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 | | Sujet: Kyõgi Shin Mar 7 Sep 2010 - 16:54 | |
| Shin Kyogi
Name :Kyõgi
Surname : Shin
Age / Birthday : 16 ans. Né le 15 février 1993.
Class : 11th Grade.
Confrérie : Lambda λ / Stigma Mu ϛμ
Rich or just having a Scholarship ? : Rich.
Physical Description.
Ce dont on peux être certain c'est que Shin a hérité de la grande majorité des caractéristiques physiques de son père. Bien que né sur le sol Américain, métisse d'une mère originaire de Baltimore et d'un père japonais, le jeune homme a tout d'un adolescent Nippon quelconque. Enfin quelconque. C'est sur, pour un occidental, un asiatique reste un asiatique si bien que souvent, on ne fait même pas la différence entre un coréen, un chinois ou un japonais sans même parler de ceux qui confondent les philippins et les taïwanais.
Néanmoins, peut être grâce eux gènes maternels, il se distingue des autres par sa taille largement au dessus de la moyenne japonaise. Son petit mètre quatre-vingt ne peut que s'effacer devant l'importante stature des Afros-Américains, pourtant, la plupart des jeunes de son âge ne le dépassent pas de beaucoup.
Inutile de s'attarder sur ses cheveux ou la couleur de ses yeux : bruns et bruns. Rien de plus à dire. Hun. Que dire de plus. Ah. Il a pratiqué de nombreux sports différents, notamment le baseball ( on est américain ou on ne l'est pas ( quoique, on peut faire du baseball en étant pas américain ou être américain et ne pas faire de baseball ) ) où il joue à de nombreux postes. Se sont notamment cette pratique régulière qui justifie son endurance et ses muscles fins. Enfant maladroit, de nombreuses gamelles plutôt spectaculaires ont laissé quelques traces sous forme de légères cicatrices.
En dehors de l'affreux uniforme hors de prix pour ce que c'était, il fallait l'avouer, son armoire comportait un étalage de vêtements aux styles complètement différents. Son choix peut se porter sur un sweet flashy qui détruit la rétine à l'instant même où vos yeux se posent dessus ou bien une tenue assez classe. Il fonctionne comme les filles, il faut le dire, selon l'envie du moment.
Moral Description.
Shin est un excellent acteur. Si si, c'est vrai. Doux, attentionné, souriant, fidèle. Si vous êtes capable de le couvrir d'éloge c'est que vous ne le connaissez pas. Comment ça "il est devant vous en classe et il a l'air sympa" ? Qu'est ce qui vous fait dire ça ? Parce qu'il a ramassé votre trousse qui était tombée et vous l'a rendue avec un joli sourire ? Oh. Je vois. Il vous a peut être fait le coup du "si t'as besoin d'aide pour le devoir de la semaine prochaine, hésite pas à me demander". Me faites pas rire. Shin est un vrai petit salopard qui se sert autant de sa tête que de ses poings. Quoi qu'il fasse, son action a été réfléchie et planifiée, automatiquement. On dit bien que les gens intelligents sont dangereux. Il en est un parfait exemple. Ne vous méprenez pas. Il n'est certainement pas surdoué, n'a aucune facilité apparente en quoi que ce soit. Lorsque je dis intelligent, je veux dire par là qu'il dépasse le stade primaire de l'adolescent américain, gosse de riche par excellence qui se permet tout parce qu'il pense que tout lui appartient. Les fringues, les belles bagnoles, l'alcool et le sexe, bien sûr qu'il connait. Mais ce qui peut éventuellement faire la différence entre lui et un autre réside peu être dans sa façon de penser. Il sait qu'il détient le pouvoir de part son origine, ses relations. Il sait pertinemment qui il est et ce qu'il est en mesure de faire. À partir du moment où il est conscient de ce qu'il a, la richesse, le pouvoir et la liberté qui s'y rapporte, ce que d'autres n'ont pas, il bénéficie pleinement de ce sentiment de supériorité. En effet, c'est un esprit très pervers. Il est conscient de ce qu'il a et ne serait prêt à le partager pour rien au monde. Pire, il méprise ceux qui ont moins que lui. En fait, il méprise le monde entier et chaque raison est valable.
