Anaïs Simon [terminée !]

« Anaïs est une jeune fille plutôt petite (1m55) mais bien proportionnée. Malgré sa taille, elle a de longue jambes, une allure grâcieuse. Son visae possède des traits fins, encadré par des cheveux mi-longs châtains avec quelques petites mèches dorées. De grands yeux marrons, avec une grande profondeur dans le regard. Des lèvres douces, légèrement rosées et un teint de pêche. Anaïs ressemble à une poupée de porcelaine.Elle est jolie et a quelques succès auprès de la gente masculine.
Côté vestimentaire, la jeune fille reste assez classique, prônant la discrétion, mais néanmoins elle reste féminine. Elle choisit des habits qui mettent un mimimum ses formes en valeur mais ne pousse jamais dans la provocation.
Elle ne possède en revanche que très peu de bijou, excepté un pendentif représentant la croix du Sud, qui lui vient de son père, ainsi que des boucles d'oreilles discrêtes en forme de diamant.
Anaïs ne se maquille pas trop. A part un peu de crayon, de fard et de rimel pour les yeux, la jeune fille ne met rien d'autre. En soirée, elle se permet une petite fantaisie : Du rouge à lèvre ou du brillant, tout dépend de son humeur ou de ses envies. »

« Anaïs est une fille très calme et discrête de nature. Elle aime beaucoup se réfugier dans son monde, grâce aux livres qu'elle ne cesse de dévorer un à un. Dans un premier temps, elle semble assez distante et froide face à des gens qu'elle ne connaît pas, elle n'aime pas beaucoup faire de nouvelles rencontres, étant quand même assez suspicieuse. Mais si on creuse juste assez, alors la froideur laisse place à une grande douceur. Elle est souriante, gentille et très à l'écoute avec ses proches. Elle écoute plus qu'elle ne parle en général, mais ça ne semble pas vraiment choqué ses amis qui l'ont toujours connu comme ça après tout.
Cette jeune fille n'est pas du genre à aimer la solitude plus que n'importe qui. Comme tout le monde, elle n'apprécie pas forcément d'être sans arrêt toute seule. Mais son besoin de calme lors de ses lectures l'entraîne dans une bulle. Et dans cette bulle, elle se sent bien, en sécurité.
Anaïs est une gentille fille, mais il ne faut pas non plus la prendre pour une naïve. Si on la cherche, on finit par la trouver. Elle sait montrer un fort caractère quand il le faut, et n'aime pas non plus qu'on s'attaque à ses amis. Malgré tout, pour la mettre en colère, il faut aller loin. C'est quelqu'un de vraiment très calme de base, qui ne cherche jamais les problèmes. »

« Anaïs est née en France, dans la ville de Versailles, ce cher Roi Soleil. Elle y a passé toute son enfance et une partie de son adolescence. Elle est née d'un père français et d'une mère américaine. Peu après sa naissance, ses parents ont divorcé et c'est le père, rare mais ça arrive, qui obtint la garde de sa fille. La mère d'Anaïs repartit aux Etats-Unis, à Miami pour poursuivre une carrière de mannequin. La jeune fille alla la voir pendant les grandes vacances, mais passé un certain âge, Anaïs refusait de rendre visite à sa maman, qui était bien trop occupée avec son travail.
La jeune fille avait des amis qui lui étaient très proches et avait une grande complicité avec son père. Rien n'aurait du troubler une nouvelle fois cette famille. Mais la vie est cruelle en soi, tout le monde le sait ... Le père d'Anaïs succomba dans un grave accident de voiture. Mort sur le coup, ce qui fut très difficile à accepter pour sa fille. Elle avait à peine 14 ans quand, au bout de quelques semaines seulement, le tribunal décida de l'envoyer à Miami pour retrouver son autre famille : Sa mère.
La transition au niveau de la langue n'a pas été dure, Anaïs étant bilingue depuis petite. Ce qui a été particulièrement douloureux, ce fut de quitter sa ville natale, tous ses proches, et de porter le deuil, tout ça trop rapidement. Quand sa mère prenait la peine de rentrer de temps en temps à la maison, Anaïs faisait son maximum pour rendre imopssible leur quotidien.
Après deux ans de rébélion inutile, la jeune fille alla se réfugier dans un monde à part. Elle aimait déjà beaucoup la lecture, mais cette passion doubla avec le temps. C'était un moyen de la calmer, de l'apaiser, de la faire voyager loin. Grâce à ces histoires, elle réussi a se former une sorte d'équilibre et redevint peu à peu la jeune fille qu'elle a toujours été. Très bonne élève depuis l'enfance, Anaïs déccrocha une bourse, ne voulant surtout pas que sa mère investisse le moindre argent pour elle.»