Exposition de James Stanford • (James)

Le jeune fille m’amusais quelque peu. J’aimais bien sa petite bouille d’innocente et de timide. Je n’allais pas la manger. Ce n’était pas mon tripe, j’préférais manger de la nourriture que l’on trouve en magasin. Je n’suis pas cannibale. Enfin bref, j’écoutais ce qu’elle avait à me dire, demander. Un peu maladroitement certes mais assez amusant pour moi. Elle était gênée mais je n’en voyais pas la raison. Je m’en trouvais flatter de sa demande. C’est rare qu’on me demande de l’aide afin de pouvoir devenir meilleur. Je pris la parole en lui souriant largement.

- Je ne peux te transmettre ma passion mais il est bien évident que je peux t’aider et te montrer les bases de la photographie après pour ce qui est de ce que tu veux montrer, faire ressentir cela ne peut que venir de toi.

Je tirais des taffes sur ma cigarette laissant la fumé venir abîmer encore plus mes poumons ravagés par la maladie. Je secouais la tête me rappelant que je devais prendre mes médicaments. Je jetais par la fenêtre ma cigarette même pas terminé et alla dans la chambre afin de trouver mon sac de médocs après avoir dit à jeune fille que je revenais. Je sortis les médicament mucolytiques, Bronchodilatateurs et Corticothérapie. J’étais sortie de l’hôpital il n’y a pas si longtemps que ça et j’avais subit et malheureusement pour moi j’avais eu des crises d’asthme assez importante. M’enfin un fois mes médicament avalés je retournais vers la jeune fille qui m’attendait dans l’autre pièce. Elle voulait que je l’aide mais avant toute chose je voulais voir ce qu’elle savait faire mais surtout les photos qu’elle avait bien pu prendre. Je la vis toujours à la fenêtre fumant sa cigarette. Je lui fit par de ma présence par un raclement de gorge. Mauvaise idée, une quinte de toux s’empara de moi. Manquais plus que ça. Je mis ma main devant ma bouche. Et je perdais mon souffle. Je vis la jeune fille paniqué et je l’arrêta dans sa course par un mouvement de main.

- C’est pas… Grave… J’ai… L’habitude…

Je me dirigeais vers le lavabo afin de boire un coup. Ce qui eu pour effet de me calmer. Je me redressais, buvant la quantité d’eau nécessaire afin que je ne tousse plus. Je lui souris et finit par lui demander ce que j’allais lui demander plus tôt. Comme si de rien était je pris la parole.

- J’voulais savoir si tu n’avais pas par hasard des photographies réalisées par tes soins? J’aimerais bien voir ce que tu donnes.

Le jeune fille répondit sans mal à mes questions et ne se gêna pas pour manger. Cela me fit rire. Cette jeune fille tout juste sortie du collège me faisait rire et pour le coup me faisait oublié mes souci principaux à savoir… Ma dépression, ma tristesse et j’en passe et des meilleurs. Je mangeais sans craindre aucun jugement c’était de la pizza et c’était dur de manger ce genre de repas sans faire des tête affreuses. Une idée me vint quand elle me demanda si j’voulais une autre coupe de champagne et porter un toast à nos rêves je me levais et j’allais chercher mon appareil photo. De nouveau Cady mangeait un part de Pizza, je souris et le flash fit sursauter la jeune fille. J’explosais de rire.

- Ma-gn-if-ique…. J’adore… Non sans rire voilà j’ai pris ce que j’aime prendre. La vie de tous les jours, sans jugement, sans critique. Tu es adorable. Ne t’inquiète pas je ne la publierais pas, j’suis pas sûr que ta mère me laisse faire de toute manière.

Je bus de nouveau une gorgée de champagne et j’allais chercher mon paquet de cigarette et ouvrir la fenêtre qui libéra un air frais. Je souris quand je vis la jeune fille frissonner. J’allais dans ma chambre et sortie une pull noir de mon armoire… Je retournais près de la jeune fille et lui tendit.

- C’pas le moment de tomber malade, surtout dans notre métier… Ça te dérange si je fume une cigarette?

Elle me dit que non ça ne la dérangeait pas. J’allumais ma clope et tirais plusieurs taf. Avant de ne lui demander.

