Your character :Name : Lignuss
Surname : Johanne Ruby
Age / Birthday : 27 ans, née un 9 Juin.
Class : Enseignante de biologie.
Confrérie : Aucune.
Rich or just having a Scholarship ? : De classe moyenne.
Physical description : Plus que belle, Johanne est surtout charmante. Néanmoins elle reste agréable à regarder, ne nous voilons pas la face. Sur son crane se dresse une impressionnante masse de cheveux hirsutes, indomptables, d'une couleur brun foncée. Elle les porte généralement attachés en une queue de cheval haute. Par généralement, j'entends au travail. Dès qu'elle quitte sa salle de classe elle les détache, les laissant tomber sur ses épaules bien faites. Épaules peut-être un peu larges, un peu trop musclées aussi, mais c'est là le lot de toutes nageuses. Depuis toutes petites en effet elle exerce la natation ayant déjà participé à des compétitions de haut niveau par le passé. Elle a donc une stature athlétique qui contraste particulièrement avec son visage, rond et juvénile. On dit toujours qu'elle ne fait pas son âge. Rien de plus vrai. Ses traits ne sont absolument pas marqués, rajeunissant l'ensemble de quelques années, bien que depuis quelques temps quelques rides d'expressions apparaissent ça et là, conséquence normale pour cette jeune femme si souvent souriante. Ses yeux, marrons eux aussi, sont assez grands, pas énormes certes, mais ils détonent tout de même dans ce visage. Leur couleur clair n'aide pas à les cacher, contrastant particulièrement avec ses cheveux. Ils sont extrêmement expressifs ce qui lui vaut de ne jamais réussir à masquer ses émotions. Quant à son nez il est droit, sans être long. Un jolie nez au milieu de ce visage tout en courbe.
Revenons à ce corps que je vous disais athlétique. Bien sur, elle n'ait plus aussi svelte et musclée qu'à l'époque où elle nageait tous les soirs de la semaine, néanmoins elle reste encore fine et certaines parties de son anatomie n'ont pas entièrement perdues leurs musculatures. Ses fessiers restent donc hauts et bien ronds... un peu comme son ventre d'ailleurs qui n'est plus aussi plat que dans sa jeunesse. Elle le cache souvent sous des hauts amples, préférant mettre en valeur sa poitrine honorablement gonflée, peu tombante, qu'elle aime à décrire en disant « en forme de poire ». Ses bras et ses jambes présentent des muscles fins qui se dessinent sous sa peau. Elle trouve cela irrésistible et n'hésite donc pas à les mettre en valeur, surtout ses gambettes, à l'aide d'habits dénudant ses épaules et ses bras, ainsi que dans des shorts assez courts.
Elle fait une taille honorablement -1m70- bien que parfois, elle se trouve un peu petite. Pour palier à cela, elle porte souvent des talons qui, combinaient aux shorts évoqués quelques lignes plus haut, donnent l'impression que ses jambes font 2 mètres de long. Tout cela n'est qu'illusion bien sur. Elle porte un tatouage sur l'épaule gauche, vestige de son adolescence, les mots ''Carpe Diem'' qu'elle avait décidé de ce faire tatouer après avoir visionné pour la nième fois le cercle des poètes disparus. Sa peau est d'une couleur assez commune. Ni particulièrement bronzée, ni chocolatée, pas vraiment blanche non plus. Ce rose blanchâtre tout ce qu'il y a de plus normal... A certains endroit on peut voir différentes cicatrices, laissées par des cascades à vélo ainsi qu'une dans le bas de son dos, vestiges d'un bout de verre qui s'était enfoncé là. 34 points de sutures, rien de plus, rien de moins. Ses mains sont très petites pour celles d'une personne adulte, chose légèrement handicapante, mais pas vraiment obsédante.
Moral description : « La première chose qui m’est venue à l’esprit quand j’ai rencontré Miss Lignuss… et j’en ai encore honte aujourd’hui… c’est qu’elle était un peu… stupide. Elle restait dans son coin, ne disait rien… ne posait jamais de questions non plus. Et puis un jour, alors que nous étions seuls, elle a bégayé quelque chose en baissant la tête. Une remarque des plus pertinentes sur l’une de nos expériences. Je ne sais pas trop pourquoi elle n’a pas poursuivi ses études… c’est dommage, elle était douée. »
E. Bradford, Maitre de Stage.
Pour commencer Johanne est timide. Horriblement timide. Aux premiers abords, elle n’osera presque pas parler. Toujours en retrait, elle présente un caractère profondément effacé. Elle garde souvent la tête baissée lorsqu’elle se retrouve dans un nouvel endroit. Mais une fois sa peur première effacée elle se comporte plus ouvertement, allant même jusqu’à quelques explosions de pures folies. Elle n’est pas introvertie, juste timide. Ce problème a été en partie réglé grâce à quelques années passées sur les planches, en amateur bien sur. Ainsi parler en public ne la dérange pas vraiment : les premiers bégaiements passés, elle reprend de l’assurance et joue son rôle à la perfection. C’est pour cette raison qu’elle arrive à oublier sa peur lorsqu’elle se retrouve devant ses élèves et arrive à faire son cours sans partir en pleurant.
