Je suis indispensable, comme la drogue. -fiche terminée-

Id Card ÂGE : 18 ans DATE DE NAISSANCE : 24 décembre 1994 LIEU DE NAISSANCE : Dublin mais anglaise CLASSE: 12th grade CONFRERIE : Khi Omikron   RICHE OU BOURSE D'ETUDE : Riche. AVATAR: Cara Delevigne. SCÉNARIO OU PI ? Personnage inventé.

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→ Cara Delevigne [color=red]ϟ[/color] Y. Maxine Dawson

Maxine est grande, très grande, un mètre quatre-vingt-trois exactement. La silhouette élancée et un corps squelettique, elle a un visage aux traits fins et aux sourcils noirs et épais. Les cheveux blonds cendrés, ils sont toujours en pétard. Elle accommode son style du jour à ses humeurs. Elle peut passer de quelque chose de très sombre à des vêtements jaunes pétants. Elle ne fait pas vraiment beaucoup attention à son style mais fait en sorte d'être bien habillée. Elle ne se maquille pas beaucoup, ce n'est pas son truc. Elle a un style plutôt garçon manqué mais à hériter du sens de la mode de sa génitrice et sait s'habiller quand il le faut. Adorant les baskets et les bonnets, elle en a une collection impressionnante et en porte dès qu'elle peut. Maxine aime aussi mixer les styles, ça lui permet de se démarquer, ce qu'elle adore faire. Sportive, elle adore porter des joggings pendant ses temps de repos, à la maison. Elle est très sweat, casquette, basket. Elle adore ses épais sourcils et cheveux blonds tout le temps ébouriffés. Elle a toujours l'impression que c'est de la paille, malgré ses efforts pour les entretenir. Elle change beaucoup de coques d'iphone aussi. Elle en a une pour chaque occasion. Sur ce point-là, elle l'avoue, elle fait gamine, mais elle s'en fout. Elle pourrait sortir en pyjama sans problème, portant souvent un short de basket et des t-shirts extra larges pour dormir. Elle a hérité d'un corps très fin et très musclé, comme sa mère, ce qu'elle n'aime pas reconnaître.




 Venant d'une famille qui lui mettait la pression au maximum, elle ne se sentit pas à sa place très tôt. Sa mère, mannequin anglaise de renommée mondiale et sa sœur, Poppy, ayant suivit sa voie, on attendit de Maxine qu'elle soit leur copie conforme, tout naturellement, l'habituant dès l'enfance au rose, aux vêtements de luxes et aux spotlights. Pourtant, elle, elle était plus attirée par les petites voitures et les jeux vidéos, ce qui créa de grande disputes avec sa sœur et sa mère qui la traumatisèrent. Elle suivit tout de même le chemin que sa mère lui imposait mais souffrait. Elle souffrait d'un manque d'identité, commençant à se mutiler. Elle était mal dans sa peau, dans ses vêtements et tout ce qui suivait. De plus, étant assez jolie, elle se fit intimider à l'école. Pendant longtemps, très longtemps. Elle se faisait petite, elle subissait et se taisait. Malgré son fort caractère, elle gardait tout pour elle. Jusqu'aux jour où elle se rebella. Perdant tout son sang froid, elle se mît à faire des coups bas plus salaces et méchant les uns que les autres. Malgré tout, ce n'était pas pour autant qu'elle s'était trouvée. Elle souffrait un peu moins, c'est tout. Elle n'est pas trop love Story. D'ailleurs, elle n'est jamais sortie et n'a jamais embrassé personne. Froide aux premiers abords, elle peut paraître réservée et snob mais, en creusant un peu plus au fond, on découvre une jeune fille marrante et folle. Toujours prête à rigoler. Par contre, elle est un peu trop naïve et fait confiance assez rapidement. Elle est facilement manipulable mais quand elle s'en rend compte, elle peut devenir très méchante. Très rancunière, elle ne pardonne jamais. Elle n'est pas bipolaire mais change facilement de caractère. Un peu tête en l'air, elle oublie vite les choses qu'elle doit faire dans la journée. Elle ne mange jamais et saute tout ses repas sauf le petit déjeuné et quelques grignotages. Elle adore les jeux vidéos et pourrait passer ses journées à ça. Pourtant, assez simple d'esprit, elle pourrait s'occuper avec n'importe quoi. Elle n'aime pas qu'on fouine dans ses affaires et qu'on cherche à connaître son histoire car si jamais elle avait des confessions à faire, elle les aurait faites. Elle est très discrète sur le sujet familial et présente sa famille comme composée uniquement de son père, et d'elle.


Maxine Yaël Dawson, enchantée.
Mon histoire ? Elle est longue et vraiment pourrie.
Croyez moi, je l'ai vécue.



Mon enfance, on ne choisi pas sa famille, comme on dit.