- Tu en veux une, j’suis désolée de ne pas t’avoir demandé plus tôt…

Étant donner que la jeune fille ne me répondais pas je décidais de commander une pizza jambon fromage. Je me réinstallais près de la jeune fille et elle me demanda d’évité de parler de ce genre de chose. J’accédais à sa demande et attendais qu’elle aborde un sujet quelconque. Je lui souris quand elle me posais la question qui devait certainement lui bruler les lèvres. Je riais et répondis à sa question.

- J’suis à Miami depuis un petit moment oui et sinon pour ce qui est de la photographie cela fait un p’tit moment aussi que je joue avec les appareils photos. C’est drôle que tu m’en parles mais j’devais avoir à tout cassé treize ans. Je marchais dans les rues et je tombais sur une vitrine remplie d’appareil photo. J’étais émerveillé par tant de splendeur dans un espace si petit. J’te promet, j’avais cru à la vitrine du père noël. J’étais entré dans ce magasin et j’étais trop jeune. La réplique du vendeur m’avait énervé une fois rentré chez moi j’avais demandé à mon domestique Sebastian d’aller chercher l’appareil photo il l’avait fait. Et j’avais prit tout et n’importe quoi en photo, mon chien, les jardins, les domestiques. Et j’ai pris goût à prendre des photographies. Et ce même avant que je sois devant les objectifs. J’suis devenue mannequin pour des raisons financière. J’ai le physique de l’emploi alors j’ai pas chercher bien loin. Mais j’préfère d’autant plus être derrière.

Je souris à la jeune fille et pris la parole afin de lui demander aussi de trois petites choses.

- Et toi alors Miami, New York, Chicago, Los Angeles… Et depuis quand fais-tu ce métier?

Je bus de nouveau une gorgée de champagne et repris un petit four. Ils descendaient à une vitesse. C’est alors que j’entendis sonner. J’allais ouvrir. Le livreur me demanda ce qu’il se passait en bas… Et je lui répondis que c’étai une exposition d’art contemporain. Il me regarda ahurit et je lui versais la somme à réglé ainsi qu’un pourboire conséquent. Je revins sur le canapé, une pizza à la main et j’en pris une part avant d’en proposer une à la jeune fille.

Oui, des profiteur malheureusement je n’ai pas la chance d’avoir une mére ou un pére prèsent pour me montrer la bonne voix. Après tout pourquoi aider leur fils à vivre sa passion, ce n’est que fioriture la photographie, il devra prendre la tête de l’entreprise un jour où l’autre. Voilà ce que me dirait mon père et ma mère suivrait automatiquement mon père. Je souris à la jeune fille et prit la parole.

- Si j’accepte tout ça c’est que au moins j’exerce ma passion, et elle ne reste pas méconnu aux yeux de tous. C’est le rêve de beaucoup de personne de pouvoir prendre les photographies et qu’elle deviennent un jours connu. C’était mon rêve il y a de cela quelques années. Et c’est la photographie qui m’a permis de sortir de l’emprise de la drogue… J’aime réellement ce que je fais, mes œuvres sont connus j’en suis ravi. Peut d’artistes arrivent à mon âge et deviennent connu ils leur faut des années voir même attendre qu’ils soient mort pour enfin s’intéresser à leur travails. Prenons exemple sur Van Gogh dans son village il était considéré comme un fou, il se faisait insulter, parfois même il subissait des violences physique et aujourd’hui il est connu dans le monde entier et ses œuvres sont vendues à des prix exorbitants.

Je fis une pause et bu une gorgée de champagne avant de ne reprendre la parole.

- Mes recherches, et travaux ne s’arrêtent pas au monde de la mode… J’essaye de retranscrire sur le papier ce qui nous entoure. On a beaux être des personnes pleine de grâce et être beau à en coupé le souffle aux yeux des gens il n’en reste pas moins que nous sommes des humains et que notre vie est loin d’être magnifique. C’est ça que j’veux montrer sur le papier glacé. Prenons exemple sur moi, j’suis beau, j’ai la carrure d’un mannequin, mais quand on me voit défilé ou alors quand on me voit sur les magazines qui se douterait une seule minutes que j’ai perdu mon meilleur ami, l’homme de ma vie et surtout que j’ai faillit perdre la vie? Personne ne montre l’envers du décor. Les émotions, les vraies émotions. Ce que nous ressentons au plus profond de nous.

