i don't like the drug but the drug likes me [FINIE]

Nippon. Il est de ces gens dont l’appartenance ethnique se voit de loin. D'abord par des yeux bridés immenses au naturelle bleus mais souvent masqués de lentilles claires, presque blanches. Un teint halé, comme du miel tout en restant pâle. Reflet de sa naissance dans le sud de l'Empire du Soleil Levant. Il a des cheveux blonds et brillants aux racines noires, souvent coiffés de manière extravagante, parfois teints, selon son envie. Le tout dans le but de ses faire remarqué. Il a une grosse bouche généreuse et belle, décorée de piercing en séries.. Il se maquille aussi. Les yeux, abondements. Du crayons noir sur ses paupière. Inégalable dans sa volonté d'androgénie. Malgré tous ça. Son visage reste d'un inégalable beauté. Fin aux formes gracieuses. Contrairement au autres personnes apparentés à ce style souvent perçus comme extrémiste et anticonformiste et antisocial, dévergondé il en demeure gracieux dans sa façon de l'agencer. Ce gothisme aux limites du visual keisme extrême lui sied on ne peut mieux. Il est de ses personnes dont le visage plein de caractère semble fait pour des styles aussi antisociaux. Mais comment définir ce look? Disons simplement que ses vêtement poursuive comme un reflet l'agencement de son visage. Des habits faussement déchirés, négligés aux couleurs sombres ou colorées, selon son humeur. Il se fard d'accessoires divers et variés, pendentifs, colliers de chiens, bracelets cloutés. Un carnaval d'instruments parents des ustensiles sadomasochistes. Bref, vous l'aurez compris, Angel n'a rien de conforme, ni dans sa façon de s'habiller, ni dans sa façon d'être que nous développerons plus bas

« Celon les gens, il ne serais qu'un Cruel barbare Épicurien au sadisme enivrant mais maîtrisé, il ne se complaît qu'avec le malheur des autres dont elle se nourrit et qu'il envenime. Ne penser pas ici qu'il n'est qu'un bourreau mauvais et pourris. Non, un bourreau ne se contente que des victimes qu'on lui impose, lui, il se nourrit de ceux qu'il choisis, ceux qui lui font du mal, qui lui ont fait du mal. Il avale la douleur comme les dieux le nectar, il saisis et contamine, pourris gangrène et viole l'âme, le coeur et le corps de gens. Il n'en est point pour autant haïssable, car il commet tous ceci dans l'ombre de son crâne et de ses secrets. Écrasant votre crâne, il vide votre cervelle et excise vos souvenirs les meilleurs, ne laissant que les pires, ce avec une précision chirurgicale. Et vous n'aurez aucun répit, car une fois qu'il vous auras eu, il ne vous lâcheras plus. Investissant tous ce que vous êtes, il vous voleras vôtre être et se proclameras maître de céans. Mais pourquoi vivre ainsi? Est-il vraiment qu'une bête, ou n'est-ce qu'un masque qu'il porte? Pour se protéger? A-t-il trop vécu, est il mort à l'intérieur? Que cache cet personnalité haïssable? Seul lui le sait. Seul lui sait à quel point il est fragile, sensible. Meurtris, il est obligé. Obligé de sa cacher aux autres, mais pas à lui même. Il n'a plus le droit de se laisser aimer, alors il doit se faire haïr. Tel est là punition qu'il choisis. Se subir lui même. Enfin choisis est un bien grand mot car on ne peux pas se battre contre soi-même. Du moins pas directement. Il faut passé par la mémoire, notre chaine, et la purger, catharcis interne, purification des souvenirs, distilation des réminiscence, l'oublie, enfin... Mais comment peut-on oublier ce genre de chose, comment peut-on oublier qu'on est un monstre? Il est des gens qui oublie les choses au fur et à mesure, ou se trouve des excuses, il est des gens qui ne feront jamais face à leur vrais portrait, masquant ce qu'ils sont, même a leur propre personne. Acteurs antiques de la pièce de leur vie, ils dansent et chantent derrière des masques, préférant se caché, ne pas faire face. Mais lui, il n'est pas de ces gens là, il ne se voile pas, il subit son reflet qu'il appercois à travers les miroirs de ses yeux et ceux de ses souvenirs. il ne s'est jamais cachée à lui même, mais il s'est toujours cachée aux autres. Préférant ne rien revelé de ce qu'il est. La douleur est assez intense lorsque qu'on se juge soi même pour une telle atrocité, mais que cela peut-il vous faire lorsque c'est les autres qui vous jugent? Que savent-ils eux? Comment peuvent-ils comprendre? Leur cruauté n'auras beau avoir aucune limite elle n'auras non plus aucune base. Il diséqueront les dires de cette pauvre créature, et les transformeront, chirurgie plastique du verbe. Il en feront une arme. Alors il préfère se cacher derrière ce masque de salopard. Il préfère se refuser toute amitié et tout amour. Pour ne plus blesser personne et pour ne plus être blesser.