 

Je suis née par accident. J'étais pas désirée. Mes parents voulaient un seul enfant, parce que d'après eux, trois, c'est le chiffre parfait, eux compris dedans. Vous vous attendez sûrement à ce que je vous dise que même si je n'étais pas désirée, on m'a aimée comme si j'avais toujours été là ? Bah non. J'ai eu l'impression d'être de trop. "Mais on te met la pression parce qu'on tient à toi chérie !" Cette menteuse, c'est ma mère. Une mannequin mondialement connue qui attendait à ce que je fasse comme elle. Ma -super- famille est composée de mon père, rockeur de légende, ma sœur Poppy, la copie conforme de ma mère, en moins jolie, bien sûr. En grandissant, j'essayai de me consoler de mon manque affectif par la musique et mes études. La seule chose dont je remercie plus que tout ma mère, c'est de m'avoir fait prendre des cours de pianos et de guitare. En fait, je me concentrai plus sur mes études. J'avais pas envie de devenir mannequin, depuis toute petite. C'était juste pas pour moi. Moi, je voulais devenir auteur et compositrice. J'avais l'impression d'y avoir une vraie chance. Puis, j'étais persuadée de ne pas être assez belle pour être mannequin. Mais j'étais enfant, alors j'ai subi. J'ai subi sans rien dire. Sans broncher quand elle m'enfilait des robes roses nunuches, quand elle me mettait du gloss à la pêche dégueulasse, quand elle faisait jouer avec les filles de ses fausses copines mannequins superficielles et qui n'ont rien dans le crâne à part leur petite personne, les fringues et les collections de mecs de "notre classe sociale" comme elles disaient. La primaire, ça allait encore, mais il y a eu le collège et mon adolescence avec.

L'adolescence, cette merde de cap à passer avant de devenir quelqu'un de bien.

Au collège, parce que j'étais assez jolie, je me faisais insulter de traînée et je me faisais taper. D'un côté, j'avais la pression familiale, de l'autre, j'avais la pression scolaire. Boom. Je n'avais aucun moyen d'échapper de la vie, à part l'étude. Alors, je donnai aux "populaires" deux fois plus de raisons de me taper. J'étais intelligente et belle. Tout ce qu'elles n'étaient pas. J'étais assez solitaire. De toute façon, je voulais traîner avec personne. Puis, il y a eu le basket. J'étais la plus grande de toute ma classe. Je m'étais dit que, peut-être, je pouvais essayer de m'arranger, ça me changerait les idées aussi. Je passai brillamment les qualificative. J'étais pris dans l'équipe. J'eus un choc. Ça m'avait fait vraiment bizarre, que pour une fois, on veuille de moi. De toute façon, j'étais la seule asperge entourée de mecs. Personne ne pouvait venir m'emmerder. Alors, d'abord, je me suis mise à jouer mollement. Puis après, je m'y suis vraiment mise, y mettant tout mon cœur. Mais tout de même, je restai concentré dans mes études. En vrai, c'était les deux heures de la journée où j'étais tranquille et où je ne pensais plus à rien. Puis, arriva le lycée. Boom x2. J'eus un déclic. À ce moment. Je crois que j'en eus marre. Un matin, je me suis rendu compte que je fonçais droit dans le mur. Alors, je suis arrivée au lycée et je me suis mise à gueuler à chaque personne qui me touchait, me frôlait ou bousculait. À l'entraînement, chaque panier raté, c'était un juron de plus. J'ai commencé à tenir tête à ma mère et ma sœur. Seul mon père me comprenait. Il était le seul qui voulait mon bonheur, même si je devais devenir basketteuse. Pourtant, je savai que, secrètement, il rêvait que je reprenne le flambeau musical. Je chantai juste comme ça, ce n'était pas une passion, plus un divertissement. Poppy, elle, elle était du côté de ma mère. On se disputait chaque fois, parce que, chacun je devais aller au basket et je sortais en tenue négligée. Après tout, j'allai pas à la fashion week. Au fil du temps, je développai un caractère de merde. Le premier m'approchant allait devoir faire face à un monstre. Ma terminale, j'aurais pu la sauter. J'étais très forte. Mais je ne l'ai pas fait. Mes profs m'appelaient le génie. C'est moi qui donnais cours à leur place presque. On m'avait fait passer le test de fin d'année en septembre, à la rentrée, en terminale. Je l'avais réussi avec 99,9%. Remarquable, n'est-ce pas ? Mais je restai en terminale, malgré tout. Sauter d'une classe ne m'intéressait pas. Changer d'école, oui. Parmi toutes les écoles existant sur cette terre, je choisis Wynwood. J'y fus acceptée sans problème au grand dam de ma mère qui croyait qu'en quittant mon lycée, j'allai abandonner mes études pour le mannequinat. "Désolée maman, je suis une intello, et je le resterai. De toute façon, il te reste toujours Poppy. Soyez heureuse dans votre monde de faux et de coups bas. Après tout, si devenir esclave, c'est votre truc." Furent les derniers mots que je lui dis avant de quitter la maison. J'allais donc en terminale à Wynwood, à Miami. Mon père promis de venir m'y rendre visite tous les mois. Il ne voulait pas me laisser partir au départ. Après tout, j'étais sa petite fille. Malheureusement, avec le changement, je quittai mon équipe de basket à contre-coeur. De toute façon, je devais me consacrer à mes études car je compte bien réussir avec ma tête et pas autre chose.

Prénom/Pseudo : Lee Âge : 14 ans. Où as-tu connu le forum ? : Grâce aux partenariats :3 Une remarque particulière? : Non :)[/i]

(c) Suika