Je pris la bouteille près de moi et je lui servit un verre. Je lui demandais si cela ne la dérangeait pas si je fumais une cigarette. Elle me dit que non cela ne la dérangeait pas et je lui offris un sourire et lui proposa une cigarette.

- Pour l’information des vernissage j’en ai bouffé pas mal… Je sais comment ça se déroule. J’ai fait office de présence au début de la soirée. De toute manière la moitié des personnes ne savent pas qui je suis ils pensent juste que je suis un invité comme tout le monde. Alors à quoi ça sert que je parle arts pendant plusieurs heures si mes interlocuteurs s’en fichent comme de l’an 2000. J’préfère être plutôt en bonne compagnie.

Je souriais à la blonde et mangeais de nouveau un petit four. Mais ça ne suffirait certainement pas mon estomac qui grondait famine. Je me levais et demanda à la jeune fille ce qu’elle voulait manger avant d’appeler le livreur.

Si seulement j’avais encore l’esprit naïf qu’elle avait. Oui c’est bien pour les début, on voit tout d’un très bon œil. Mais quand la passion que vous exercer devient des albums complet que vous devez rendre dans les plus brefs délai où se trouve la passion. J’aime autant photographié qu’avant si c’n’est même plus qu’avant. Mais les clauses du contrat stipule que je dois monter une exposition au maximum dans les deux mois qui suivent. Et ce qu’importe ce qui peut m’arriver. J’ai été à l’hôpital pendant un mois et demi et je déglutis quand mon agent me demanda de rendre au plus vite mes clichés. J’avais faillis mourir mais qu’est-ce qu’ils peuvent s’en branler que ma vie soit en jeu ou non. La seule chose qu’ils veulent c’est rapporter du pognon sur votre gueule. Je ne voulais pas casser les illusions de la jeune filles parce que de toute manière je ne le pourrais pas. C’est bien d’être ambitieux dans la vie… Mais le parcourt est semé d’embuche et il faut pouvoir les surmonter. La plupart de mes photographies était intimement lié à mes émotions. Je remontais doucement la pente je parlais de la mort de Chase pour commencer et surtout la rupture avec Sacha. J’avais de la peine, j’étais malade et les seuls amis que j’avais s’arrêtait à Luce. Oui heureusement qu’il était là ce p’tit bout d’homme. Parce qu’il me tenait la tête hors de l’eau. Je secouais la tête et pris la parole.

- C’est bien d’être ambitieuse jeune fille. Mais comme je te l’ai dit, j’ai montrer ma présence durant quelques minutes dans la salle. J’suis malade, j’ai faillit mourir il y a de cela un mois et demi. Je n’ai plus la force de rester dans ce genre de soirée. Je puise dans mon énergie. J’ai un traitement très lourd. J’vais à la fac mais mes cours sont aménagés. Je n’serais peut être plus là dans quelques mois mon temps est compté. Mais j’peux mourir dans huit ans comme le mois prochain. Au début oui j’pouvais tenir toute une soirée à parler avec un tel ou un tel. Cela ne me fatiguait pas mais aujourd’hui je n’peux plus. Je sais c’est triste et j’ai pourtant seulement dix neuf ans. La plupart des gens disent que j’ai la vie devant moi. Mais qu’Est-ce que ça veut dire la vie devant moi. J’ai peux de chance d’atteindre mes trente ans. Alors je préfère éviter de me fatiguer pour une soirée si cela écourte ma vie.

J’venais de lui dire que j’étais atteint d’une maladie. Je supposais que les journal people s’en donnait à cœur joie de balancer des rumeurs et certainement pariaient déjà sur ma mort. Je haïssais tellement ce genre de personne avide de tout savoir, tout connaître alors qu’au final ils ne connaissent rien. Je soupirais bruyamment avant de ne prendre un petit four que j’avalais en une bouchée. Quoi que vous m’direz c’est pas difficile d’avaler une mini quiche.

- J’essaye tout de même de vivre ma passion pleinement. Mais cette passion est devenue bien trop vite commerciale à mon goût.

