Andy ( Leonard ) FOX.

« Si vous voulez vraiment savoir a quoi il a l’air, alors prenez une photo, demandez-en une d’Andy, il y en a toujours dans la poche arrière gauche de son jeans’ préféré. Mais si vous y tenez pas, alors je vais vous expliquer très lentement comment beau et séduisant le jeune homme peut être. Il suffit de prononcer deux mots ; blonds et yeux bleus. Enfin, trois mots, mais bon. Bien bâti, élevé dans une ferme au Texas où il a dû prouver qu’il valait son pesant d’or, Andy Leonard Fox est plutôt musclé. Avec une petite barbe naissante, qu’il fait bien attention de rasé juste assez chaque semaine, et une moustache inexistante, il est tout de même mignon. N’allez pas dire le contraire derrière son dos, sinon je crois qu’il sera de très mauvaise humeur. Juste un avertissement. Grand, portant presque toujours une cravate et un chandail blanc, Andy fait attention à son apparence. Il n’a pas l’allure d’un intello, mais plutôt d’un jeune ténébreux qui fait tomber les cœurs à gauche et à droite. Qui n’aime pas les hommes qui s’occupent de leur carrière, qui sont séduisants et qui sont riches ? Sûrement une lesbienne, alors. En attendant, c’est tout ce que je peux vous dévoiler du physique d’Andy. Si vous voulez en savoir plus, regardez de plus près, ou demandez-lui de coucher avec vous. Les deux marches, il ne refuse jamais une occasion de s’amuser et de démontrer son physique admirable. »

« Bon, il y a plusieurs choses à savoir sur son caractère. Il est pervers, mais pas assez pour qu’on soit dégoûté de marcher à côté de lui dans les couloirs du pensionnat. Non, ce sera juste le premier à craquer une blague sur le décolleté de madame la professeure Sexy quand elle passe à côté de lui. Après tout, qui porte un décolleté cherche l’attention, nécessairement. C’est un cerveau fort intelligent qu’il utilise très scrupuleusement, a des bonnes fins évidement, en ayant des bonnes notes à l’école et ainsi de suite. C’est aussi celui qui organise les plus grandes fêtes, et en tant que Senior, on le laisse faire à peu près ce qu’il veut dans l’école, en autant que ça ne touche pas la drogue. Andy est le petit chouchou des profs, rendant ses travaux à l’heure, comparer a certains de ses amis de Pi Sigma. Ensuite, la dernière chose que les filles devraient savoir sur lui, c’est sûrement qu’il est le play-boy numéro uno de l’école. Andy Fox n’embarque jamais dans une relation amoureuse, il est célibataire pour la vie, on s’entend clairement sur ce fait. Par contre, avec les filles, c’est coups d’un soir et c’est tout. Et vlam, il les enchaîne nuits après nuits, appart durant les examens. En bref, faites attention, ne le laissez pas briser votre jolie petit cœur par ce petit dieu sur deux pattes trop mignon. »

« « Réveille-toi, Andy. »
Qui ose réveiller Andy, en pleine nuit en plus de ça? Oh, mais son cher père, Mike Fox. Célèbre éleveur de bétails, tenant jusqu’ici environ dix milles têtes de vaches, il est millionnaire, sinon milliardaire. C’est sûrement la seule personne à avoir droit de le réveiller à trois heures du matin pour ramener les vaches au Blue Ranch. Ce qui prends environ, quoi, deux heures? Et zut, c’est lui qui récolte la job ce matin. Normalement, son petit frère Alex s’en charge. Le plus petit prend le boulot plate, comme on dit si souvent.
Le Blue Ranch. Bienvenu au ranch, tenant quelques milles hectares, avec un large troupeau de vaches laitières ou pour la viande, certains des taureaux les plus connus du monde, donc Red Bull en fait partis (mascotte de la boisson énergisante, cherchez pas plus loin). Ainsi qu’un petit troupeau de soixante mustangs, devenant d’excellents chevaux à la monte, ainsi que quelques chiens-loups mongoliens, des bêtes valant quelques milliers à eux seuls, mais faisant une job de l’équivalent de dix hommes par chien. En bref, voilà où Andy travail, a été élever et va travailler plus tard.

Dix jours plus tard …
« Hé papa. »
« Oui, fiston, parle. »
« J’veux aller étudier, avoir un diplôme dans l’élevage et la ferme, truc comme ça. »
« Tu rigoles, j’espère ? On a besoin de toi ici, sur le ranch. »
« Y a une bonne école. Wynwood High School. J’ai été accepté. On a d’autres travailleurs pour me remplacer, même à trois heures du matin. Maman m’as aidé, elle a dit que je suis assez grand pour décider moi-même. En plus, je reprendrais le Ranch en main avec un vrai diplôme. »
« J’m’en fou. Ca fait chier. J’veux pas te voir devenir un gros Américain a la con. »
« C’va pas arriver, pa. J’te jure que je ne vais pas gaspiller mon temps. L’école a la maison, c’est plus très utile. J’suis plus intelligent que mon propre prof. On est au Texas, mais dans l’ère moderne, les diplômes rassure les investisseurs. »
« J’t’accorde un an. Si tes notes sont pas à la hauteur de mes attentes, soit des minimum 95 % d’ici la fin de l’année scolaire, je te ramène ici. Et tu vas diriger cette putain de Ranch. Si t’es pas d’accord, va te faire foutre. »
« Merci, papa. Je pars dans une semaine, le Jeudi. »
« T’avais tout planifié, espèce de con. »
»