HÉLOÏSE GAULTHIER-MAUROY ϟ TERMINÉÉ.

« Héloïse est une jeune fille de corpulence minimale pour sa taille, mesurant un mètre soixante-dix pour cinquante cinq kilogrammes. Ses yeux sont bruns et ses cheveux eux sont blonds, longs et lisses. Elle ne passe pas une heure tout les matins dans sa salle de bain à se préparer, non, dix minutes lui suffise, même moins. Elle s'habille d'une façon simple et ne cherche pas à se démarquer du reste, elle veux rester simple, ordinaire, elle-même. Elle peut s'habiller avec une robe en plein hiver et un gros pull en été! Ce qui l'importe, c'est de faire comme elle le souhaite, elle ne se soucie en aucun cas du regard des autres et cela ne risque pas de recommencer. Son style vestimentaire est simple, elle à tendance à souvent porter des robes, car elle s'y sens plus à l'aise, elle peux aussi très bien porter un short avec des chaussettes montantes rayées, cela ne la dérange pas. Elle est simple, jolie et ordinaire et ne cherche pas à changer. »

« Héloïse est une jeune fille assez simple à comprendre, bien qu'elle ai un caractère très enflammé. Elle déteste que l'on parle de son père, car d'un côté, elle le déteste, mais d'un autre, elle l'adore. Elle n'est pas du genre à s'énerver dès que l'on dis quelque chose sur elle, mais étant très sensible, si on en fait trop, elle finit par vraiment être en colère. Elle est très distante, elle n'aime pas trop parler avec des gens, si bien qu'elle n'as pas beaucoup d'amis. Les seules personnes en qui elle sait qu'elle peut vraiment avoir une totale confiance, ce sont c'est frères. Elle n'aime pas dire qu'ils sont ses "demi-frères", car au fond, ils sont ses véritables frères, personnes ne pourrait les remplacés. Elle est très attachée à eux et ne supporte pas d'être éloignée d'eux trop longtemps. »

« Héloïse est née le dix-neuf août 1995 à Paris, en France. La jeune fille ayant vécu aisément avec sa mère dans une grande maison de la banlieue parisienne, elle est donc habituée au luxe et tout le reste. Son père n'était présent que très peu de temps, et Héloïse en souffrait beaucoup, étant donner que sa mère voyageais beaucoup. Elle se retrouvait seule la plupart du temps, et n'avait pas beaucoup d'amis. Les gens la trouvait trop ... snob. Oui, c'était sa. Du fait qu'elle était riche, les gens ne l'aimait pas. C'est à l'âge de 8 ans qu'elle commença à jouer de la guitare, puis du piano, et même de la flûte traversière. Elle noyait sa solitude dans la musique et la photographie. Elle ne faisait que sa de ses journées. Elle avait l'habitude, directement après être rentrée de cours, d'aller dans sa chambre, et de jouer d'un instrument. Elle avait aussi commencer à apprendre le violon, ce qui fait que sa chambre n'était même pas assez grande pour contenir tout ses instruments. Vu qu'elle avait la maison pour elle toute seule la plupart du temps, elle aménagea une pièce spécialement pour sa musique, une où elle développait ses photos et une troisième, où elle se réfugiait pour dessiner, peindre ou écrire.

Sa mère ne revenait qu'une fois par mois, pendant deux-trois jours, pas plus. Héloïse avait 14 ans, lorsque sa mère se décida à rester plus d'un mois. Elle ne le fit qu'une seule et unique fois, pour une raison très précise. Sa mère, Annabelle Gaulthier, lui demanda de s'installer sur le sofa du salon. Héloïse savait que lorsqu'elle lui demandais cela, c'était pour lui annoncer une mauvaise nouvelle.

ϟ Héloïse, il faut que je te dise quelque chose. Nicolas, enfin, ton père, est mort. Il s'est fait tiré dessus, hier. Je n'ai appris la nouvelle que se matin et suis rentrée immédiatement pour te l'annoncer. Je ne voulais pas que quelqu'un d'autre te l'apprenne.

Héloïse n'en pouvait plus. Les larmes avaient commencées à coulées dès que sa mère eus prononcer son prénom. Elle ne l'avais plus vu depuis presque un an, et voilà qu'elle ne le reverrait plus jamais. Il était parti. Elle ne pourra plus se blottir contre lui. Plus jamais ...

Un an plus tard, sa mère semblait s'être remit de la mort de son père, mais Héloïse n'en était que plus éprouvée. La jeune fille avait quinze ans. Elle avait reprit son quotidien. Pleurer, jouer d'un instrument, pleurer, écrire, pleurer. Elle ne pouvait pas le retenir. Mais lorsqu'un jour, un jeune homme nommé Ephram arriva à la maison, Héloïse eue un sentiment bizarre, un sentiment qu'elle n'avait jamais ressenti. Ephram voulait lui parler, à elle, à Héloïse.

ϟ Héloïse, je suis Ephram. Je suis .. le fils de ton père. Je sais que c'est insensé mais c'est vrai. Nous avons le même père, mais deux mères différentes. Je suis ton demi-frère. Lorsque notre père est mort, il m'as avouer ton existence, je n'ai pas tout de suite réalisé, mais j'ai commencer à te chercher depuis longtemps. Je voulais te retrouver, te rencontrer. Mais je ne suis pas tout seul. Tu as encore deux demi-frères. Ils ne sont pas venus avec moi, je ne voulais pas les emmener aujourd'hui.

Trois demi-frères, et elle n'en savait rien du tout ? Héloïse n'en croyais pas. De un, la mort de son père. Ensuite, un demi-frère inconnu qui débarque à la maison. Et ensuite, il y en a deux autres ! Héloïse en apprenait trop. Lorsque Ephram repartit, Héloïse eue besoin de réfléchir. Elle monta dans sa chambre, suivis par sa mère.

ϟ Ma puce, je sais que c'est difficile à croire, mais c'est la vérité.
ϟ T'étais au courant ?! Pourquoi tu m'as rien dis !
ϟ Ton père voulait que j'attende qu'il meurt, ou t'es 18 ans, pour te l'annoncer ...
ϟ Mais... c'est vraiment mon demi-frère ? Comment sa se fait ?
ϟ En réalité, quand j'ai rencontrer ton père, il était marié. Je l'avais appris, mais j'ai préférer ne pas lui en parler.

C'en était de trop. Héloïse ne pouvait pas y croire. Elle décida de tout écrire dans son journal intime, et essaya de s'y faire. C'était dur, mais elle y arriva.

Aujourd'hui, Héloïse à 16 ans, elle est parti à Miami vivre avec ses trois demi-frères, avec lesquels elle s'entend très bien. Elle à toujours des moments de doute, des moments où elle se dis que c'est impossible, mais tout est vrai, mais Héloïse s'y fait et vis avec pour le meilleur et pour le pire, mais surtout pour le pire, pour tout vous dire.»