Alors que nous étions arrivé au dessus la jeune fille devait se méprendre sur mes actions. Bon il était vrai que la plupart de mes actions pouvaient être prise pour de tels accusations mais tout de même je ne m’abaissa pas non plus à ce genre de fantaisie. Et puis pour tout dire enfin autant lui dire que de le penser. Je souris à la jeune fille et explosais de rire.

- Oh ne vous méprenez pas sur mes dire jeune fille, adorable fille d’Isabella.

Oui parce que je connaissais madame Isabella Dashwood. Je l’avais rencontrer à un défilé de mode. M’enfin si je venais à me rappeler de toutes les personnes que l’on me présentait j’étais décidément pas sortie de l’auberge. Je repris mon discours me mettant à sa hauteur c’est-à-dire me mettant debout.

- Écoute Cady, je n’suis pas intéressé par les filles. Je préfère et de loin la musculature d’un homme bien proportionné. Bon j’dois bien dire que je me considère comme une personne bi mais je pense être davantage homosexuel. Je n’aime vraiment pas ces soirées et j’dois bien avouer que mon corps ne peu rester bien longtemps debout. Je m’éclipse de plus en plus des vernissages et contrairement à ce que tu peux croire il est très rare que des filles ou des hommes de mon âge se présente à mes expositions à moins que je ne les y invite moi-même. M’enfin si tu veux partir d’ici je t’en laisse le choix. Je ne suis pas un vrai kidnappeur et encore moins un pervers détraqué.

Je m’approchais de la chaîne hifi et y mis ma clef usb dans le port prévu à cet effet. Un vieil air de musique rock retentit alors à mes oreilles et je souris. Je ne me lasserais jamais de ce genre de musique. Je revins m’asseoir dans le canapé préalablement quitté et reprit un verre de champagne. Seule collation que je buvais et ce que ponctuellement durant des vernissages comme celui là. Je regardais la jeune fille qui n’avait pas bouger.

- Écoutes Cady, je te l’ai dit si tu préfères aller faire bonne figure auprès des célébrités pour monter les échelons de la mode vas…

À quinze ans on est encore naïf on croit que c’est facile le métier. J’en ai bavé pour arrivé ici. Les galeries miteuses j’avais connus. Et heureusement que j’avais des sous et que je pouvais faire de la pub. Mais l’argent n’est qu’un petit moyen comparé au talent. M’enfin ce que j’en dis. D’ailleurs Sacha serait témoigner de mes débuts. L’homme de ma vie hein? Mensonges… Voilà que j’avais de nouveau des pensées sombres. Où était passé ma joie de vivre d’antan. Mon jeu d’acteur si parfait qui me valait les premiers rôles. Je n’arrivais même plus à cacher mes émotions.

Dashwood, Dashwood ça me disait vaguement quelque chose. Ça m’reviendrais bien d’ici là. Je sortis de mes pensées qui n’étaient autre que de simple recherche dans ma mémoire. Non j’trouvais pas d’où j’connaissais ce nom. La jeune fille blonde me dit qu’elle adorait mes photographies, c’était bien la première fois que quelqu’un me disait aimé mon travail avec autant de sincérité dans ce genre de soirée. Parce que la plupart des gens dans cette pièce, ne faisait que bonne figure. Faisant croire au reste du monde qu’il s’intéressait à la culture. Risible. Je souris à la jeune fille et lui fis un clin d’œil. Je vis arriver un photographe, j’étais déjà pas assez photographier comme ça il fallait encore que je me fasse photographier ici. J’invitais Cady à poser à mes côtés. Cela risquerait de faire jaser les magazines people. M’enfin je n’étais pas à une rumeurs près. Le photographe parti en direction d’autres invités et je ne pus m’empêcher de dire:

- Bon débarras! Ton nom de famille me dit quelque chose mais je n’arrive pas à mettre le doigts dessus.

Je regardais la petite blonde dans les yeux et la fit m’accompagner près du buffet. J’avais faim en effet mon appétit revenait de plus en plus. Je bu d’une traite mon verre de champagne. Et j’avais qu’une envie partir de cette salle aller ailleurs. Je pris une bouteille de champagne et un plateau de petit fours en tout genre. Je souriais à la jeune fille.