« Nous avons fait nos études ensemble. Je ne l’ai jamais vu à aucune fête. Elle avait tendance à éviter les personnes populaires, au contraire elle faisait plutôt partie des têtes d’ampoules. Il faut dire aussi qu’elle avait des notes excellentes pour une aussi jolie fille. Je crois pas qu’elle n’aimait les personnes populaires… C’est surement pour ça que la seule fois où je lui ai adressé la parole elle m’a regardé l’air outrée : j’étais chef des Pom Pom Girl. »
C. Phillips, Connaissance.
Johanne a un sens de la justice poussé à l’extrême. D’ailleurs parfois on peut se demander pourquoi elle prend certaines choses tellement à cœur. Elle est toujours du côté du plus faible, méprisant les personnes dites populaires. De même, elle se mélange rarement à la foule, préférant passer inaperçue et se cantonner à ses amis à elle, sans chercher à élargir son cercle de connaissance. Peut-être est-ce de la méfiance, je pense qu’il s’agit plutôt de peur. Consciente de la cruauté des autres, elle ne tien pas à les provoquer. Mais si un de ses camarades déclenche le courroux de quelqu’un d’autre, elle sera en première ligne pour le défendre, même si pour cela elle doit retourner les réprimandes sur sa personne. Elle se fiche bien mal de son sort du moment que les droits et les libertés des autres ne sont pas bafoués pour des raisons comme : il porte des lunettes et joue au échec. Ou encore : il est nul au sport. En revanche, si elle estime que la sentence est à la hauteur du crime perpétué, elle ne dira rien. Œil pour œil, dent pour dent… c’est un peu son crédo.
Ainsi lorsque la situation se présente la Johanne si effacée peut se transformer en un véritable lion. L’effet de surprise n’en est que plus grand. Son esprit de révolte est assez sélectif pourtant : elle se fiche bien mal de tout ce qui ne concerne pas le rayon de la justice. Elle est même capable de devenir violente –comprendre coller un coup de poing ou une claque, jamais plus... De toute manière elle ne sait pas se battre- quand les choses la dépassent vraiment.
C’est une jeune femme très intelligente, elle comprend les choses assez rapidement, sait tirer des conclusions en analysant des éléments extérieurs. Bien sur, ce genre de choses ne lui tombent pas toutes cuites dans la bouche, son intelligence ne lui permet pas d’avoir de se rendre à des examens les mains dans les poches : il lui faut travailler dur. La compréhension n’est pas l’apprentissage et sa mémoire lui joue parfois des tours : il semble qu’elle soit trop dissipée pour retenir une grande masse d’information en très peu de temps. Par contre, elle a une capacité assez développée à se représenter les choses mentalement. C’est pour cette raison que les liens de cause à effet ne lui posent aucun problème : elle arrive à voir les choses dans un plan et à les relier entre elle.
Le pourquoi du comment l’obsède d’ailleurs parfois un peu trop… Elle réfléchi à tout, tout le temps. Et si dans le monde scientifique cette particularité est un atout de poids, d’un point de vu sentimental il n’y a rien de pire. Elle est donc célibataire depuis de nombreuses années, cherchant trop LA chose qui pourrait faire capoter l’ensemble de la relation plutôt que de s’investir dans celle-ci. Persuadée qu’aucune amourette ne pourra marcher, elle ne tente même pas l’aventure.
« Elle ne m’a jamais fait confiance. C’est un fait. Pourtant, on se connaissait depuis 5 ans. Mais elle me l’a toujours dit droit dans les yeux. Elle n’a jamais fait confiance à personne. Mais ça restait un excellente amie malgré cela. »
