépensière et flambeuse mais pour l’instant, ce n’est pas trop un problème puisque j’ai récemment hérité de la fortune de mon père. Je suis extrêmement fidèle en amitié mais j’ai tendance à être volage en amour : je n’arrive pas à rester avec quelqu’un quand je me sens comme enfermée dans une cage. Mais peut-être que je n’arrive pas à me fixer car je n’ai pas encore trouvé le bon ! Et dans la catégorie gros défaut : je suis possessive, jalouse et parfois un peu égoïste mais je tente de m’améliorer. Je suis assez maniérée. Depuis peu, je me suis mise à fumer. Je sais que ce n’est pas sain mais je suis devenue accro, je n’y peux rien.»

« Que veux-tu savoir ? La vraie histoire ou la fausse ?
Officiellement, je suis née le 29 Janvier 1994 à New-York. En réalité, je suis le 2 Juin 1994 Orlando, Floride sous le nom de Hayden Blackthorn. On m’a connu sous ce nom durant près de 18 ans. Ma mère et mon père ne se sont jamais réellement aimé. Ma mère était très prude et pieuse et lorsqu’elle s’est rendu compte qu’elle était enceinte de mon frère, elle a obligé mon père à l’épouser. Jusqu’à mes dix ans, la vie de ma famille était rythmée par les promenades, les sorties au zoo, les sorties au cinéma… Mais il y a une chose qui n’était pas normale dans notre vie : mon père, Michael Blackthorn. Mon père… Non, on ne peut pas l’appeler comme ça. Mon géniteur était un salaud de la plus belle espèce et je ne me suis rendu compte de l’entièreté de son vice récemment. Mon père était avocat, l’un des avocats les plus célèbres, les plus influants et surtout les plus payé ! Mais Michael Blackthorn me violait. Ca avait commencé quand j’avais neuf ans. A cette époque, c’était des caresses trop insistantes et déplacées. A dix ans, il en était déjà venu à vraiment me violer. Ma mère a découvert le vice de mon père et a demandé le divorce mais ce n’était pas assez car ce monstre avait obtenu la garde partagée. Quand j’allais chez lui, il me violait presque tous les jours. Quand je pu enfin arrêter d’aller chez lui, il trouva le moyen de me violer quand il venait nous rendre visite chez ma mère. A cause de ce monstre, j’étais détruite. A seize ans, je suis même tombée enceinte et l’enfant était de ce monstre. Contrairement à ma mère, j’ai avorté. A cette époque je ne connaissais pas les joies du sexe car les seules relations sexuelles que j’avais connu était des viols. J’ai rencontré Emma C. Summers et là, tout à changé. Emma était amoureuse de moi mais moi, je n’étais ni lesbienne ni bisexuelle. Cependant, je l’ai embrassé et j’ai couché avec elle. Cette relation homosexuelle m’a décomplexé et désormais j’aime le sexe. Sur ma route, il y eu Alfred Jr McMathis… Il a été comme un frère pour moi. Il voulait que j’arrête d’être malheureuse, que j’arrête de m’offrir au premier venu mais je perdis pied quand il m’annonça qu’il partait à New York et qu’il aurait aimé que je parte avec lui. Je ne pouvais pas accepter pour la simple raison que mon monstre de géniteur vivait à New York. J’ai ensuite eu une relation amoureuse compliquée avec deux garçons qui s’en allèrent tous les deux et me décidèrent à quitter Wynwood et Miami. Ces deux garçons étaient Edguard Callahan et Selim T. Mimouni. Le premier était trop coincé mais tellement adorable. J'étais la première fille qui à l'embrasser mais je crois lui avoir brisé le cœur quand il m’a vu avec Selim un soir à la Saint-Valentin. Selim, lui, c’était autre chose… J’étais vraiment amoureuse de lui et son départ m’a miné. Il était particulier mais si intriguant. Je n’ai jamais réussi à coucher avec lui. Un soir, nous avions failli passer le cap mais une caresse un peu trop intime a tout fait capoté. Je ne supportais pas certaines caresses car, pour moi, elles étaient liées à mon géniteur et aux viols qu’il me faisait subir. J’ai décidé que je devais me défaire de cette peur. Je me suis enfouie à New York pour affronter mon père. Malheureusement, il me viola encore… Il me violait sur son hureau tout en étant au téléphone avec l’un de ses associés. Cette fois-ci, il me frappa quand je lui dis qu’il n’était qu’un monstre et qu’il n’aura jamais dû venir au monde. J’eu enfin le courage d’aller à la police pour le dénoncer. Tous les examens nécessaires furent fais et les policiers m’apprirent que mon père était un violeur et tueur en série et que je n’étais pas la seule victime de son vice. Le FBI était sur l’enquête et je devins dès lors témoin protégé. Mais j’étais bien décidée à ne pas laisser mon père dans la nature et certains agents du FBI avaient des doutes sur la véracité de mes dires puisque mon père m’a fait diagnostiquer mythomane. Ils ont donc élaboré une petite ruse pour se faufiler chez mon père. J’étais avec l’agent Andrews –D'ailleurs, il était canon !-. On a fait croire à mon père que l’agent Andrews était un policier qui me ramenait à l’appartement de mon père parce que j’avais volé quelque chose dans un magasin de luxe. Mon père avait cru que l’agent Andrews était parti et il me frappa avant de commencer à m’arracher mes vêtements pour me violer à nouveau mais Andrews était là. Il avait dégainé son arme de service et mon père tira du tiroir de sn bureau un revolver qu’il pointa sur Andrews avant de le pointer sur ma tête. Mon père se tourna à nouveau vers Andrews et il tira dans sa direction. Andrews l’évita et tira sur mon père, dans son bras gauche mais il continua quand même à tirer sur Andrews. Ce dernier acheva mon père d’une balle dans la tête. Le sang de mon père m’éclaboussa. Même si je l’avais détesté, le voir mourir sous mes yeux avait choqué. J’ai conservé mon nom de témoin protégé (Keira Amanda Stevens) et me suis forgé une nouvelle vie. J’avais besoin de tirer un trait sur mon passé mais j'aimais trop Wynwood High School pour lui dire totalement adieux alors je revins à Wynwood High School sous une nouvelle identité et avec le mirobolant héritage de mon père ! Hé oui, sur le testament j’étais la seule héritière… Wynwood me revoilà ! J’espère que personne ne me reconnaîtra mais ça serait peut-être sympa de revoir certaines personnes et qu’ils me reconnaissent malgré ma transformation physique.
Wywnood me revoilà ! Et vous mes chers camarades, saurez-vous me reconnaître ?»