- Si j’te kidnappe tu m’en voudras pas hein… J’ferais c’que tu veux si tu m’accompagnes au dessus. J’déteste les vernissages. La plupart des gens restent hypocrite et essayent simplement de faire bonne figure. Ils n’y connaissent rien à l’art et c’est bien malheureux pour eux. Si tu veux voir mes autres photos j’suis d’avis qu’on se faufile dans la galerie quand il n’y aura plus personne.

Je lui souris et lui demanda d’attendre quelque minutes que je revenais. Je posais ma bouteille et le plateau sur la table et cherchais mon agent que je trouvais enfin. Je lui dis que je ne me sentais pas très bien et que je préférais monter dans l’appartement que l’on m’avait loué pour la soirée. Je revins vers Cady et pris la main de celle-ci.

- Ça ne te dérange pas? J’ai une santé un peu fragile. Et tu es visiblement la seule personne qui a en dessous de vingt ans dans cette salle.

J’avais continué la photographie et ce même si j’devais bien avoué que j’avais pensé arrêté pour de bon. Mon inspiration, ma muse se trouvait en Sacha et puis plus tard dans Chase. Mais aujourd’hui je n’avais ni Sacha, ni même Chase. Je n’étais pas au top de ma forme mais je devais travailler et rendre mes clichés avant que mon agent ne m’étripe. Je n’avais pas chercher bien longtemps quant à mes modèles. Mes collègues dans les mains des maquilleurs, dans celle des coiffeurs et stylistes en tout genre. Je n’avais donc pas chercher bien longtemps pour trouver mon inspiration. Mes collègues mannequins feraient de parfait clichés. Pas dans des poses que tout l’monde voix mais l’envers du décors comme on dirait. Le travail fournis. Les gens inconnus de tous mais qui fournissaient au moins autant d’effort que les top modèles connus de tous pour la plupart. Je secouais la tête alors que mon styliste avait tout fait pour que je passe entre ses mains, ainsi que mon coiffeur et même le maquilleur, pour le dernier je l’ai vite envoyer balader. J’veux bien qu’on me maquille pour les shootings mais il était hors de question que je passe au maquillage. Merde mes photographies étaient toutes basées sur le naturel et il voulait que je n’sois pas naturel. J’préférais même pas y penser. Je troquais donc mon jean, mon t-shirt ainsi que ma paire de converse pour un costume trois pièces noir de grand couturier tant qu‘à faire, avec une paire de chaussure de grand créateur. J’aimais pas vraiment tout ce chichi pour un simple vernissage. J’préférais être naturel… Le boulot c’était le boulot, la vie privée était la vie privée. Je mettais un point d’honneur afin de séparé les deux. Il y avait le James Stanford, top modèle professionnel et connu d’une part et de l’autre il y avait le James Stanford abattu par sa vie privée et qui se consacre entièrement à sa passion qui n’est autre que la photographie. Voilà l’heure était arrivé et bien sûr je devais être présent, mais je ferais mon entrée un peu plus tard. J’étais monté avec mon appareil sur le toit de l’immeuble et je pris plusieurs photos de la vue qui s’offrait à moi. Je m’appuyais sur le muret et m’allumais une cigarette. Je déglutis et soupirais pour me donner une once de courage. Je jetais ma cigarette et l’écrasais au sol. Je descendit les marches qui me séparaient de mon cauchemar. Faire bonne impression sourire donner des poignée de mains. Et surtout ne pas oublié les personnes importantes. Je franchis la ta porte d’entrée. Et tous les regards se posèrent sur moi. J’affichais mon sourire professionnel comme à mon habitude. Peu de temps après mon entrée plusieurs personnes vinrent à ma rencontre. Oui j’étais un artiste reconnu et je m’en mordais parfois les doigts. Si j’pouvais être absent durant ce genre de vernissage. En plus cela ne faisait pas bien longtemps que j’étais sorti de l’hôpital. Je vis alors une jeune fille observer mes clichés. Elle devait avoir pas loin de mon âge habillé avec une tenue plus ou moins chère sa tenue da la tête au pieds était confectionner par des grand couturier. Je me dirigeais vers elle une coupe de champagne dans la main. Et enfin j’allais pouvoir parler avec une personne de mon âge. Parce que ces rabats joies qui ont pour la plupart minimum dix ans de plus que moi. Je l’interrompais dans sa contemplation.

- Vous aimez?

Elle se tourna face à moi et je lui souris.

- Je suis James Stanford…