Ce masque dont je vous ai parler plus haut, ce masque qui, contrairement à ce que l'on peut croire, n'est pas immuable. Il suffirait de peu pour le changer, i l aurait juste besoin d'amitié, d'amour...

NB:

-Végétarien
-antireligieux
-addict à:- la nictoine
-Le cannabis
Ne vie que pour la musique.

Enjoy. »

« Angel est né il y a de cela 17 ans, dans un village perdus au sud du Japon: Kumamoto. Il est né parmi les hêtres immenses, comme des golem que la nature a eu voeu de planter, si caractéristique du paysage nippon. Il est né parmi les hérons. Pouvant chaque jours caresser des yeux une des plus belles créations des Bakemono: Les forêts sauvages japonaises. Ces temples immenses aux voûtes de verdures dont l’architecture rendrait fous Mnésiclès de par sa pureté et sa grâce.Son père, mi-nippon, mi-américain le nomma Angel, sa mère Yamiko. Le père était instituteur et la mère vendeuse au shinise du village. Une sorte d'épicerie/bar/tabac.

A sa naissance, les médecins s’inquiétèrent beaucoup. Il ne pleurait pas, ne riait pas et pis encore, ne bougeait pas. Il se contentait de téter, encore et encore, il était un machine à digérer du lait. Cet état végétatif dura 3 ans, 3 ans durant lequel Angel ne fut qu'un larve. Tous changea le jour de ses Quatre ans.

Ce jour là, le soleil pâle se levait sur un triste journée aux échos de moussons. Les nuages bas s'empalaient aux arbres tandis que la lune doucement glissaient vers la nuit d'occident. L'enfant dormait encore à poing fermés. Il ne bougeait pas, ne faisant aucun bruit, on aurait pu croire qu'il était mort si l'on avait pas entendu la respiration lente et profonde qui agitait son torse et résonnait dans la chambre nue. Ce jour là, ces parents avaient décidé que, malgré son état, il irait quand même à la prière avec eux. C'était la première fois. Le levant et l'habillant ils partirent jusqu'au temple. C'est là que tous ce noua. Assis sur les genoux de sa mère, Yumiko regardait d'un regard vide son père se prosterner, encore et encore avec une dévotion presque risible. Enfin un des Priants Fit glisser ses doigts sur son Yamatogoto*. Dès que les premiers accords résonnèrent dans la pénombre du temple, l'enfant sourit et dit:

-Aika**! Aika! Aika!

Le père arrêta subitement toutes prières et se retourna vers l'enfant.

-Il a parler! Il a parler!

La Priant s’arrêta de jouer. Il avait entendus parler de cet enfant, il avait conseiller à ses parents de s'en débarrasser et pourtant, sa musique l'avait réveiller. C'est ici que commence l'éducation musicale de Yamiko, il avait l'oreille absolu et se révéla un musicien prodigieux, en deux ans, il avait la maîtrise complète du Yamatogoto. Quand il eut 10 ans, il jouait du piano et du piano et Yamatogoto parfaitement et il entame l’apprentissage du violon. Son père l'avait inscrit dans une école anglo-japonaise. Très vite, il se révéla doué pour les langues et le dessin, le chant aussi. Un jour, son père décida d'aller vivre à Londres pour rejoindre son père mourant. Ce déménagement fut un déchirement pour l'enfant. Entre temps, sa mère avait vendu le shinise et avait reçu l'héritage de sa mère, étant donner qu'elle était fille unique cet héritage s'élevait à des sommes énormes. Sa mère était mariée a un ancien diplomate. Bref, c'est ainsi qu'il arriva à Londres. Ses parents, voulant le meilleur pour lui décidèrent de l'envoyer à Wynwood, voulant tout aussi isoler le plus loin possible d'eux ce fils qui commençait à les répugner. Ce qui c'était passer, son secret, l'avait définitivement arracher aux cercles familiale.

Veuillez donc accueillir, notre chanteur, violoniste, pianiste et yamatogotiste de talent.

*Sorte de longue cithare
**Musique triste »