Faire croire à d'innocentes victimes qu'il n'est rien qu'un jeune homme serviable et bien élevé l'amuse. Il se sert de celles et ceux qu'il s'est approprié, qui lui ont donné leur confiance, et les retourne les uns contre les autres, le plus habilement possible; lentement, avec subtilité pour qu'on ne puisse jamais remonter jusqu'à lui. Parfois, il ne joue même pas avec eux et se contente de faire croire qu'il est leur ami. Ce n'est qu'en le croisant un soir, tard dans les ruelles bordant les bars, occupé à maintenir un jeune homme contre un mur pendant qu'il lui fait joyeusement les poches. Parfaitement conscient que ce revêtement de gentil petit garçon sage ne dure qu'un temps il ne nie pas sa deuxième vie nocturne, faite d'excès et d'infractions. En résumé, c'est surtout quelqu'un qui choisit ses mots en fonction de l'interlocuteur et sait exactement ce qu'il dit. Shin Kyogi, enfoiré violent, insolent et mesquin qui se fout des lois car il sait qu'il pourra toujours s'en sortir est une vérité qui n'est réfutée que par ceux qui refusent de la voir.
Storry.
« Putain. Mais qu'est ce que je fous là ? »
Dans le miroir craquelé qui tenait miraculeusement au mur grâce à un vieux clou rouillé, il aperçut son visage couvert de sueur, assombrit par la poussière des sols de Los Angeles.
« Personne me répondra, de toute façon. Même pas la pouffiasse à l'entrée, sensée nettoyer ces putains de chiottes et à qui je vient de donner vingt-cinq cents, prix à payer pour poser son cul sur une des cuvettes à peine propre de ce centre commercial de merde. »
Au loin, recouverte par le bourdonnement incessant des passants agglutinés devant les boutiques, la voix informatisée gargouillait des publicités incompréhensibles. Le hurlement strident d'un nourrisson raisonnait dans les couloirs. Il expira profondément. Le sac qu'il portait sur son épaule émit un bruit mât en touchant le sol. Aussitôt, il fit grincer la fermeture éclair et l'ouvrit sans prêter attention à son contenu. Avec la rapidité de l'habitude, il attrapa les vêtements propres, les posa sur la cuvette avant d'enlever son t-shirt sale. Il savait que le temps pressait, pourtant, il resta un moment à regarder dans le miroir brisé le reflet de son torse humide.
« Je hais ce monde d'emmerdeurs. Tous. Les uns, tellement blindés de fric qu'ils le gerbe chaque soir dans les chiottes des clubs privés de la ville avant de venir chialer auprès de leurs avocats le lendemain parce que, complètement bourrés, ils se sont fait chopper en train de faire je ne sais quelle connerie. Et puis les autres aussi, ceux qui lancent un regard par en dessous, murmurent quelques mots que personne ne veut entendre et tendent la main avant de venir te saigner dans une ruelle pour te piquer ton fric. Je ne parle même pas des inconnus, toujours heureux parce qu'ils ont passé un bon moment avec leur famille, leur petite amie; parce que ce qu'ils mangent est bon; parce que Mamie est encore en bonne santé; parce que Mamie est morte, finalement et que l'héritage d'un million est enfin à eux; parce qu'ils font ce qu'ils aiment; parce qu'ils ont eu un gosse ou se sont mariés; parce que leurs maison est enfin payée... pour toutes ces raisons et d'autres encore, aussi connes les unes que les autres, ils font chier le monde avec leurs sourire de merde. Je les hais. Je les hais tous. Tous ceux qui passent chaque jour entre la W4th Street et SOlive Street, avec leurs sacoche remplie de paperasse. Tous. Y compris la vieille qui fait pisser son chien chaque matin dans le parc en face de l'arrêt de bus. Elle a pas encore comprit qu'elle fait chier tout le monde, elle et son clebs ? Et puis y'a le planton, en bas de l'immeuble, qui depuis que le précédent à été viré, murmure un bonjour doucereux à chaque fois qu'il me voit rentrer ou sortir des bureaux. Tant qu'on y est : le larbin engagé pour assurer la sécurité de mon père lors de ses déplacement, pas foutu de me reconnaitre. La prochaine fois qu'il me parle comme ça, je me débrouille pour ne plus jamais avoir à lever les yeux pour regarder sa sale gueule se décomposer quand le gars de la réception accours en bafouillant des excuses. Et puis, y'a l'adjoint du vieux. Celui qui lui lèche les bottes, mange dans sa main et ferait "waf-waf" si on lui ordonnait. Ah. J'allais oublier ces enfoirés de la CIA qui ont rôdé des semaines autour de MON bâtiment avant de se rendre compte que ce qu'ils cherchaient était ailleurs et qu'on avait toujours été blanc comme neige. Neige. Yuki. Yuki, ma mère. Parlons en de ma mère, cette connasse dont les parents, amoureux du pays du soleil levant, tout comme elle, avaient eu la prétentieuse idée d'appeler leur fille, américaine pure souche, Yuki. Cette connasse qui a rien trouvé de mieux que de crever dans un putain d'accident de voiture. Oui, je la déteste. Qu'elle soit morte, j'en ai rien a foutre mais fallait qu'elle crève en me laissant seul avec le pire enfoiré que la terre ai créé, mon père.