H. North. Ami.
Sa timidité, son sens de la justice et ses tergiversations constantes font de Johanne une personne profondément compliquée. Persuadée d’être trop complexe pour les autres elle ne leur accorde aucune confiance : ils finiront par l’abandonner, lassés de ses problèmes perpétuels. Elle a pourtant des amis, est proche d’eux, est capable de déplacer des montagnes pour les aider. Mais le contraire la gène. Elle trouve cela étrange que l’on puisse l’apprécier et vouloir l’aider. Vous l’aurez compris : elle n’a pas vraiment confiance en elle. Rien de bien grave, pas au point de se dénigrer en permanence, mais tout de même : elle ne sait pas trop comment se gérer, elle et ses problèmes. Heureusement que la vie a tendance à lui sourire, sinon… elle aurait abandonné depuis longtemps l’idée de réussir quelque chose. Pour elle sa réussite est due à de la chance, son travail étant toujours insuffisant à ses yeux et ses amis devraient rapidement se rendre compte de sa médiocrité…
Story : La vie de Johanne n’a rien de bien compliquée. Fille unique d’un couple heureux, elle est née dans le Maine. Son père est commercial dans une grande entreprise et voyage beaucoup en voiture pour rencontrer les clients, visitant tout le pays et ramenant de nombreux cadeaux et histoires à la petite fille. Sa mère est une femme aimante, gentille, passionnée d’histoire et plus particulièrement de l’Egypte et de l’Antiquité. Celle-ci est d’ailleurs professeur d'Histoire dans une Faculté. Lorsque ses parents sont absents, ses grands-parents s’occupent d’elle avec amour. En bref, durant son enfance, elle n’a jamais eu à se plaindre. Du moins… jusqu’à ses 8 ans. Car le malheur n’épargne malheureusement pas les gens bons : sa mère meurt un jour de septembre dans un accident de voiture. Un poids lourd c’est renversé devant elle et malgré tous ses efforts elle n’a pu éviter l’accident. Privée de sa mère, la petite se renferme sur elle-même. Son père arrête alors de travailler pour s’occuper de sa famille, conscient du mal que la petite a à accepter la situation. Elle ne parlera pas pendant 1 an, année de cauchemar car cette particularité lui vaut des railleries venant de ses camarades. Voir même quelques violences venant des plus imbéciles. Lorsque l’enfant se remit à emmètre des sons tout le monde conclu, soulagé, qu’elle avait accepté la mort de sa mère. Rien de tel : elle en avait simplement assez de se faire frapper. Mais cet épisode de sa vie lui fit comprendre que la méchanceté était présente en chacun de nous… et que tous était capable de faire du mal à quelqu’un. Dès lors elle décida de n’adresser la parole à la personne qu’après avoir longuement étudié son comportement.
Son sens de la justice aigu apparu à cette même époque. De même que sa passion pour la natation. Au moins lorsqu’elle nageait personne ne pouvait lui adresser la parole, ce qui était particulièrement rassurant. Si son père ressentait un immense chagrin suite à la mort de son épouse, il n’en laissa jamais paraitre ne serait-ce qu’une lueur. Il prit un temps de congé pour s’occuper de sa fille le temps que celle-ci panse ses plaies puis, environs 2 ans après le tragique accident, reparti sur les routes. Tous les week-ends la petite famille se rendait au cimetière pour discuter avec le membre manquant. Ainsi Johanne garda cette habitude même après son entrée à la l’université.
C’est ainsi qu’elle raconta à sa mère comment elle rencontra Aaron, son premier petit ami. Un artiste, un peu plus vieux qu’elle, du genre intéressant bien que pas vraiment beau. Elle lui trouvait toutes les qualités du monde et fut sur un petit nuage tout le temps de leur relation. En particulier lorsqu’il peint un portrait pour la jeune fille. Par malheur l'histoire ne se termina pas vraiment bien. Après avoir entendu la célèbre phrase « Il faut qu’on parle » Aaron lui expliqua qu’il y avait cette ''autre fille'' et qu’il préférait ''arrêter là avec elle.'' sans oublier le fait que cela ne lui faisait pas plaisir, bien sur, et que si les choses avaient pu se passer autrement il aurait été bien plus heureux. Se faire quitter pour une autre n’aida pas la jeune femme à se faire une meilleure opinion d’elle-même. Elle se plongea alors dans les études pour oublier définitivement le contact humain.
C’était sans compter sur son professeur de biologie, chercheur le reste du temps, qui fut fortement impressionné par ses capacités dans sa matière. Il fini par lui demander à la fin d’un cours si elle était intéressée par la visite des laboratoires et, pourquoi pas, par un stage si l’endroit lui plaisait. Au début, Johanne hésita, énormément. Elle ne comprenait pas pourquoi on lui proposait cela et elle commençait à se demander si quelque chose ne se cachait pas derrière cette demande… Après tout, on ne pouvait faire confiance à personne –hors-mis en son Père bien sur-. Elle fini par accepter, sur ses garde, mais seulement de visiter les laboratoires. Elle fut aussitôt soufflée par l’ensemble des installations, par l’atmosphère et passionnée par les recherches en cours. Si bien qu’elle accepta avec joie de rester quelques temps sous le nom de « stagiaire ». Mais les choses ne se goupillèrent pas comme le voulait et elle abandonna sa carrière de chercheuse pour celle de simple professeur de Biologie. C’est ainsi qu’elle termina à Wynwood High School, légèrement aidée par ses relations… il faut l’avouer.
2 codes ? : Ok-ok, code bon :)
How did you know the forum ? : Top site
Personne sur l'avatar : Jennifer Love Hewitt
Accueil