Je hais ce putain de monde qui a fait ce que je suis. Je le détestes. Si je pouvais, je les butterai tous, comme ça, je serai tranquille, plus personne me ferait chier. »
Le bouton de son jean sauta sous ses doigts. Un frottement sur se jambes et il s'était transformante en gamin branché, ce qu'il devait être. Il fourra le reste de ses affaires dans le sac qu'il ferma rapidement avant de retrouver son poids familier sur son épaule. Il n'oublia pas de tirer la chasse dans le vide puis sorti.
Encore se regard réprobateur. Connasse. Va changer ce miroir au lieu de me dévisager comme ça. Dehors, il retrouvait les gamines insupportables, paillant devant une vitrine, le gosse qui hurlait tout à l'heure, dans les bras de sa mère. Seule la voix informatisée s'était tue et avait laissé place à un flash information sur l'écran géant du centre commercial. Encore un accident de la route. Un bus cette fois ci. Quel monde de merde.
Son portable vibras dans la poche de sa veste. Sans même regarder l'écran, il connaissait déjà l'interlocuteur. Qu'est ce qu'il allait pouvoir lui dire.
Né sur le sol Américain, à Los Angeles dans la nuit du quinze février mille neuf-cent quatre-vingt treize, fils unique, résultat d'une aventure entre son père, Kira Kyõgi, directeur d'une entreprise implantée dans plusieurs villes d'Europe et du monde, et Yuki Weatherly, citoyenne Américaine, danseuse professionnelle décédée dans un accident de voiture le vingt et un juin mille neuf cent quatre-vingt treize.
Surprotégé, il fût décrété qu'il n'irait pas à l'école, même les plus prestigieuses parce qu'on jugeait les professeurs incapables de lui procurer un enseignement adéquat. Il suivit donc l'ensemble de ses cours à domicile jusqu'à l'âge de quinze ans. Néanmoins, à cause de l'absence de son père, et jeune adolescent qu'il était, Shin commença vite à sortir dès que l'occasion se présentait et ce trop tôt pour un enfant de son âge. En grandissant, différents incidents survinrent et le père fût contraint d'envoyer son fils en internat afin qu'il y retrouve un cadre et un mode de vie adéquat.
And You ?
Codes ? : Bang t'es bête, it's okay.
How did you know the forum ? : Miss Lacey. 8D
Personne sur l'avatar : Tomohisa Yamashita
Dernière édition par Shin Kyogi le Sam 11 Sep 2010 - 8:32, édité 8 fois |
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| | Sujet: Re: Kyõgi Shin Mar 7 Sep 2010 - 22:01 | |
| SHIN mon amour de ma vie que j'aime plus que tout au monde ! Ah non merde ça c'est Esteban... Damn it.
Tu es validé et tu sais ce que t'as à faire, oui oui 8D Chambre, classe, rang et tu peux Rp (:
Welcome aussi même si t'es là depuis des lustres Le lustre désigne l'espace de temps de cinq ans séparant deux recensements.o/
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| | Sujet: Re: Kyõgi Shin Mar 7 Sep 2010 - 22:04 | |
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